Do, tej pory nie OCENIALM, nikogo, ale moje Serce Pęka, że nikt ni, WIDZIAŁ, tego??? . PO ZMECZONEJ, DRODZE.... jestem do Dupy,ale jeszcze, bym CI Wiele Powiedziała i toDla CIEBIE❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤
Si l’eau se souvenait de tous les frôlements Qui rident chaque jour sa limpide surface Les toujours murmurés, les amoureux serments Les rires ou les pleurs les larmes qui s’effacent. Ô si seulement l’eau pouvait alors graver Dans ses sillons ainsi que sur le noir vinyle L’espoir repris en chœur quand résonne l’Ave Les prières, les chants, l’appel des campaniles. Saurait-elle garder souvenir de cela Dans ses sources où son flot, fendant la pierre, agile Chante tout aussi bien que les voix de ceux là Qui salissent pourtant cette onde si fragile ? Resterait-il un peu dans la glace des pôles Dans le jaillissement des grands geysers brûlants Aux nuages poussés par le souffle d’Eole Un peu des troubadours et de leurs vers galants ? Pourrait-on lire ainsi sur les berges d'un fleuve Au feu d'Alexandrie les livres consumés? Et la flaque de boue, pour peu qu'un jour il pleuve Gardera t-elle encore l'odeur de leur fumée? Christian Gastou "La colère des ombres"
Aux lattes d’acajou Le soleil s’endormait écoutant l’alizé Aux lattes d’acajou ; Posés sur l’horizon, mes yeux comme un baiser Ont caressé ta joue. À travers la persienne, il m’a bien semblé voir Ta main sur ton visage, Étonnée de sentir dans la douceur du soir Un aussi doux message. Par l’océan léché de l’écume des vagues Et son sel sur ta joue Aux tropiques toujours mon souvenir divague Et me ramène à nous Christian Gastou Gaïa - gastou.webador.fr/poesie/gaia-poesie
