Fort du succès de C dans l'air, France 5 a choisi de renforcer son offre de décryptage et d'analyse de l'actualité au quotidien. Depuis septembre 2007, la chaîne a installé un nouveau rendez-vous, piloté désormais par Mélanie Taravant . Chaque jour, elle interroge de manière incisive un invité choisi pour son point de vue sur l'actualité la plus chaude. Ce rendez-vous s'est installé pour devenir un lieu incontournable de l'entretien. Face au succès remporté, ce sont désormais 10 minutes que Mélanie Taravant consacre à ses invités, illustrant ses questions de références visuelles.
Format : 10 minutes Présentation : Mélanie Taravant Réalisation : Pascal Hendrick, Jean-François Verzele et Jacques Wehrlin Production : France Télévisions/Maximal Productions
Remarquable Marie-France Garraud qui vient de s'éteindre quelle tristesse de perdre un si brillante esprit 🙏🙏🙏 qu'êtes-vous devenue madame journaliste?
C'est marrant quand on découvre les rêves de certains ( ex: le commercial qui veut devenir boulanger). Chacun doit poursuivre ses rêves. À tous ceux qui ont la chance de gagner et bien.. félicitations. Soyez heureux et pensez à planter des arc en ciel dans la vie des autres surtout les plus malheureux.
4:03 C'est une question bien naïve ! La plupart des gens très riches ne sont absolument pas partis de rien, beaucoup auraient pu ne jamais travailler de leur vie tant leur famille était déjà riche, ou bien ils ont bénéficié d'énormes pistons dans la vie, et ça ne leur pose aucun cas de conscience... alors pourquoi les "nouveaux riches" de la FDJ devraient être les seuls à culpabiliser ? J'ai parmi mes voisins une héritière multi-millionnaire, elle a travaillé en tout et pour tout 2 ans dans sa vie comme Secrétaire (vu qu'elle n'avait à peu près aucun diplôme), depuis des décennies elle est rentière grâce à ses parents, avec un train de vie invraisemblable et X appartements en sa possession, et à aucun moment elle ne culpabilise (ni n'est généreuse avec les personnes dans la panade qu'elle peut croiser)....
On a pas le droit de gagner de l’argent comme le loto et de d’oublier ou d’empêcher de prélever 20% pour le gain par dieu et pour le prophète et ses proche et plus proches proches lointain de la famille et proches amis amies au nécessiteux au pauvre au déshérités et l’aumône les gens en difficulté divers . Si on m’accepte cette liberté je peux tenter un grattage ou tierc
Serieux ce discours victimaire : "C'est la faute de la société" ! Non, c'est de ta faute... travaille, fait ta place, personne ne t'attend ! Personne ne te fera de cadeau... ni ici, ni ailleurs. Et oui c'est dur ! Il n'y a pas de privilège... travaille pour être ce que tu veux être !
@@synthifou5815 : C'est facile de prendre des exemples extrêmes pour justifier des positions absurdes. Mais oui tout est de la faute de la société... Ce n'est pas moi qui suis nul, c'est la société qui est mal faites... Si je votes à gauche, l'état providence me viendra en aide... D'autres travaillerons à ma place pour me payer mes alloc... Salauds de riches... De toute façon ils volent le peuple alors autant tout leur prendre... Ce qu'ils gagnent, en fait c'est mon argent... Je ne vais quand même pas travailler pour une misère, même avec zéro diplôme en poche... C'est les patron qui prennent tout... C'est eux les racailles... Je continue............. je peux continuer comme ça toute la journée !! ^^
@@francois-xaviergonnet7216 Malheureusement, je ne veux pas faire du misérabilisme, mais les personnes sans abris ne sont plus si rares que ça... Donc je ne vois pas trop en quoi c'est un cas extrême. Ça ne me paraît pas aberrant, quand on fait de la politique, de prendre en compte celles et ceux qui ont été laissé sur le carreaux et pas uniquement la majorité. Sinon : non, notre volonté propre n'est pas le seul élément qui joue dans notre position sociale. L'héritage économique, le capital culturel, le réseau ou tout simplement la chance peuvent être tout autant déterminants, c'est un peu de la sociologie de base... Partant de là, ça ne me paraît pas extraordinaire d'exiger que chacun ait le droit de vivre dignement.
