Figures très libres du paysage musical français, Rosemary Standley et Dom La Nena s’associent en un duo époustouflant pour interpréter un nouvel album de reprises d’horizons multiples. Après un premier album en 2014, Birds on a Wire revient avec un nouvel album "Ramages", composé de reprises de Pink Floyd, Gilberto Gil ou encore Jacques Brel. Un nouveau voyage musical dans toutes les langues, riche en beauté et en émotions.
Connue en particulier pour être la chanteuse du groupe Moriarty, Rosemary Standley apparaît comme l’une des voix les plus remarquables de la scène contemporaine. À la fois chanteuse et violoncelliste, la brésilienne Dom La Nena s’est quant à elle affirmée comme l'une des plus grandes chanteuses d'Amérique Latine (selon NPR) et acclamée dans la presse internationale (NY Times, The Wall Street Journal, Le Figaro, BBC…).
Nouvel album 'Ramages' : lnk.to/BirdsOnAWireRamagesID
birazdan çıkacağım yürüyüşü kendime bir hediye diye süslediğimde içimden hep; büyürken bana hızlanmalısın demeyip çiçekler uzatan elleri, öğrenirken o yavaşlıkta kendi benzerine, anlayanına rastlayacak olmayı, bir şeyleri kaçırdığım veya geriden geldiğim duygusuna kapılmadan sevdiğim her şeyin peşinden koşacağım, evet! düşlediğim yaşamla bir yerde göz göze geleceğim… tabi ki la marelle eşliğinde. yirmi yedi! hadi başlayalım… :)
Chapeau bas, interpréter du Jacques Brel comme ça, c’est un grand hommage que vous lui rendez, il aurait sûrement aimé ça dans son île Marquises où il repose pour l’eternité…
Je ne partage pas cet ensemble d’éloges .Certes voix agreable, mais l’interprétation monocorde est sans la flamme qu’évoque la chanson . Et puis le clip!!! Cela correspond à quoi cette « tauromachie »? C’est plutôt le taureau qui doit pleurer sa destinée.
Toute la carrière chez Phillips de J Brel a été largement occultée, alors qu'elle est remplie de bijoux comme cette chanson et bien d'autres. Il n' y a pas que " quand on a que l'amour" et "ne me quittes pas", il y a " seul", " la colombe", " je ne sais pas" , " il pleut", " grand jacques" " pardon" ,, " j'en appelle" , " l('ivrogne", " vivre debout" etc et ne pas trop écouter ceux ou celles qui donnent à jacques Brel des mauvais points sous prétexte qu'il chantait un peu scout catholique pour certaines chansons NON! il chantait avec son âme . Sur la place est aboutie, pourtant sur son 1er 33 T, elle ne dépareille pas avec ses grandes chansons de 1967, 68 et 77, c'est mon avis. Ici même vous l'interprétez joliment , merci du partage .
Le jeu de la marelle va de la terre jusqu'au ciel entre la chance est le puit tu reviens et c’est fini petite petite tu est la pour t’ammuser lance bien la pierre prend garde oû tu mes tes pied😂😂😂😂😂😂😂❤❤❤❤
Jogo d'amarelinha Na linha não vai pisar Pé dentro, pé fora Esse pé não vai errar Jogo d'amarelinha É pra menina pular Cuidado pra não errar Que a vida é curta menina E nada se vai levar Le jeu de la Marelle Va de la terre jusqu'au ciel Entre la chance et le puits Tu reviens et c'est fini Petite, petite fille Tu es là pour t'amuser Lance bien la pierre Prends garde où tu mets tes pieds Jogo d'amarelinha E a vida quer durar Tem um diamante de umbigo Cuidado pode quebrar Menina pequeninha Tonta de tanto chorar Teu choro é uma lagoa E é lá que eu vou me banhar Le jeu de la Marelle Va de la terre jusqu'au ciel Entre la chance et le puits Tu reviens et c'est fini Petite, petite fille Tu es là pour t'amuser Lance bien la pierre Prends garde où tu mets tes pieds Jogo d'amarelinha E a vida quer durar Tem um diamante de umbigo Cuidado pode quebrar Menina pequeninha Tonta de tanto chorar Teu choro é uma lagoa E é lá que eu vou me banhar Le jeu de la Marelle Va de la terre jusqu'au ciel Entre la chance et le puits Tu reviens et c'est fini Petite, petite fille Tu es là pour t'amuser Lance bien la pierre Prends garde où tu mets tes pieds
O Solitude O solitude, my sweetest choice! Places devoted to the night, Remote from tumult and from noise, How ye my restless thoughts delight! O loneliness, my sweetest choice! O heav’ns! what content is mine To see these trees, which have appear’d From the nativity of time, And which all ages have rever’d, To look today as fresh and green As when their beauties first were seen. O, how agreeable a sight These hanging mountains do appear, Which th ‘unhappy would invite To finish all their sorrows here, When their hard fate makes them endure Such woes as only death can cure. O, how I loneliness loves it! That element of noblest wit, Where I have learnt Apollo’s lore, Without the pains to study it. For thy sake I in love am grown With what thy fancy does pursue; But when I think upon my own, I hate it for that reason too, Because it needs must hinder me From seeing and from serving thee. O solitude, O how I solitude adores!