Les Réseaux d'Innovation et de Transfert Agricole (RITA) accompagnent le développement local des productions animales et végétales dans les territoires d'Outre-Mer. Retrouvez ici quelques unes des vidéos des RITA. Consultez par ailleurs le site coatis.rita-dom.fr
L'eau douce c'est un cycle donc une quantité infinie et GRATUITE à condition de ne jamais couper le cycle qui commence par l'évapotranspiration !!! ce n'est pas l'agriculture qui a besoin d'eau mais le climat, l'environnement, les sols et la biodiversité qui ont besoin d'une végétation verte, vivante et massive l'été (comme les forets, en ville et en campagne) : Quand la biomasse augmente les accidents climatiques diminuent ! ! On ne nourrit pas la planète avec de la poussière et c'est la sécheresse qui fait avancer les déserts ! on peut nourrir la planète avec des sols vivants et donc l'agriculture de conservation des sols, mais on ne pourra JAMAIS sauver les campagnes sans mettre AUX NORMES les villes !!! en France les recyclages de l'eau et de la matière organique sont inexistants !! Les stations d'épuration sont des armes de désertification massive ! non seulement l'eau est jetée en rivières pollue TOUTES les rivières mais TOUTE la fertilité des sols ( la matière organique) disparait dans des incinérateurs ou des décharges ! 80% des assainissements collectifs français ne sont pas aux normes et polluent massivement TOUTES les rivières jusqu'à la mer en passant par les bassins ostréicoles ! On peut agir très vite puisque toutes les lois existent déjà, il suffit juste de les faire appliquer aux collectivités : tous les rejets (pluies et eaux usées) doivent être traités et infiltrés pour ne pas perturber le cycle de rechargement des nappes phréatiques, et quand les infiltrations ne sont pas possibles l'eau doit être recyclée pour des usages non domestiques comme l'arrosage. Les rivières sont le drainage naturel des sols et elles sont caractérisées uniquement par leurs sources, tous les apports supplémentaires (ruissellements, fossés et rejets de station d'épuration) amplifient le drainage naturel donc assèchent les nappes phréatiques et polluent
Et aucun commentaire!!!!!!!!!!!!!!!...................... Dans ces conditions il est ultra-facile d'alimenter du bétail!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!..............
Super reportage démontrant que l'agriculture en Guyane n'est pas condamnée à se limiter à la série détritique de base ! Nous avons passé vingt ans en Guyane à Saint-Laurent du Maroni, d'abord à l'ONF, puis exploitant notre commerce AU VIEUX BROUSSARD. Quelle surprise et quelle joie de retrouver notre ami Dominique Calzolari dans ce reportage ! Amical bonjour depuis la Bolivie ! A la retraite, nous travaillons actuellement sur un objectif simple, à savoir atteindre notre autonomie alimentaire. Nous venons de terminer la construction de notre maison au bord d'un fleuve. Nous disposons de 1,35 ha sur lesquels un verger en production nous fournit mangues, avocats, oranges, citrons, pamplemousses, mombins, etc. Un sol de terre noire sera planté de bananiers, papayers, copuaçus, etc. L'avantage ici est que nous pourrons produire également tomates, salades et autres plantes de climat tempéré. La pluviométrie annuelle est de seulement 1400 millimètres.
Un joli résumé de expérience de produits qui utilise nous permet de gagner du temps à beaucoup des agriculteurs qu'envie de revenir et ne croient pas aux produits naturels. Merci
Merci beaucoup pour votre expérience , alors nous avons tous besoin de participer à cela pour combattre ce problème ; vraiment merci beaucoup pour votre expérience .
Belle présentation mais dommage! 🤫 surtout ne pas parler de la cause hein! Monoculture d'agrumes(vrai pour toutes les monocultures)= buffet à volonté pour tous les "ravageurs" dont la dame à parler. Il y a des efforts faits sur cette parcelle mais concrètement, il n'y a pas assez de biodiversité. Une haie diversifiée c'est bien mais insuffisant. Il aurait fallu des arbres pourquoi pas à croissance rapide mouroum(moringa). Ce qui représente un abris pour les oiseaux et des revenus complémentaires pour l'agricultrice ou l'agriculteur. Tout est comestible dans le moringa : baton(fruit), feuille en brède ou séchées et broyées en poudre, fleurs frittes a la poêle. Bref il manque un étage. Toute culture qui voudrait tendre vers un vrai équilibre voire même devenir un écosystème doit être multiétagé comme dans la forêt (en très simplifié : canopé, sous bois, couvre sol) donc il faut arbres, arbustes, couvre-sol et plantes basses, et encore mieux si on peut intégrer des cailles ou très peu de poules. Si c'est bien pensé la paysanne ou le paysan tire un revenu de chaque élément. Revenus et ressources diversifiés = résilience individuelle et coconstruction de l'autonomie alimentaire de nos iles. 🙏 merci de votre compréhension
Un broyeur forestier qui se met sur Le Bras d’une grosse pelleteuse, ça te ferait du m3 de BRF grossier (idéal) en mode énervé; une visse sans fin XXL de chaudière à bois, avec les copeaux transformés en braises qui tombent dans de l’eau en sortie (=charbon activé/augmente porosité), un petit compostage d’une partie du BRF avec le charbon, histoire de bien charger le charbon en microorganismes et nutriments, et tu as une bombe agri-durable industrielle entre les mains... pas cher, pas si cher. Elles sont où les subventions pour les trucs intelligents, hein ?