@@synthifou5815 : "Vivre dignement" c'est le nouveau concept a géométrie variable que la gauche lance tout azimut dans les médias. C'est bien vague... chacun imaginant le niveau de ce qu'il perçoit comme étant digne un peu comme il veut... ah ça, forcement tout le monde est d'accord. Mais la solidarité ne peut pas tout... Je dirais même, elle ne doit pas tout ! Y aura toujours des pauvres... On pourra toujours exiger sans fin... Les mesures sociales s'ajouteront sur d'autres mesures sociales... Encore et encore... sans fin, et complètement décorrélé de la situation économique. Car c'est l'économie qui paie tout. Quand c'est la crise, l'état doit aider... Quand c'est plus la crise... ouhlaaaaa... on ne va quand même pas réduire les prestations sociales avec tous ces pauvres... C'est sans fin. Les fiches de paie des gens sont matraqués par des prélèvement en tout genre. Les gens se plaignent de pas gagner assez pour vivre... Et font massivement grève contre la réforme des retraites... Alors même que les retraites sont le poste de prélèvement principale sur toutes les fiches de paie. Est-ce les gens on compris comment le système marche ? J'en doute ! Enfin je pense surtout qu'ils s'en foutent... Tant que les privilèges sociaux sont maintenus...
@@francois-xaviergonnet7216 Oui d'accord. Je connais cette antienne libérale très sûre d'elle-même à base de « L'État ne peut pas tout », « Il y aura toujours des pauvres », « Ce sont les autres qui ne comprennent pas le système des retraites ». (Il serait d'ailleurs peut-être judicieux de s'intéresser aux travaux de Bernard Friot à ce sujet.) Sauf que, si on veut réellement prendre la politique au sérieux, force est de reconnaître que celle-ci n'a pas vocation à assurer le bon fonctionnement du marché, mais ce que chaque individu ait un toit, une alimentation suffisante, un accès aux loisirs, un travail qui soit le plus possible en adéquation avec ses aspirations... qu'il soit en mesure de profiter de la vie. Or, il y a suffisamment pour tout le monde. L'enjeu est celui de la répartition. Tu donnes au collectif mais en retour tu es assuré de recevoir quand tu en auras besoin (sinon qu'est-ce que tu fais encore avec ta carte vitale, j'ai envie de te demander ?). C'est bien cela qu'il s'agit de poursuivre aujourd'hui, et même de défendre face à l'incessant travail de destruction du gouvernement.
5'40" : Il faut 6 generations pour sortir de sa condition modeste !!! WHAT ?? J'ai une copine, elle vient d'un trou perdu, ses parents sont communistes... elle a fait Dauphine... elle est directrice financiere (ou pas loin) dans une grosse entreprise ! D'ou il faut 6 generations pour devenir quoi que ce soit ? Il faut juste travailler ! Bien sur qu'on ne va pas vous sortir le tapis rouge... il faut se faire sa place ! Et elle aussi s'est bien pris son plafond de verre parce que c'etait un femme ! Ca me saoul ses conneries ideologique !
Oui, la société a une structure ! Incroyable ! Oui, ceux qui sont en haut s'efforcent de garder leur place ! Incroyable ! Oui les elites ont compris qu'ils iraient moins loin seul, et du coup ils cultivent leurs réseaux ! Incroyable ! Oui il y a des plafonds de verre partout dans la société ! Incroyable ! Merde, la réalité existe ! : \
Grosso merdo c'est trois grosses enveloppes (Actions, Obligations et Immobilier) ensuite un peu d'exotique comme des forêts, des peintures, du vin etc.