J'entends déjà les «Faut pas prendre ça au sérieux ! Un peu d'humour, quoi !» Mais ce sont généralement les mêmes qui se délectent à étaler de long en large leur mépris du Français moyen (contenu dans ce néologisme insultant : "beauf"), et qui s'étranglent d'indignation si on s'avise d'en faire le 10ème avec d'autres communautés sacralisées, surprotégées, qu'ils nous ont eux-mêmes imposées. Alors là y'a plus d'humour qui tienne. C'est la 17ème chambre direct... La laideur du "beauf", elle se trouve d'abord dans le regard du bobo. Hier Chevallier se payait la tête du "beauf" (facilité, conformisme de classe et de génération, snobisme) , aujourd'hui Laspalès et Chevallier (que j’apprécie) sont certainement perçus eux-mêmes comme des beaufs par de nouvelles générations de tdc plus jeunes et plus cosmopolites.
Bpn sang, c'est pas possible d'écrire un truc aussi chiadé ! j'ai cherché dans la biographie de M Llado et je n'ai rien trouvé sur ses études musicales, ou alors il cache bien un passage au conservatoire dans des classes de composition ! Vraiment bravo comme d'ailleurs pour tant d'autres choses écrites pour le petit théatre de Bouvard et ailleurs.
Merci à vous. Ma biographie ne mentionne pas d’études musicales à juste titre : je n’ai pas suivi le cursus classique. Je suis issu d’une famille de musiciens mais j’ai appris en autodidacte en intégrant un orchestre de bal dans ma région. La performance, dans cette séquence, c’est d’avoir pu faire apprendre cette chanson à mes camarades comédiens de façon à ce qu’ils l’interprètent en direct sans se tromper… à peine dix jours après que je l’ai composée.
@giordanengo1 La chanson n'est pas un art mineur ? Non il y a même des chanteurs qui sont des artistes majeurs malheureusement c'est rarement ceux-là qu'on nous fait entendre ( voir le sort réservé à l'immense Allain Leprest ). C'est cet état de fait qui entretient le malentendu. A tel point qu'aujourd'hui on voit un tas de chanteurs prétendre qu'ils font de la Musique (Si tel est le cas alors je suis d'accord avec Gainsbourg ils ne sont que des artistes mineurs).
Der kleine verlorene Ball ( freie Nachdichtung von Leobald Loewe, August 2009) Der Krieg war eben erst vorbei, als auf zertretenem Parkett - bei einem kleinen Ball im Frei’n - sich fanden zwei, ganz unverdeckt, sie tanzten zwischen Trümmern doch auf diesem Ball |: wie hieß er noch :|4x
Sie tranken aus dem selben Glas und gaben sich beim roten Wein das heilige Versprechen dass sie immer, immer glücklich sei’n sie lachten zwischen Trümmern doch auf diesem Ball, |: wie hieß er noch :|4x Nein, mir fällt der Ort ...
Als die Akkordeon-Musette verstummte, gingen beide fort , der Abend fiel auf das Parkett und auf die Trümmer in dem Ort, es war so traurig wie zuvor auf diesem Ball, |: wie hieß er noch :|4x
Superbe chanson ! Les paroles de Robert Nyel collent à la musique de Gaby Verlor d'une façon magique ! Emotion et Poesie ! à ce niveau la chanson n'est plus un art mineur n'en déplaise à notre ami Gainsbourg !