PHI est un pôle culturel et artistique multidisciplinaire qui cultive tous les aspects de la création, de l’élaboration, de la production et de la diffusion. Au carrefour de l’art, du cinéma, de la musique, du design et de la technologie, PHI provoque des rencontres inattendues entre les artistes et les publics grâce à une programmation éclectique et à la création de contenus originaux. Fondé et dirigé par Phoebe Greenberg, PHI exerce ses activités à partir du Centre PHI, à Montréal, Canada.
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Dedicated to art in all its forms, PHI is a multidisciplinary arts and culture organization that cultivates all aspects of creation, development, production and dissemination. PHI is at the intersection of art, film, music, design and technology. Through eclectic programming and a strong emphasis on content creation, PHI fosters unexpected encounters between artists and audiences. Headquartered at the PHI Centre in Montreal Canada, PHI was created by Director and Founder Phoebe Greenberg.
I think i get what s going on here?A bad case of the hungry s and/or one sniff,one taste and it s more,more and more!When his/her addictions for food is more important than house repairs then we have problems like this?
Another pretentious Bullshit movie by one of the most pretentious film makers out there. You'll Have all his room temperature IQ fans eating up his garbage 🤢🤢🤮🤮
Bof ! Pantagruélique mais pas Rabelaisien, c’est « La grande Bouffe » pour rien, et au-delà de l’abondance d’agapes, ça ne nourrit pas son homme… On est loin de l’effet du dîner d’excréments proposé dans « Salo ou les 120 jours de Sodome », (tellement significatif) mais pour ce qui est de votre représentation de convives pseudo-Nazi, on peut dire qu’ils ont la touche, les maquilleurs et costumiers ont bien travaillé… Rien de Pasolinien ni de Viscontien pour autant, car même si on y consomme les cerveaux dans des huîtres, on n’est pas dans l’idée de l’exploitation de masse de l’individu. Rien, rien de léger et de nourrissant comme « Le festin de Babette » qui se passe sur une île pas très loin de chez vous Monsieur Villeneuve, surtout pas les agapes par les poulardes sublimes de « Le Cuisinier, le Voleur sa femme et son amant » du prodigieux Peter Greenaway, petit dîner explosif et bizarrement glamour dans le « Brazil » du fabuleux Terry Gillian, qui m’ont tous fait prendre un kilo dans mon imaginaire. Peut être que tous ces lustres qui s’écroulent sont salutaires pour mettre fin à votre festin zéro calories, on croit reconnaitre le quatuor à cordes du chavirement du « Titanic », non, ce n’est pas mieux que le vidéo clip d’un anonyme groupe de rock à la mode… Tout aussi creux.
For me the people at the table seem to experience a "hellish" loop of events culminating in torment in the end. They do not seem to really enjoy the dinner. Might this also allude to urges or wishes that will never be satisfied?
As if NEXT FLOOR means the next layer of nature we will destruct with our greed and then the next layer and then there will come a moment where service providers will not be able to cope with the speed of humanity falling into endless... (I honestly stopped here... Endless floors of what..?)
