Traduction mélodique de : yevdha wuliw ( mon cœur se déchire) - à 0.00 En deux, mon cœur se déchire Sur celle que je désire Un seul chemin indiqué Mes parents refusent et Ma jeunesse hypothéquée Dieu, sur ma maladie, sait La fille de ta tante t’est choisie Elle rendra heureuse ta vie Point de discorde, il y aura Si on essuie un refus Tout seul, te débrouilleras Notre fils, tu ne seras plus Va chercher à changer Ton nom, tu seras renié Ta trace, sort de la lignée Ô parents, comprenez-moi Si vous m'aimez, il faudra Me souhaiter, tous, la paix Si j'épouse ma cousine et Je ne la veux, ni me veut Pas la même mentalité Laissez-nous, donc, chercher Elle et moi, comme on peut Chacun trouvera ce qu'il veut Tu veux une fille qui te prenne Pour elle, seule, que tu deviennes Un homme sans sa dignité C’est elle qui va décider Tous tes amis, t’enlever Sa mère deviendra la tienne Ton honneur, piétiné Comme du bétail, gardé Et Dieu, Seul, peut te sauver J’aime une fille de lignée Née au pays adoré Où l’on est digne de respect Elle sait élever, cuisiner De la maison s’occupant Et sa seule vue égayant Très bonne, posée, sensée Tous deux, va vous aimer Comme elle, vous ne trouverez. N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Traduction mélodique du refrain et des 3 premiers couplets de : walaghts zdathi (Je la vois devant moi) - à 6.01 Devant moi, je la vois Je ne la reconnais Elle a changé, pour moi Pour elle, j’ai changé Dis-moi donc si c’est bien toi Les années ont passé, je t’ai oubliée Je te vois comme si Tu es fatiguée Ce sont des soucis Ou tourmentée ? Dis-moi donc si c'est bien toi Les années ont passé, je t'ai oubliée Dis-moi, je t’en prie C’est ton fils, là ? Il ressemble à toi Tes yeux, il a pris Dis-moi donc si c’est bien toi Les années ont passé, je t’ai oubliée J’ai une photo du temps Faste, pour toi Tu la verras, maintenant Est-ce que tu croiras ? Dis-moi donc si c’est bien toi Les années ont passé, je t’ai oubliée N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Traduction mélodique de : tejra ilili ( La plante de laurier* ) - à 11.50 Je sortis du mauvais pied Quand je te rencontrai Ma chance, de moi, s'est jouée Je crus planter un rosier Quand j'allai regarder Je trouvai un plante de laurier Ô plante de laurier* Jolie est ta fleur Belle à regarder Amer est ton cœur Tu ressembles au laurier Sa fleur est très belle Chère à regarder Ton cœur est cruel Qu'est-ce que tu m’as dit Avant qu'on se quitte Tu avais dit oui Et tout accepté Mais tu ne mérites Ce qu'on t'a choisi Va donc rencontrer Celui qui va me venger Va ô malicieuse Mieux, se séparer Ta voie est mangeuse Visible, pas cachée Tu as posé un collet Tapissé de soie Il m’a pris, c’est vrai Derrière, c’était toi Tu m’avais quitté La maison égaie Laisse-moi, s’il te plaît Le cœur, soulagé Va t’en, pardonne-moi De ma part, c’est fait J’accepte, quitte-moi Que réconciliés. N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson. *Laurier rose, plante toxique. A ne pas confondre avec le laurier vrai ou laurier-sauce ( rand )
Traduction mélodique du prélude, du refrain et du 2e couplet de : Nighas kker (Je lui ai dit : Lève-toi)- à 16.40 Mon cœur, de nuages, couvert Pour lui, c'est l'hiver Dehors, soleil pour les gens Toujours, le stress augmentant La misère l'accentuant Tous les deux, de pair, venant Je lui dis lève-toi : Refus Ma chance est irresponsable De sommeil, jamais, repue Moi, malade, elle, responsable Son déjeuner : La colère Son dîner, c'est les misères Son tourment, nul ne le sait Et nul ne le comprendrait Son sort est comme le laurier* Il l'a cueilli des rivières *Le laurier rose N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Traduction mélodique du prélude, du refrain et du 1er couplet de : Rou ya zahriw ( Pleure, ô ma chance) - à 22.03 C'est dur, trop d'adversité Le cœur, facile d'éclater C'est dur, notre destinée Même si Dieu a l'équité Pleure, ô mon sort Assiste-moi, dans mes pleurs Pour sauver mes yeux Il te faudrait m'assister Car c'est toi la cause Pour tout ce que tu m'as fait Il ne reste pas grand-chose Tant de peine, tu m'as causée Je te laisse la chose N.B. Ces vers peuvent chantés avec la musique de la chanson.
Traduction mélodique de : Tnadigh Fellam (Je te cherche) - 26.25 Je te cherche et Où est-ce que tu es ? Je t'ai recherchée La nuit, la journée J'ai soif de ta beauté De tes propos, affamé Pourquoi me tuer ? Même si je te vois Je te sais, éloignée Même si, avec toi Toi, tu ne le sais Même si je t'ai cherchée A ma vue, cachée En rêve, je trouvais Ce que tu m'ôtais Si je veux te voir Je ferme les yeux, ainsi Je t'imagine, le noir Seul, dans mon esprit Laisse-moi cacher Le secret dans mon secret Je ne veux m'en séparer Dans mon cœur, gravé Mes pleurs étaient narrés A ceux qui écoutaient Mes blessures montrées A ceux qui les voyaient Tout ce que j'ai cherché Tu demeures cachée Peut-être élucubrée Par mon cerveau, créé N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
C'est un vendu et rien dans le s..p, qui ne ce souvient pas de 1999 et de ses applaudissements devant son maître Bouteflika qui était venu salir la langue Amazigh
اغاني ايت منقلات صالحة لكل زمان و لكل جيل ولكل جنس انثى او ذكر لكل عمر شابا وكهلا وشيخا وكل واحد يفهم معان اغانه على حسب احساسيه ووجدانيه طال الله في عمره ان شاء الله ومزيد من العكاء
Lounis Ait menguellet est quelqu'un cher pour moi il a beaucoup de valeur tout ce qu il raconte c est ce qui ce passe de nos jours je chanterai ses chansons et les