"Un des principals éléments....ça fait mal.... Comme le reste du contenu qui est lacunaire. Les royalties perçus par l'auteur est comme un CA sur lesquels il doit payer ses charges sociales auprès de l'URSSAF donc rien que là...c'est faux. La Maison d'Edition n'a aucun droit de modifier l'œuvre de l'auteur. L'auteur est donc censé avoir le contrôle total sur l'œuvre. Se référer aux textes de lois et en l'occurrence le code de la propriété intellectuelle. Il y a une différence entre pratiques et cadre légal. Il n'empêche que la loi est claire sur ce sujet. L'auto-édition est une alternative possible maks vous faites impasse sur le réseau de distribution. Les libraires les prennent majoritairement en dépôt vente et imposent les marges alors que la loi Lang prévoit que la ME est chargée de définir les marges. Non le marché du livre n'est pas censé être concurrentiel puisque la loi Lang justement vise à contrer cette vision et ces pratiques. "On ne vit pas de ce métier". Vous êtes bien mignons mais vous oubliez qu'il y a auteur et illustrateur et l'illustrateur c'est son métier. Il a un numéro SIRET et doit en vivre. C'est son taf, pas une source de revenus complémentaire. Employer le terme "dessinateur" est carrément à côté de la plaque et montre la maîtrise du métier (sarcasme) Non on ne pratique pas un hobby quand on écrit et qu'on illustre ! Le livre poche n'est pas un choix et encore moins initial. Le livre poche ne peut se faire qu'après avoir édité au format broché. Le ebook n'est plus du tout "minoritaire". Le terme est mal choisi. Il reste inférieur mais certainement pas minoritaire. Les chiffres depuis 2022 montre une hausse considérable du livre numérique. Sur les 36% du prix du livre le libraire déduit ses charges. Oui, l'illustrateur aussi (électricité, coût des logiciels, médiums tradi, charges sociales..etc) La librairie a une TVA à 5.5 contrairement aux autres commerces. Les libraires ne devraient pas avoir la possibilité d'exiger au delà de 25% et là la chaîne du livre serait plus équitable. Les comptes d'auteur sont effectivement souvent des contrats abusifs. Pas toujours toutefois. Je ne vais pas faire un cours ici mais si cette pratique est souvent abusive, il n'y a pas à diaboliser car c'est parfois une possibilité qui peut s'avérer utile pour l'auteur. Je rejoins l'avis sur les petites ME.
Bonjour et merci pour votre retour sur la vidéo, même si celui-ci est plutôt à charge sur le contenu proposé. Bien sûr, je suis débutant dans le domaine et, comme vous l'aurez compris en regardant la vidéo, je n'ai pas encore publié de livres. J'ai encore beaucoup de choses à apprendre et à comprendre dans cet univers vaste. J'ai tout de même essayé de faire de mon mieux, même si j'ai pu éventuellement faire des erreurs, des approximations ou des oublis. En revanche, vos remarques ne sont pas forcément fondées en ce qui concerne le terme "hobby" cité par Lila la stagiaire en librairie. Elle ne parle pas du métier des auteurs, mais des lecteurs, donc oui, la lecture reste un hobby. Il n'y a pas de mépris dans cela. Vous expliquez ensuite que le terme "dessinateur" est également méprisant et que cela confère notre amateurisme et notre malhonnêteté. Je ne vois absolument pas pourquoi. D'après ce que je comprends, vous préférez la terminologie "illustrateur", ce que je peux entendre, mais le terme "dessinateur" n'est absolument pas péjoratif. En revanche, je vous accorde que je me suis mal exprimé concernant les bénéfices de l'auteur. Je précise tout de même qu'il s'agit d'un bénéfice hors taxe. Je comprends que cela puisse être imprécis et mal expliqué, mais cela n'en est pas moins vrai pour autant : les charges sont bien plus lourdes pour les éditions, librairies, imprimeurs. On parle de salaires à verser, de frais matériels et d'investissements qui sont bien plus conséquents que ceux des auteurs. Prétendre le contraire serait de mauvaise foi. Vous parlez ensuite du fait que les éditeurs n'ont pas le droit de modifier les œuvres des auteurs, ce qui est vrai. Mais ce n'est pas ce que j'explique. Je précise que les éditeurs exigent des modifications avec évidemment l'accord de l'auteur. Si celui-ci ne veut pas, il peut légalement refuser, mais dans ces conditions, cela engendrerait souvent un litige entre les deux parties, conduisant à un abandon du projet dans la plupart des cas (mais cela reste du cas par cas). Vous expliquez également que le marché du livre n'est pas concurrentiel en vous appuyant sur la loi Lang qui vise à protéger le secteur du livre. Mais c'est hors propos puisque le