Damel merci de montrer à cette génération de lutteurs et au monde entier cette grande richesse de notre patrimoine historique, culturel. La lutte est ce que le sumo est au Japon . Il allie à la fois la force physique, le courage , l’endurance, l’honneur « le nom ». La lutte sénégalaise est la vitrine de notre diversité culturelle, folklorique, régionale, ethnique , avec les rites , les chants , les danses dans l’unité et la fraternité . Avec la disparition de ces légendes de la lutte , les regrettés Abdourakhmane Ndiaye dit falang, fodé doussou ba, falaye baldé, les bara bara, becaye, bismi Ndoye , ndiouga tine , Youssou diene, papa kane , demba thiaw , les yoro fall du ndiambour , boy Bambara, Youssou diene , sassou kor deguene , nos lutteurs du walo, Djiby Diagne , Souleymane diaw , c’est le monde qui s’effondre. Comme on le dit si bien , quand un vieillard meurt, c’est une bibliothèque qui brûle. D’où des états généraux de la lutte avec de nouvelles règles : obligation faite aux lutteurs de porter leurs tenues d’apparat traditionnel selon leurs régions d’origines , l’apprentissage et la maîtrise du Bakk et de la danse.
Mashallah Adja Ndeye Fatou. Sama baay sa baay ladone degglou. I pray for both of them. Sama xol dafa sedd ci yow. Dieuredieuf. I’m in theUSA. Dinala ziare beus bouma aksi Senegal. Yallah nangafi yagg lol.
Jai courrie toute les rue de Thiès pour regarder Mbaye donde mbaye chanté dans les années 97 98 99 même a tivaounee a côté de borom daraji que firdavw soit sa demeure eternel yalnako Serigne Babacar sy terou
Ceci me rappel mon parent feu Adja Astou Ndoye Moustaph surveillante en retraite lycée Maurice Delafosse, tantinet repose en paix, coucou @ sa griote de naissance Adja Khary Ñgoné Diagne feu Kouty Ndiaye 😅
