Nous sommes 4 étudiants en agronomie à AgroParisTech et deux professionnels de l'audiovisuel qui réalisent un documentaire sur l’agriculture durable. Notre association DéTERREminés donne la parole à des agriculteurs qui se sont écartés de l'agriculture productiviste afin de vivre d'une agriculture respectueuse de l'environnement et des hommes, tout en s’assurant une rentabilité économique. Le basculement vers un modèle agricole durable assurant la sécurité et la souveraineté alimentaire de nos pays réside entre les mains de tous. C’est avec cette volonté de changer les choses que nous voulons faire découvrir d’autres formes d’agricultures aux consommateurs, ainsi qu’aux acteurs du territoire et aux décideurs politiques pour donner envie d’agir maintenant et ensemble pour une agriculture durable !
Deja il faut du courage pour témoigner merci a tous et bravo ..mais il me semble qu'on ne prenne pas ce chemin ...autour de moi je ne vois qu agrandissement, robot,mecanisation,et des clotures qui s enlevent pour faire place a du maïs,,des céréales du labour,de la metha et du photovoltaisme ..toujours le même modele d' influence des chambre d agri, acteurs privés ,etat,banques ,pour embarquer les paysans dans tout...sauf des prix a hauteur des coûts de reviens ...comment arreter ce modele qui detruit les paysans et l environnement.....certe l agro-alimentaire a dompter l agriculteur avec comme protection l emplois et leur développement de produits...mais nous voyons bien que ca ne profite qu a l insdustrie en sacrifiant le paysan...les politiques co responsable du système. Doivent mettre les impots des français a disposition des paysans qui souhaite modifier leur modele ..et non au soutient a l agro finance coopératif..
j'aimerais élever les moutons à l'ancienne, plus de machine, juste retourner aux prairies et à la traite à la main. ça prendras plus de temps, bien sûr, mais comme je ne compte pas faire de l'intensif, je devrais pouvoir faire ça sans trop de difficulté
Bon courage car s'est vraiment de l'utopie , il ne faut pas croire que nos anciens avaient la vie belle ! Dans le modernisme ily de bonnes choses comme des mauvaises . Il faut le juste milieu .
On peut travailler un peu comme à l'ancien temp. Gagné sa vie avec la traite manuelle oui comme dit c'est un peu utopique ( pas impossible) donné quelque outils à nos anciens ils cracheront pas dessus. Mes grands-parents quand ils on vu la première machine à traire les brebis ils étaient choqué dans le bon sens, pour le temp Gagné et le confort pour le dos et les mains. Surtout ma grand-mère. Donc oui nous devons garder un esprit des anciens et nous aider de la modernité sans tombé dans la consommation et la perte d'autonomie que l'on veut nous imposé.
on peut nourrir la planète avec des sols vivants et donc l'agriculture de conservation des sols, mais on ne pourra JAMAIS sauver les campagnes sans mettre AUX NORMES les villes !!! en France les recyclages de l'eau et de la matière organique sont inexistants !! Les stations d'épuration sont des armes de désertification massive ! non seulement l'eau est jetée en rivières pollue TOUTES les rivières mais TOUTE la fertilité des sols ( la matière organique) disparait dans des incinérateurs ou des décharges ! La France ne manque pas d'eau, la consommation (potable, industrie et agricole) ne représente que 2.5% des précipitations annuelles, mais juste de réserve. Actuellement les rivières françaises rejettent entre 50 et 70% des précipitations (alors qu'il ne faudrait jamais dépasser les 30% ...) ce qui provoque des inondations, un assèchement mathématique des bassins hydrologiques. Tous les ans les indemnités sécheresses et inondations coutent des milliards aux contribuables (sans parler des vies humaines ... ) alors qu'avec quelques millions on résoudrait en même temps les deux problèmes. Sans oublier l'énergie propre que peut fournir une turbine associée à une retenue, en France nous avons largement de quoi doubler notre production hydroélectrique !
C’est sur que c’est plus lucratif de vendre des semences de maïs chaque années… Quel plaisir de voir des éleveurs aller a contre sens du non sens et qui plus est avec des techniques ancestrales ! Pensez aux trognes dans vos bocages je pense que ça peu faire un complément de revenus et à mon sens c’est la meilleur façon que l’homme cohabite avec l’arbre tout en lui donnant une durée de vie plus longue.
