Harfleur présenté de cette manière est très belle... La mélodie aide également... La ville de ma jeunesse, le long de la Lézarde, les péniches, le chemin le long du canal pour aller à l'école, les commissions le jeudi, jour de vacances, rue des 104, le marché dimanche matin avec mes parents et plus tard avec les copains, le cinéma ces dimanches après midi avec les"potes" ados... Tout le début d'une vie dans les rues de Harfleur... ... Et une fin de vie pour mon père, humilié par le SIVOM, devant quitter sa maison rue,Saint Jean en 1996, 1997... maison qui fut détruite pour faire place à des constructions modernes. Maison qui fut construite par son père vers 1900, mon grand-père... Mon père fut relogé dans un immeuble, place d'armes, toujours à Harfleur. Sa vie en fut abrégée, un an après il décédait triste qu'il était d'avoir été obligé de partir de la maison où il était né. Harfleur n'a pas toujours pris soins de ses anciens... Le Cotentin m'a accueilli depuis bien longtemps, maintenant je ne fais que passer dans ma ville de jeunesse pour aller au Havre voir mes enfants. Ah ! J'oubliais, je m'arrête à Harfleur, juste pour saluer mes parent au vieux cimetière... Christian. D.
@@don_vito13 Hein ? Bien sûr que non j'habite là bas donc je sais de quoi je parle. Quand on sait pas, on se tait. Enfin plutôt, on ferme sa gueule pour parler aussi vulgairement que toi
Tout simplement incroyable, on ressent l'esprit et la patte créatrice du tout puissant qui nous submerge de sa divine lumière emportant avec elle toutes les fatuités humaines dont l'anachorète sait se défaire avec aise.
Something about those naked black and bleak branches,the season and of course that exquisitely sad music..frightens up,brings sharply into being,the temporariness of it all.Makes me want to flee into the warm embrace of youthful invincibilty.Alas,everything after the age of 40 or 50 is bittersweet.