🎩´´Monde Nouveau" de Feu! Chatterton explore le thème du désir d'un nouveau monde tout en remettant en question notre capacité à avoir un impact significatif. La chanson commence avec l'image d'un vent fort et nouveau soufflant sur le pays, symbolisant le potentiel de changement et de transformation. Cependant, malgré l'excitation, la réponse de la foule est seulement tiède et ils s'immergent passivement dans la situation. Cela suggère un sentiment d'apathie et de complaisance malgré le désir de quelque chose de différent. Les paroles abordent ensuite la crise climatique, décrivant comment les températures croissantes causent un inconfort et des plaintes parmi les gens. La phrase "Du climat subsaharien" critique indirectement l'inaction et l'ignorance face aux défis environnementaux. Le refrain exprime le désir d'un nouveau monde que tout le monde rêve. Cependant, la question rhétorique "Mais que savions nous faire de nos mains?" soulève des doutes sur notre capacité à réaliser le changement que nous désirons. La mention de "Zéro attraper le bluetooth" peut suggérer une représentation métaphorique de notre dépendance à la technologie et du manque de compétences pratiques. La phrase "Presque rien" souligne cette notion d'inadéquation. Ensuite, la chanson met en évidence comment les gens parlent du monde de demain sans le comprendre pleinement. La peur et l'incertitude causées par de nouvelles lois et des forces élémentaires provoquent confusion et désarroi. L'image de "La clarté nous pendait au nez" sert de métaphore pour les solutions évidentes et les vérités qui sont devant nos yeux. Cependant, ces vérités sont éclipsées par les distractions de la vie moderne, représentées par la pluie métaphorique de millions de pixels sur le "serveur central", symbolisant peut-être la quantité écrasante d'informations que nous consommons sans prendre de mesures significatives. La répétition du refrain réaffirme le rêve d'un nouveau monde, mais souligne également la réalisation que nous pouvons manquer des moyens de contribuer efficacement. Les dernières lignes de la chanson offrent un brin d'espoir, suggérant que la seule chose que nous avons encore le pouvoir de faire est de nous embrasser et de nous connecter les uns aux autres. L'acte de "se prendre dans les bras" sert de rappel que, malgré les défis et les incertitudes, la connexion humaine et l'empathie peuvent encore faire une différence. Dans l'ensemble, "Monde Nouveau" reflète un sentiment de désir collectif de changement positif tout en reconnaissant les limites et les défis pour y parvenir. Elle encourage l'introspection et rappelle aux auditeurs l'importance de la connexion humaine et de l'action pour façonner un monde meilleur.´
🍒La beauté, c'est quelque chose de rare, de merveilleux, que, dans le tourment de son âme, l'artiste extrait du chaos universel. Et, quand elle est créée, il n'est pas donné à tous de la voir. 😂 (Somerset Maugham, l'envoûte). Un grand ❤🎩Merci Arthur, je suis sous hypnose avec la puissance de cette chanson pleine de sens et de panache !
A la mort de Bashung le temps m'a paru long avant d'entendre cette chanson un jour sur Inter et que c'est bon de vous avoir Feu Chatterton. Vivement les scènes. Amitié universelle.
A Douai, en préchauffe de la tournée 2022 sortie de l'album avant l'Olympia, quand vous aviez demandé quelle chanson vous souhaitiez qu'on entende, j'ai eu un **** de trou de mémoire et j'aurais tellement voulu crier ce titre et l'entendre résonner dans le chaudron du volcan, entendre ces paroles, cette montée...mea culpa j'ai pas assuré, parce que vous l'auriez joué et ça aurait été le feu, le feu du Nord qui vous savez, ce feu des gens, ce feu qui brûle mais apaise...avant qu'il n'y ait le monde. Ouai Ouai...tu parles tu parles...pour pas grand chose, pour passer le temps, le temps d'avant qu'il n'y ait le monde. Enfin.. ce concert à Douai aura été un de mes meilleurs concerts soit dit en passant...et ce même si nous sommes restés à l'époque d'avant qu'il n'y ait le monde ;)
Il ne s'est pas contenté de partir, il m'a juste abandonné encore embryon et celle qu'il a engrossée encore amoureuse par la même occasion, ma mère, lui, moi qui pleure chaque jour à l'intérieur d'avoir été une erreur. De jeunesse peut-être, qui n'en a jamais faite mais maintenant je suis vieux et je n'arrive pas à être heureux. Un homme suffit à détruire plusieurs vies et dans sa lâcheté il en crée d'autres qui ne sont que des mensonges mais le premier fruit pourri finit toujours par pourrir tout le panier. Aujourd'hui je sais que la famille dont il m'a privé, sa fausse famille, souffre autant que moi car elle sait que toute sa vie n'est que mensonge et duplicité... Il est mort et si l'enfer existe je suis sûr qu'il y est, et que je ne le connaîtrais jamais, les dieux m'épargnant de voir le monstre qui m'a engendré en me tenant éloigné du mal pour préserver ma pureté et ma dignité car moi au moins j'en ai une...
Un grand merci et tout mon respect pour cette adaptation de L’Affiche Rouge. Alors que votre talent n’était déjà plus à démontrer, vous avez écrit un nouveau chapitre de la chanson française lors de la panthéonisation des Manouchian. Quel bonheur de faire suivre l’analyse en classe des paroles de l’Affiche Rouge par votre interprétation chargée de tant d'émotion.