Je vais Être très honnête, les paysans, comme vous, je les respecte à 100 %, mais les Agri trader qui font du maïs à perte de vue qui se rend même pas compte le mal-être de la biodiversité et de leur vache qui est leur outil de base de travail même si ça reste des animaux donc des êtres vivants je vous dis chapeau
voila le genre d'exploitation où j'aimerais travailler , des gens logique , réfléchis , courageux et qui pensent a eux , leurs bêtes , leurs qualité de vie , la nature ....
Soutien aux agri Vos musiques gache tout .vener J ai connu la diversité pour 11 moiches Malgre l abbage des vaches bruxelose l avortement la fièvres aphefteuse ext si ont avait pas eu des chèvres pour le lait . Bravo aux retour merci à l agriculture Vvos musique lobotomise soit ont regarde un document soit ont ecoute de la musique .
Ce que j'admire le plus c'est la stupidité des paysans!! 1. Des vaches sans cornes leur lait n'a aucune qualité 2.plus vous produisez plus les grossistes et les supermachés s'enrichissent. 3. Vous buvez les paroles des conseillés en pesticides plus vous en mettez plus vous vous apauvrissez et plus vous vous détruisez vos sols. Puis la pillule pour les dégâts. Suis paysanne demeter moins c'rst plus. Nous jetons un tiers de notre production!! Paysans arrivez-vous à compter 1 et 1??? Vous engraissez encore plus les riches!! Heureusement il y a quelques rare exceptions!
Je m'installe bientôt en vaches laitières et ce genre de commentaires est navrant... Pourquoi se tirer dans les pattes plutôt que d'être solidaire et se tirer vers le haut ? Ces fermiers que vous critiquez avec tant de hargne sont des êtres humains, comme vous. Ce documentaire montre bien qu'avec une remise en question et un bon accompagnement, même les plus intensif peuvent entrer dans une agriculture vertueuse. Sur le reste, il y a une part de responsabilité individuelle et une part collective pour faire évoluer le système. N'oubliez pas que si les français ne réduisent pas leur consommation de produits laitiers, il faudra importer du lait de l'étranger... Avec des normes moins strictes... Ce type d'exploitations plus respectueuse ne répond pas, à elles seules, à tous les enjeux de sociétés.
@@LydieH " des vaches sans cornes, leur lait n'a aucune qualité " comment peut-on pondre des inepties pareilles ? ? depuis que je commente sur internet, ma perception du français moyen a encore descendu d'un cran ...
Quand ont veut trop en faire , être le meilleur tout s écroule , à un moment donner , au fil du temps que la vie passe .Car il fut un temps la filière laitière , était Française et produisait pour la France , les prix étaient stable ou montant .Depuis avec l Europe et Bruxelles les choses ont changés , ont fait parti du marché commun , et les prix fluctuent car à l est le lait est moins cher , donc pour stabiliser les prix il a fallu s aligner. C est Nestlé Danone Lactalis , qui se gavent la famille Besnier , Lactalis tourne à 18 milliards, ils ont un château des domestiques , pendant que certain sont endetté à perdre pieds , dans ce marasme du lait qui bouge pas, évolue pas à cause de l Europe. La nature est ainsi faite , l herbe c est pour les vaches , il y a tout dans l herbe , pas besoin de soja mais qui coute
Quand à un moment donné,vous vous rendez compte que vous êtes la tête dans le guidon tout le temps,que vous ne prenez pas de temps libre,et que le compte reste à sec....faut commencer à reflechir
La vraie croissance c'est sur le compte bancaire qu'il faut qu elle ai lieu, et pas forcément sur l augmentation du vitrage du tank a lait. Il y a des systèmes extensifs qui s en sortent très bien, dont je fais partis.
