Luc lavoie ! Le libéral ! En as plein le cul!! Devant la réalité ! Imposer les musulmans dans les écoles ! Luc lavoie c’est une vraie honte! Tva devrait banir ce raisonnement libéral !
La démission de trudeau ! Sera obligatoire ! L’ingérence indienne ! Soumit par la grc! Du Canada ! Oblige trudeau as démissionner ! Ont s’enfout de la lois des fédéraliste de trudeau ! Ici aucune religions ! Dans mes ecoles!! ( luc lavoie ! As aucun arguments contre Mathieu ! Luc c’est les libéraux elus minauritaire ! Contre le peuple !!! 😂😂 et tout le monde le sait !!!
MBC, Bahahahah pois des québécois au Canada pas tenable? Trudeau (père, fils), Martin, Mulroney, Chretien, etc presque toujours un premier ministre du Canada québécois…..
Depuis des décennies, les peuples autochtones du Québec et du Canada, ainsi que les communautés afrodescendantes, réclament justice et reconnaissance. Ces groupes marginalisés luttent pour faire reconnaître un passé douloureux marqué par l'esclavage et le racisme systémique, des réalités souvent ignorées ou minimisées dans l'historiographie québécoise. Bien que l'esclavage ait été officiellement aboli au Canada, le poids de l'histoire coloniale continue de peser lourdement sur les relations entre les peuples autochtones, les Afrodescendants, et l'État québécois. Une analyse rigoureuse de cette problématique ne peut se faire sans tenir compte de la Constitution canadienne, des enjeux contemporains d'injustice et de discrimination, et du respect fondamental que méritent les peuples autochtones. Il est crucial de reconnaître que le Québec, contrairement à ce qui est souvent présenté, n'a pas été un modèle d'abolition de l'esclavage ou de respect des droits autochtones. Lorsque l'on évoque l'histoire du Québec, il est souvent omis de rappeler que l'esclavage des Noirs et des Autochtones a été une réalité tangible en Nouvelle-France. En effet, le Code Noir, un ensemble de lois qui régulait l'esclavage dans les colonies françaises, s'appliquait également en Nouvelle-France. À une époque où la société européenne s'enrichissait grâce à l'exploitation des peuples africains et autochtones, la colonie québécoise n'a pas été épargnée par cette pratique inhumaine. Cependant, il est primordial de souligner que ce ne sont pas les autorités locales de la Nouvelle-France qui ont aboli cette abomination, mais bien les Anglais, après la conquête de la colonie française en 1763. L’abolition de l’esclavage ne peut donc pas être attribuée aux actions progressistes des autorités françaises, mais plutôt à une dynamique plus large de l’Empire britannique, qui, malgré ses propres péchés coloniaux, a mis fin à cette pratique dans ses colonies au début du XIXe siècle. Ignorer cette réalité revient à nier une part cruciale de l'histoire coloniale québécoise et canadienne, une histoire qui continue d'avoir des répercussions aujourd'hui. L'abolition de l'esclavage, bien que juridiquement et symboliquement importante, n'a pas marqué la fin du racisme systémique au Québec. Les Autochtones et les Afrodescendants continuent de vivre sous le joug de politiques et de structures sociales qui perpétuent leur marginalisation. En effet, même si la Constitution canadienne, notamment à travers la Charte canadienne des droits et libertés, proclame l'égalité de tous devant la loi, la réalité sur le terrain est tout autre. Le racisme systémique, défini comme un ensemble de pratiques, de lois et de politiques qui désavantagent systématiquement certaines races ou groupes ethniques, est une réalité omniprésente pour les Autochtones au Québec. Ce racisme est enraciné dans des siècles de discrimination institutionnalisée, où les peuples autochtones ont été privés de leurs terres, de leurs droits et de leur culture. Les politiques d'assimilation, telles que le tristement célèbre système des pensionnats autochtones, ont tenté d'effacer l'identité culturelle et linguistique des peuples autochtones, un phénomène que beaucoup considèrent comme un ethnocide. La Constitution canadienne, dans sa reconnaissance des droits ancestraux des peuples autochtones, impose aux gouvernements fédéral et provinciaux le devoir de consulter et d'accommoder les peuples autochtones dans les décisions qui affectent leurs terres et leurs droits. Cependant, cette reconnaissance reste souvent théorique, et les pratiques discriminatoires et l'ethnocide continuent de marquer les relations entre l'État québécois et les Autochtones. Il est impératif de commencer par respecter les peuples autochtones dans leurs droits fondamentaux, notamment leur droit à l'autodétermination et à la préservation de leur culture. Le respect des traditions, des langues et des territoires autochtones n'est pas seulement un impératif moral, mais aussi un devoir inscrit dans la Constitution canadienne à travers l'Article 35, qui reconnaît et affirme les droits des peuples autochtones. Le refus de respecter ces droits est une continuation du colonialisme sous une autre forme, et il est grand temps que cette injustice prenne fin. L’interculturalisme est souvent présenté comme un modèle d’intégration fondé sur le dialogue entre les cultures, la reconnaissance de la diversité et la promotion d’une identité nationale commune. Ce modèle, particulièrement promu au