Selon Kraus, l'hystérie se caractérise avant tout par une théâtralisation du moi. Le sujet hystérique met constamment en scène une image grandiose de lui-même, dans une quête insatiable de reconnaissance et d'attention. Cette théâtralisation masque en réalité une profonde blessure narcissique. Le moi du sujet hystérique est fragile et peu structuré, conséquence d'un environnement familial qui n'a pas suffisamment valorisé et confirmé son individualité naissante durant l'enfance. Ne pouvant trouver en lui-même les ressources narcissiques nécessaires pour affirmer son identité, le sujet hystérique devient dépendant du regard et du jugement d’autrui, d'où ses stratégies de séduction permanente pour capter l'attention. La moindre critique est alors vécue comme un effondrement. Sur le plan relationnel, cette fragilité narcissique entraîne une sensibilité extrême aux réactions de l'entourage. Le sujet hystérique oscille constamment entre la maîtrise de l'autre par la séduction, et la peur panique d'être abandonné. Ses relations sont superficielles et instables. Au niveau de l'expérience émotionnelle, le sujet hystérique est envahi par un sentiment diffus d'insécurité interne, une sorte de "peur de ne pas exister" si l'attention d'autrui venait à lui faire défaut. Cette insécurité est à la source de fluctuations dramatiques de l'humeur : la personne peut passer rapidement de l'exaltation lorsqu'elle se sent admirée, à l'abattement total si elle se sent délaissée. La vie fantasmatique de l'hystérique est également très riche : il rêve de situations où il est au centre de la scène, acclamé par tous. Cependant ces fantasmes de toute-puissance masquent en réalité un profond dédain de soi. Le moindre échec réactive alors de douloureux sentiments d'indignité personnelle. Corporellement, le sujet hystérique vit son corps comme un "outil de séduction". Mais dans les périodes de dépression, il peut ressentir une véritable déconnexion de son propre corps, celui-ci lui apparaissant comme étranger, engourdi, inerte, un fardeau inutile. Zitierten Text anzeigen
Je vois tout. Votre bêtise, votre ridicule psychose traumatique de faible d'esprit. Vous vous êtes mise à ma merci. Mais mercy, gardez-tout. Votre tout est bien peu. RÀF de votre belle âme sans corps
Selon Kraus, l'hystérie se caractérise avant tout par une théâtralisation du moi. Le sujet hystérique met constamment en scène une image grandiose de lui-même, dans une quête insatiable de reconnaissance et d'attention. Cette théâtralisation masque en réalité une profonde blessure narcissique. Le moi du sujet hystérique est fragile et peu structuré, conséquence d'un environnement familial qui n'a pas suffisamment valorisé et confirmé son individualité naissante durant l'enfance. Ne pouvant trouver en lui-même les ressources narcissiques nécessaires pour affirmer son identité, le sujet hystérique devient dépendant du regard et du jugement d’autrui, d'où ses stratégies de séduction permanente pour capter l'attention. La moindre critique est alors vécue comme un effondrement. Sur le plan relationnel, cette fragilité narcissique entraîne une sensibilité extrême aux réactions de l'entourage. Le sujet hystérique oscille constamment entre la maîtrise de l'autre par la séduction, et la peur panique d'être abandonné. Ses relations sont superficielles et instables. Au niveau de l'expérience émotionnelle, le sujet hystérique est envahi par un sentiment diffus d'insécurité interne, une sorte de "peur de ne pas exister" si l'attention d'autrui venait à lui faire défaut. Cette insécurité est à la source de fluctuations dramatiques de l'humeur : la personne peut passer rapidement de l'exaltation lorsqu'elle se sent admirée, à l'abattement total si elle se sent délaissée. La vie fantasmatique de l'hystérique est également très riche : il rêve de situations où il est au centre de la scène, acclamé par tous. Cependant ces fantasmes de toute-puissance masquent en réalité un profond dédain de soi. Le moindre échec réactive alors de douloureux sentiments d'indignité personnelle. Corporellement, le sujet hystérique vit son corps comme un "outil de séduction". Mais dans les périodes de dépression, il peut ressentir une véritable déconnexion de son propre corps, celui-ci lui apparaissant comme étranger, engourdi, inerte, un fardeau inutile. Zitierten Text anzeigen
Je vois tout. Votre bêtise, votre ridicule psychose traumatique de faible d'esprit. Vous vous êtes mise à ma merci. Mais mercy, gardez-tout. Votre tout est bien peu. RÀF de votre belle âme sans corps
Bravo Constant, Vous ne me connaissez pas je suis souvent avec votre Grand Père à Lardenne il me parle beaucoup de vous. Il est très fier de son petit fils, comme je le comprends