passage que vous incriminez parle de l'aspect commercial : est-ce qu'un lecteur favorisera un livre avec une belle couverture ou un livre moins joli avec une mise en page sans illustration ? Du coup, oui, il y a bien un aspect concurrentiel. Le livre reste un produit de consommation qui engendre des facteurs de coup de cœur et favoriser ces éléments ne rentre absolument pas dans le cadre de la loi Lang. Vous ciblez également le fait que je prétende qu'il est très difficile de vivre du métier d'auteur. Je persiste et signe que oui, il est très dur d'en vivre. Si vous n'appréciez pas cet état de fait, cela vous concerne, mais cela n'en fait pas moins une réalité. Le fait que certains auteurs ne le font pas pour en vivre mais purement pour leur épanouissement et leur plaisir reste également une réalité, même si cela vous déplaît. Et oui, ils ont beau avoir un numéro de SIRET et déclarer leurs revenus, si leurs revenus sont trop faibles pour en vivre, doivent-ils vivre dans la précarité ? Ce n'est en rien une obligation d'en faire une profession à plein temps, c'est un choix personnel. Je respecte ceux qui le font, mais tous ne le font pas pour différentes raisons, notamment économiques. Vous passez ensuite à une remarque sur le livre de poche (je ne comprends pas pourquoi vous mettez cet élément en avant, je n'ai pas trouvé le rapport avec la vidéo). Dans tous les cas, sachez qu'il est tout à fait possible de publier un format poche sans être paru avant dans un format classique, même si cela reste assez rare. Ensuite, vous chipotez sur le terme "minoritaire" pour les livres ebook tout en admettant qu'ils sont toujours inférieurs. Là, vous partez sur de la sémantique dont je ne vois pas l'intérêt. Puis vous expliquez que la TVA applicable aux libraires est de 5,5%, contrairement à tous les autres commerces. Pour le coup, vous omettez les produits alimentaires qui sont sur la même base d'imposition, et même un taux à 2,1% pour les produits pharmaceutiques et l'audiovisuel, la presse, les journaux, les magazines... Pour clôturer cette réponse, je vous dirai que je ne trouve pas vos propos dénués de sens, mais je perçois clairement une prise de position hostile à l'encontre des propos que j'ai tenus dans cette vidéo. C'est dommage, car plutôt que de m'apporter un avis constructif qui pourrait m'aider à m'améliorer (car je ne prétends pas avoir la vérité absolue, j'apprends et je peux commettre des erreurs), vous m'attaquez, quitte à être partiellement de mauvaise foi par moment.
En tant qu'amoureux des livres, et auteur a succés ( avec au moins 4 lecteurs), je plussoie ce que vous dites ! Toujours aussi claire et bien filmé, bravo a vous !❤❤❤
Quel mode de vie a la con... Je ne comprendrai jamais pourquoi autant de personnes adhérent et s'imposent des modes de vie avec autant de contraintes débiles et sectaires...
@RiposteSelfDefense haha 🤣 c'est sûr qu'il y a des contraintes, je ne suis pas certain de pouvoir garder le silence aussi longtemps! Mais en revanche je ne dirais pas que le mode de vie est con c'est une recherche spirituelle et intellectuelle... Il faut de tout pour faire un monde
Oui, les diciples qui ecoutaient en respectant le silence étaient nommés "acoustamiciens". Même les années d'apprentissages silencieux passées, les membres de la secte étaient tenus au silence et au secret ( leur signe de reconnaissance étaient le pentagramme, il suppose la connaissance du rapport 1, 617... dit nombre d'or, et c'est un nombre irréfutable, tend vers l'infini, connaissance à laquelle seuls avaient acces les initiés). Enfin dernier point : l'aritmosophie. 1-l'indivisible, l'origine, le principe. 2- la continuité de l'un, 2 points = une ligne. 3- Le logos, le discours organisé, la figure ( le triangle, par excellence), 4- la matière organisée ( a partir de 4 on peut dessiner une figure tridimensionnelle).. 5- l'Homme, celui qui joint l'esprit à la matière et c'est bien visible dans son théorème 3 ²( Le logos, l'esprit qui organise ÷ 4² ( la matière) =5² ( l' homme, dans le tracé, l'hypothenuse. La ligne qui joint l'esprit à la matiere. À été repris et développé dans certains textes ( assez gnostiques, d'ailleurs),du debut du christianisme, comme l'Evangile de Jean ( prologue) : "En arche hos logos" , traduit par " au debut etait le verbe" ( organisateur) , et en mathématiques plus tardivement par la suite de Fibonacci, pour le nombre d'or, qui a permis l'invention de la perspective en peinture, mais a aussi servi pour l'architecture et la musique, en effet. Informations complémentaires. Bonne journée.