Québec, met l'accent sur l’interaction et le respect mutuel entre les différentes cultures, tout en préservant une identité collective dominante. À première vue, l’interculturalisme semble être une réponse progressiste aux défis posés par la diversité. Cependant, une analyse plus approfondie révèle que ce modèle peut contribuer à la perpétuation de la suprématie blanche, en exigeant une assimilation tacite des minorités à la culture dominante, souvent eurocentrée. En d’autres termes, l’interculturalisme valorise le dialogue et la coexistence, mais il place souvent la culture dominante dans une position de contrôle, où les autres cultures doivent se conformer ou s'adapter. Dans ce contexte, l’interculturalisme peut être perçu comme une version modernisée de la suprématie blanche, où la culture euro-canadienne est maintenue comme norme, tandis que les cultures minoritaires sont tolérées dans la mesure où elles ne menacent pas cette norme. En refusant de reconnaître le racisme systémique, le Canada - et particulièrement le Québec avec son modèle interculturaliste - échoue à admettre que certaines cultures et communautés continuent de bénéficier de privilèges hérités du colonialisme et de l'histoire de la suprématie blanche. Le concept de suprématie blanche ne se limite pas aux groupes ouvertement racistes ou à des actes de violence. Il englobe également les structures de pouvoir qui, intentionnellement ou non, favorisent un groupe au détriment d’un autre. La non-reconnaissance du racisme systémique par les institutions canadiennes peut être perçue comme une forme de défense implicite de cette suprématie, en refusant de confronter les inégalités profondes qui persistent au sein de la société. Les statistiques parlent d’elles-mêmes. Les peuples autochtones, par exemple, continuent de subir des discriminations massives dans tous les secteurs de la vie publique. Les taux d’incarcération, de pauvreté et de mortalité infantile chez les communautés autochtones sont nettement plus élevés que ceux des populations non autochtones. Ces inégalités, loin d’être des accidents isolés, sont le produit d’un système qui a historiquement marginalisé ces communautés et continue de le faire. En parallèle, les populations noires, notamment dans les grandes villes canadiennes, sont disproportionnellement ciblées par les forces de l'ordre, subissent des discriminations sur le marché du travail et ont un accès limité à des opportunités économiques et éducatives équitables. Ces réalités montrent que le racisme systémique n’est pas une fiction, mais une vérité quotidienne pour de nombreux Canadiens. L’incapacité des institutions canadiennes à reconnaître et à traiter le racisme systémique pose un danger non seulement pour les communautés racisées, mais pour la cohésion sociale dans son ensemble. Lorsque l’État Quebecois refuse de nommer et de confronter ces injustices, il crée un climat de méfiance, de frustration et de désespoir parmi les groupes marginalisés. De plus, cette inaction renforce la perception que certaines vies sont moins importantes que d’autres, perpétuant ainsi les dynamiques de pouvoir héritées du colonialisme. Il devient donc crucial que les décideurs politiques prennent des mesures concrètes pour reconnaître le racisme systémique et élaborer des politiques qui abordent ses causes profondes. En refusant de reconnaître le racisme systémique et en promouvant un modèle d’interculturalisme qui favorise implicitement la culture dominante, le Quebec perpétu les dynamiques de pouvoir héritées de la suprématie blanche. Pourtant, la constitution canadienne, à travers la Charte des droits et libertés, offre un cadre puissant pour lutter contre ces injustices. Il est donc impératif que les décideurs politiques, les institutions publiques et la société civile prennent des mesures courageuses et concertées pour confronter cette réalité et bâtir un pays véritablement égalitaire et inclusif.
Le quebec indépendant va tout de suite impacter la vie des quelques francophones vivant dans les autres provinces anglophones. Ils vont être discriminés, mis à l'écart pour le travail, le logement et les anglophones du quebec vint je pense avoir aussi certains problèmes de cohabitations avec les francophones
Merci pour la qualité de cette réactualisation de la mémoire littéraire, intellectuelle, la parole qui incise comme un verre, un vitrail lumineux, avec une présence spirituelle qui demeure … d'un, écrivain et acteur de la vie sociale et politique, c'est vrai, mal ou hélas, témoin d'une "certaine" caractérisation…, qui perdure et crée l'injuste évitement !... méconnu pour son engagement à bien des niveaux… exemplaire !...
radio canada est une des pires raio et télé mondiales , une censure incroyable , un refus de vérité , un refus de l opinion de l autre ; seule une unique pensée
“Vive Le Quebec Libre” Charles de Gaulle Montreal 1967. Salutations de la Thailand 🇹🇭 Johannes K. Lindgren. Née en Suomi-Finlande. Residence La Thaïlande:
Il y a pleins de pays dans monde qui on environ 10 millions de population. Au Québec on est 9 millions. Pourquoi on se ferait pas un pays nous aussi pis fini les chicanes calvince. Pourquoi, parce qu’ils veulent continuer à nous assimiler et nous appauvrir pour leur bo grand Canada.
