Cette chaîne contient les activités et événements de l'association UPS in Space, le club d'astronomie de l'Université Toulouse III - Paul Sabatier, et s'adresse à toutes et tous les passionnées et passionnés d'astronomie et du spatial, étudiant.e ou non.
Eh coucou Aline, enfin cette petite vidéo !! Pour mieux apprécier la grandeur de tes rêves 🙂 quelques pensées sur le déplacement de masse en 2RM avec Zéro degré mais avec un soleil 🤣. Bon ciel, bon road. Jp
Tres interressante conference mais je n'ai pas pu aller jusqu'au bout! Quand on es malade on reste à la maison et on se soigne ! Les tubars toutes les minutes sont absolument insupportables!
Bonjour, Nous faisons au mieux pour enregistrer dans les conditions les plus optimales possibles, cependant il arrive ce genre de choses, et nous ne pouvons pas renvoyer une personne pour une simple toux. Nous nous placerons cependant différemment les prochaines fois, peut-être cela pourra atténuer le problème si besoin ! Bonne journée.
Merci pour votre réponse, et cela prouve votre attention à vos auditeurs. N'oubliez jamais que dès lors que vous mettez en ligne, vous vous adresser, à priori, à plusieurs milliers d'auditeurs...Maxima Mea Culpa, la qualité apprend toujours de ses défauts:)
Concernant les caractéristiques absolument extrêmes du trou noir de Interstellar qui permettent un ralentissement du temps d'un facteur 60 000 (i.e. 1 heure sur la planète = 7 ans sur la Terre), voici une anecdote amusante. C'est le dialogue entre le réalisateur Christopher Nolan et le physicien prix Nobel conseiller de Kip Thorne (j'ai traduit) : Nolan : je voudrais que pour une heure sur la planète Miller, il s’écoule 7 ans sur la Terre Thorne : C’est impossible ! Nolan : C’est non-négociable ! Et Kip Thorne, sous le choc, est retourné chez lui, a refait ses calculs, et trouvé que c'était possible avec les conditions extrêmes expliquées dans la vidéo de Roland Lehoucq ci-dessus. :-)
Bonjour, Merci pour ce retour très sympathique ! Roland Lehoucq est effectivement un très bon orateur, qui a su expliquer parfaitement et simplement des concepts parfois complexes ! Bonne journée.
Bonjour, Effectivement, malgré notre matériel, nous sommes aussi soumis aux contraintes acoustiques des lieux où nous enregistrons ! Merci tout de même pour la remarque, qui nous aide à cibler des axes de progression pour les prochaines fois. Bonne journée !
Bonjour, permettez-moi quatre questions sur votre conf. au sujet si intéressant : • t=49'27" : les montagnes arctiques qui font remonter les météorites enfouies… Est-ce ça que j'ai entendu appeler l'obduction météorique ? J'avais aussi entendu une autre explication. • t=57'11" : les argiles météoritiques comme preuves de l'eau liquide sur Mars ? Alors, les corps parents d'Orgueil et autres CIs étaient des astéroïdes-océans ? • ± même endroit : je ne comprends pas votre raisonnement : vous dites que c'est parce qu'on est allé sur Mars qu'on sait qu'elles en viennent. Donc, avant, on ne savait pas d'où elles venaient. Comment pouvait-on alors savoir depuis longtemps qu'il y avait eu de l'eau liquide sur Mars ? • enfin, plutôt un commentaire : sur les coûts de ces missions, d'après Wikipédia, elles se comparent bien avec celui du HST. Pas trouvé pour le VLT… Mais leurs durées les rentabilisent ++ scientifiquement, il me semble, non ?
Une onde gravitationnelle est une déformation de l'espace-temps. La variation de distance détectée par l'interféromètre est de l'ordre de 10^-18 mètre. Quel est la variation de temps associé ? Serait-on capable de la mesurer ? (horloge atomique ?)
Une onde gravitationnelle est une déformation de l'espace-temps. La variation de distance détectée par l'interféromètre est de l'ordre de 10^-18 mètre. Quel est la variation de temps associé ? Serait-on capable de la mesurer ? (horloge atomique ?)
Si une onde gravitationnelle est une déformation de l'espace-temps, comment prend-t-on en compte la variation du temps lors de la mesure de la variation de distance parcourue par le laser ?