Une Famille dans laquelle on aimerait appartenir.....à chaque Épisode une leçon de Vie....quel Bonheur!...j'avais suivi au départ du téléroman 91978-1984 sporadiquement) mais avec tellement peu d'attention....j'étais jeune et peu attentive...mille mercis d'avoir conservé intégralement ce très beau Téléroman avec ses Comédiens qu'on ne peut oublier!
Merci beaucoup pour votre gentillesse, j'adore vos series. Avoir la moitie des images de cette emission a ete tout de mene agréablement a entendre. Bonne journée. J'attends la suite impatiemment. Bonne journée
Merci a toi pour toutes les series que tu met a notre disposition je suis un fan de johnnypublicité et Laurent du jeu cest sérieux pour des visionnements d'outre tombe 😂 bref content de t'ajouter a ma liste des meilleurs conservateurs de notre patrimoine du 7eme art!
Tu va peut-etre aimé mes blogues? voici les adresse ixe-13.blogspot.com/ editions-police-journal.blogspot.com/ lesbelleshistoiresdespaysdenhaut.blogspot.com/ projetliquefasc.blogspot.com/
La quête de l'Enfant Jésus Tout comme la guignolée, la quête de l'Enfant Jésus se déroulait à la période des fêtes, plus précisément entre Noël et le jour de l'An. Dans les paroisses populeuses, elle se prolongeait jusqu'à l'Épiphanie. Il s'agissait cependant d'une quête plus formelle que la guignolée puisque le curé, ayant pris soin de l'annoncer au prône, la prenait en charge avec quelques marguilliers. Recueillant les dons qui seraient remis aux pauvres, il effectuait en même temps sa visite annuelle et le recensement de ses paroissiens. Le curé, attendu, bénissait ses fidèles et les objets du culte, donnait les dernières nouvelles, distribuait des objets de piété aux enfants, prodiguait ses conseils et serrait la main de chacun des membres de la famille. Partout, il était accueilli avec déférence même par ceux qui craignaient un peu sa visite. La période était bonne pour sermonner les fêtards et ramener les brebis égarées dans le droit chemin ou inciter aux bonnes résolutions. Le rituel accompli, une collation attendait les visiteurs avec le «petit verre» d'usage. Les marguilliers chargeaient les dons dans le traîneau qui suivait entre chaque maison. Ils seraient vendus à l'encan ou remis aux nécessiteux le plus rapidement possible. La quête de l'Enfant Jésus disparut au début du XXe siècle et la visite paroissiale fut reportée à une période de l'année où le climat est plus clément. Cependant, dans certains endroits, le nom est demeuré pour désigner la quête qui se fait pendant la messe de minuit à l'église.
Pourquoi les petits caïds ont-ils toujours des noms à l'opposé de leur karma ; celui dans mon quartier a été souvent en détention à l'école de réforme ou à Boscoville et pourtant il s'appelait Laliberté... !
On voit bien que c'est de la fiction... Un salon/boudoir qui donne sur la rue St-Denis n'est jamais silencieux comme ça, surtout pas à cette époque-là, avec les bus, tramways et autos bruyantes.
Ravie de revoir le Téléroman.....sujets toujours d'actualité! Mais ce que je découvre est la trame musicale...mais tellement jolie....vraiment! À l'époque je ne m'y attardais que très peu....j'évolue faut croire! Mille mercis!