La realite c est qu ils ne veulent pas parler francais et ne font aucun effort et ceux qui sont bilingues preferent parler l anglais , c est ca la realite montrealaise meme si on est au Québec et que presque tout est en francais a Montréal, donc pour contrer ce phenomene le quebec doit devenir unilingue francais en commencant par montreal
Libéraux de monréal ouest. vous avez votre agenda, le reste du Québec à la sienne. Le fédéraliss centralisateur au canada, ça fonctionne pas politiquement, économiquement et juridiquement pour la majorité des provinces. Pas juste pour le Québec.
Mme Latraverse ! Entrer dans la caricature pour illustrer un propos, exploite les effets faciles et simplistes du sujet. L'argumentation caricaturale présente une certaine limite et ne légitime pas toujours le propos.
René l'évêque était un homme admiré et qu, on se souviendra toute notre vie. Il a marqué l, histoire du Québec. Il devrait en avoir un autre comme lui ,il était vraiment un vrai..québécois. ❤❤❤❤❤❤❤❤
Les libéraux oublient toujours le 1.8 million d'autochtones canadiens qui feront face aux 500 000 immigrants de Trudeau. Le nettoyage ethnique du Canada anglais va bon train en faisant fondre les deux autres peuples fondateurs aussi vite que les glaciers.
Curieux cet appel à l’échec vs souveraineté. C,est plutôt la peur de l’échec qui nous fait choisir ce qu’on connaît en restant dans le Canada malgré notre minorisation. Je me méfie du nationalisme de côté, je suis plutôt pour un Québec multiculturel… indépendant ou non, j’aime l’incertitude canadienne, mais je dois admettre que Charest est bien le fils de son roublard de père, pour rester poli. Vous ne devriez plus accepter de débat avec lui, il se sert de votre célébrité pour advenir, comme l’autre.
J'ai rarement vu Un écrasement argumentaire aussi extrême de la part d'un débatteur vs un adversaire payé par un média national de propagande... quelle erreur que d'inviter Mathieu Bock-Cote a radio-canada pour débattre avec un pauvre type de ce niveau... maintenant je comprends mieux pourquoi M B-C est capable de débats avec les européens , et que R-C ne va jamais commettre a nouveau l'erreur d'inviter un homme trop fort pour les apologistes de cette mauvaise farce qu'est le Canada...
Lorsque les québécois vont comprendre que les britanniques du '' Caneda '' PERSÉCUTENT les premiers canadiEns de l'origine, i.e. les francophones, en utilisant le nom sacré de nos propres ancêtres contre nous, ils vont peut-être avoir trouvé la réponse fondamentale à la question fondamentale.
Soyez fier d'être blanc les droits de l'homme c'est la France l'arrêt de l'esclavage c'est les blancs en Afrique il existe toujours il dans encore beaucoup de pays musulmans
6% d'appui de francophones chez les libéraux. Oui c'est une belle réussite et tout va bien le français n'est pas en déclin. Dehors les libéraux et vite!
@@Sebastienpoliquin Je disais mouton dans le sens qu'ils ont toujours trouvé le moyen de nous tondre... Même le Général De Gaule n'a pas pu changer ça... S'faire tondre par des Anglais ou des Français, c'é pareil, on fini tondus pareil... ⚜
C’est juste que l’immigration n’est pas contrôlée et n’est plus assimilée en français. Elle devrait s’auto régulariser.Par contre cardinal n’est pas nuancé et manque d’évolution de conscience sur l’histoire du Québec.
Je suis une personne non-voyante. Un jour, j’ai entendu cette chanson en extrait dans un documentaire télévisé, diffusé sur une chaîne en France, et je me suis demandé : « quel est ce chanteur à la voix tonitruant ? » J’ai compris après qui c’était et j’ai découvert son répertoire petit à petit. Mes condoléances au peuple québécois, à sa famille et à Ginette, Renaud.
Chers Québécois, je suis français et j'ai été ému aux larmes par les mots de René Lévesque. A travers son discours, beau et très émouvant, il a su faire ressortir les liens si forts qui unissent nos deux pays: liens ethniques, culturels, linguistiques, historiques. Le vieux pays a une dette envers vous, celle de vous avoir abandonné en 1763. Malgré cet abandon, vous avez montré au monde ce qu'un peuple qui a peur de mourir peut faire. Chers Cousins du Québec, ou si vous me permettez, Chers Frères, il est temps pour vous de marcher sur le chemin de l'affranchissement et de l'indépendance! Pensées émues et fraternelles.
