Le musée Barbier-Mueller, fondé en 1977, est aujourd'hui installé au numéro 10 de la rue Jean-Calvin, au cœur de la vieille-ville de Genève.
Cette collection compte aujourd'hui plusieurs milliers de pièces et comprend des œuvres d'art de l'Antiquité tribale et classique, ainsi que des sculptures, tissus et ornements provenant des civilisations dites « primitives » du monde entier.
La chaîne RU-vid du Musée Barbier-Mueller vous offre des vidéos exclusivement réalisées autour d'événements ou de pièces rares.
Que déloges pour cet écrivain. Véritable sonar de notre monde il nous met en relief le perceptible pour lui donner un sens d'une authenticité extrême. Aussi aux travers les écrits et les dires de cet écrivain nous découvrons nos pensées les plus lointaines et intimes. Tesson met des mots sur le réel pour le dire. Il est en cela une source de savoir. Il parvient ainsi à ne pas être dans une pensée philosophique tout en nous invitant à philosopher sur notre monde.
Sylvain, chacun de vos mots est choisi, parfait, on ne peut qu'admirer l'Homme que vous êtes. Tous vos livres, vos interviews me transportent, vous contribuez à mon bonheur.
Des mots justes du Sage Manthia Diawara et de l’Homme «Curator» impressionnant de ses expériences au cœur des Cultures. Bravo. Belle intervention de deux Hommes. Richard
Quelle élégance de Sylvain Tesson de répondre à cette dernière question du public pour le moins un peu "courte" et n'appelant pas grande réflexion, qu'il n'est pas allé en Caucase du Nord mais qu'il y est allé quand même en quelque sorte par la littérature en citant Tolstoï.
Superbe vidéo. J'y passerai assurément avant la date butoir. Bravo aux équipes, à Feu Monique Barbier-Mueller, au Génie Feu Malick Sidibé, aux adjuvants de cette superbe Exposition ... Aux Arts du Mali sous toutes ses formes fabuleuses , sous l'implication sans faille de Madame Laurence Mattet. Bravo au Musée, à la Fondation. Bien amicalement. Richard.
« Le terre doit être l’enfer d’une autre planète » « L’homme n’est que poussière d’ou l’importance du plumeau » « Je fais rentrer chacun par sa propre porte, je le raccompagne toujours par la mienne »