" il faut vivre indépendant ... " saint-just malheureusement, après la dépendance envers le château et les curés, les agriculteurs ont montré qu'ils étaient incapables de vivre sans la tutelle de quelqu'un au-dessus d'eux ... après les curées et les châteaux, sont venus la coop d'appro et le syndicat ! j'ai été éleveur laitier pendant 17 ans. après des débuts assez intensifs où je travaillais 70 heures par semaine alors que les salariés venaient de passer aux 35 heures, j'ai pu faire évoluer mon système en concentrant le maximum de production sur l'été et en arrêtant l'ensilage. la coop bresse-bleu, dans le 01, qui manquait alors de lait en été, avait augmenté le prix du lait sur les mois d'été de 20% ... j'ai ramassé un paquet de pognon ! en hiver, j'avais 2 heures de travail par jour. malheureusement, sur 600 producteurs à l'époque ( combien en reste-t-il aujourd'hui ? ? ) j'ai été le seul à réellement produire du lait d'été et à remettre le système en cause ! les autres éleveurs me crachaient dessus. disant que j'était un fainéant, que je n'étais d'ailleurs plus producteur laitier : cessant la collecte tous les hivers, ils avaient compris que j'avais pris la cessation ... la coop d'appro, à qui je n'achetais plus grand chose, redoublait de sarcasme : " je vivotais ... mes bêtes produisaient très peu, j'étais un mauvais agriculteur ! " cela pose le problème du conseil en agriculture et en fait de l'organisation de la société. car certaines personnes, notamment à la chambre d'agriculture, qui avait eu accès à mes comptes, savaient très bien les résultats que j'avais sur ma ferme : le bilan que l'on peut tirer des 40 dernières années de l'histoire de la france est que l'on ne peut pas laisser un pays être dirigé par ses syndicats ! ! ! et que tant qu'on aura je ne sais combien de partis politiques se bouffant entre eux, les syndicats ( et les journalistes ) seront les rois du pays et pourront le détruire sans vergogne jusqu'à ce qu'il n'en reste plus rien !
Magnifique film qui réconciliera bon nombre de détracteurs avec les vrais agriculteurs et non pas avec les agri-industriels ! A diffuser dans tous les lycées agricoles !
Les problématiques liées aux précipitations de plus en plus aléatoires fragilisent nos fermes qu’elles soient en polyculture élevage ou végétale. Le réflexe corporatiste et individualiste conduit à tenter de stocker de l’eau l’hiver pour arroser l’été. Ce qui apparaît comme du bon sens paysan est en réalité une aberration technique, économique, écologique et sociétale si elle est pratiquée à grande échelle. Aberration technique parce qu’elle retarde la réflexion sur le choix d’espèces, de variétés mieux adaptées au nouveau contexte pédoclimatique qui s’impose à nous. Aberration économique car elle fait appel à des subventions de toutes parts pour sauvegarder un modèle agricole qui ne correspond plus aux réalités du XXI e . Comment justifier des subventions européennes, nationales, régionales pour irriguer, à titre d’exemple, du maïs destiné à nourrir des porcs espagnols qui seront ensuite exportés en Chine ou ailleurs ? Comment justifier que l’on encourage, quoiqu’il en coûte, ces cultures alors qu’un maraîcher qui voudra vendre ses légumes localement n’a plus d’autorisation de forer face à la raréfaction de la ressource en eau ?
Aberration écologique en effet car le pompage hivernal dans les nappes phréatiques contribuera à limiter le niveau des différents cours d’eau, ce qui générera encore la perte de biodiversité. On observe que la nécessité d’irrigation croît, là où on a le plus bouleversé les écosystèmes par la suppression des haies, des fossés, des zones humides, des prairies et de l’élevage qui va avec. Aberration sociétale car cette pratique nécessite également une consommation massive d’énergie (l’eau doit être pompée 2 fois) alors qu’on nous sensibilise à la sobriété énergétique. Les mêmes qui justifient l’utilisation du glyphosate pour consommer moins de carburant vont reporter cette économie sur l’irrigation. À l’heure où on doit diminuer notre consommation de viande, on priorise les cultures végétales destinées à l’alimentation animale des hors-sol, au détriment des cultures dédiées à l’humain qui dégagent pourtant plus de valeur ajoutée. Une irrigation responsable, durable et qui admet que l’eau est un bien commun qui doit être partagé entre tous et pour tous les besoins respectueux de l’environnement.
Bravo ! Vous racontez "ma vie " si ce n'est que je suis passé en vaches allaitantes et tout désintensifié et Oui la vie est devenue beaucoup moins stressante. Merci à vous belle réalisation, ça met du baume au coeur, je me sans moins seul. Merci.
Merci pour votre intérêt ! Pour l'instant, nous privilégions les diffusions en ligne suivies de débats. N'hésitez pas à suivre notre page facebook.com/DeTERREmines/ afin d'être tenus au courant des prochaines diffusions ! Le documentaire sera en ligne d'ici quelques mois.
bonjour et félicitations pour votre documentaire: les éleveurs français sont convaincants et réconcilie avec leur métier pas repoussoir du tout. Des traductions sont prévues pour les séquences allemandes, espagnoles,..