le terme disciples est la plus grande anarque... Des gens qui te consulte et change l'interprétation de ce que tu dis. J'appelle ça légitimement des consultant et non des disciples surtout quand on voit ce qu'il ont transmit .. D'ailleurs il était plus connu pour passer 70% de son temps et travaux dans l'ésotérique ( paraspycologique etc ) que sur se triangle rectangle U_u Mais bon voilà comment cacher l'arbre dans la forêt
@gilougilouu104 Je ne suis pas en désaccord avec vos propos mais tous les disciples de Pythagore n'ont pas forcément pris les mêmes orientations, ce serait donc réducteur de les stigmatiser dans le simple domaine de la parapsychologie... Mais il est totalement avéré que certain ce son spécialisé dans ce domaine. En ce qui concerne le terme consultant plutôt que disciples j'ai du mal à saisir la logique🤔
Je comprendrais jamais l'engouement pour ce sport ! Il y a tellement de sports plus sympa ! Le rugby, le curling, le hockey subaquatique, même le quiditch est plus sympa à regarder. La 22 mecs surpayés qui courrent après la baballe en tombant pour un rien, ça me gave ! Avis très personnel bien sûr....😂
Les Fables de La Fontaine sont un vulgaire plagiat des Fables d'Ésope Oui, les Fables de La Fontaine sont en grande partie des adaptations des fables d'Ésope, le véritable inventeur unique de ce genre littéraire . Plusieurs critères de plagiat s'appliquent: La Fontaine a utilisé les idées, conceptions et histoires d'Ésope comme base de ses propres fables, sans toujours reconnaître explicitement la source . Il a incorporé des éléments des fables d'Ésope (personnages, morales, etc.) dans ses propres versions, en les réécrivant dans son style poétique . Bien que La Fontaine ait adapté les fables à un public français, il s'agit d'une reprise substantielle du travail original d'Ésope Plutot que de parler des fables de lafontaine qui n'est qu'un vulgaire plagiaire, parlez d ESOPE
@allthesoftwareyouneed4161 Il est totalement vrai que Jean de la Fontaine a développé ses Fables sur le travail de Ésope mais pas que, Babrius, Phèdre, Abstémius, Rochefoucauld, Pilpayde de Gabriele Faerno, de Flavius Avianus, d'Aphthonios, de Giovanni Maria Verdizotti, des textes d'Horace, d’Hippocrate et bien d'autres encore... De là à dire que son travail est un vulgaire plagiat ça reste culotté... Je tiens à vous rappeler qu'il y explique sa démarche et cite ses sources, loin de cacher son inspiration, il les met le plus possible en avant, et les mentionne même. Nous ne sommes que les héritiers de nos prédécesseurs... Et transmettre ces derniers même après une adaptation est bien plus un hommage qu'un vulgaire plagiat comme vous le nommez. Si on ne s'en inspirait pas, où en serions nous ? Sans passé." Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme". Si nous avions voulu faire les Fables d'Ésope ce que nous ne manquerons pas de faire à l'avenir, nous ne le ferions pas dans le but de discréditer Jean de la Fontaine...
@@ArtetlaManiere Je vous invite a rechercher la définition du plagiat des oeuvres litttéraires. C'est un crime puni par la loi et défini en fonction de plusieurs critères précis. Il faut arrêter de se cacher derrière des arguties telles que si on ne s'en inspirait pas ou serions nous? Si je fais un plagiat d'Harry Poter je doute que les avocats de J. K. Rowling me diront "Si vous ne vous en inspiriez pas ou en serions nous" ? Le verrait ils comme un hommage ? La fontaine ne mérite aucunement la place qu'il a dans la littérature.
Plagiat = action de plagier, de copier l'œuvre de quelqu'un d'autre en la faisant passer pour sienne ( définition Larousse) Étant donné que Jean de la Fontaine a explicitement cité Ésope et ses autres inspirations ou est donc le plagiat ? Si vous souhaitez vouer une haine à cet auteur grand bien vous fasse, mais ne déformez pas la vérité...
Je vous trouve un peu sévère avec moi, prenez en compte que cette vidéo était ma première😊 mais il est vrai que j'ai pû bafouiller ou manger des mots...
@etiennelemieux472 Je ne connaissais absolument pas. j'ai même du chercher pour comprendre la référence... ( Pour ce qui veulent savoir, un générique très similaire au notre existe déjà de longues dates une oie cacarde et qui tousse.) amusant la coïncidence, rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme...
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