Toute l'information d'ARVALIS en vidéos sur les techniques de production et les débouchés alimentaires et non-alimentaires destinées aux producteurs de grandes cultures et fourrages.
(°0°) les couverts végétaux sont forcément liés au " non labour " car on ne peut difficilement les implanter avec un labour ... sauf à accepter d'avoir deux labours par ans ou de ne jamais les implanter , comme ces agriculteurs qui vont aux démonstration de semis direct et qui se dépêchent de faire comme les voisins en attelant une charrue lorsqu'ils ont une culture à installer : courage , fuyons ! lorsque l'on commence à implanter des couverts végétaux sans labour , c'est un bon apprentissage pour implanter des cultures sans labour : c'est en forgeant qu'on devient forgeron. avec les hivers de plus en plus tièdes que nous connaissons en france, implanter une culture d'été ( qui va souffrir du sec ) en avril pour la récolter au début du mois de septembre, pour ensuite laisser son sol nu tout l'hiver, est un non sens économique ( et écologique ) . c'est pourtant ce que font la plupart des gens autour de moi ... c'est un peu comme si une compagnie faisait travailler volontairement ses usines seulement 6 heures par jours et 6 mois par ans : la ligne la plus droite vers la faillite ! ont fait exactement le contraire : les 3 huit 12 mois sur douze . l'implantation d'un " couvert végétal " à l'automne pour ne pas laisser le sol nu et fainéant en hiver est d'ailleurs la porte d'entrée idéale pour faire une deuxième récolte annuelle : un trèfle incarnat ou un mélange poids - tritical pourra avantageusement être récolter comme fourrage avant l'implantation de la culture d'été. ce qui facilitera d'ailleurs celle là : moins de paille , moins de difficultés de semis . le matériel est amortis beaucoup plus vite ... et accessoirement , la coop d'appro récupère sur la deuxième culture , le chiffre d'affaire que la " fermeture " du système lui a fait perdre sur la première : c'est un système gagnant - gagnant ! d'ou l'intérêt de conserver le plus de tête de bétail possible dans la ferme france ... malheureusement, on fait exactement le contraire . la double cutlure par an permet de fixer un plus grand nombre d'agriculteur sur le territoire et d'arrêter l'exode rural ou l'on va dans les villes pour faire chômeur ... " impossible , francais ! "
Et quand on faisait paître les chevaux dans les prés, c'était aussi pour s'en servir de véhicule non? Alors je vois pas où est le problème sinon un cas de conscience de bobo désœuvré.
L'ancêtre du maïs s'appelle ZEA.....(nom Azteque) c'est une plante encore cultivée aujourd'hui en Amérique centrale comme fourrage pour le bétail... c'est la même que celle que nous rencontrons aujourd'hui sauf que son épi n'est pas organisé comme celui que nous connaissons!!.... Le fourreau en sphates est le même mais il n'y a pas de trognon central qui porte les grains et qui vient d'autres céréales par une hybridation naturelle..... dans le Zea les grains sont libres dans le fourreau et sont reliés à la plante par un fil que nous le retrouvons, comme vestige, dans les épis d'aujourd'hui!!!...Rien d'autre.... Quand les Américains voulurent en 1950 créer des variétés de maïs hybride ils cherchèrent une souche originelle et la trouvèrent dans le maïs que cultivent les agriculteurs Basques!!.....qui s'appelle le ''Grand Roux Basque'' un maïs aux épis très longs et très fins avec de tous petits grains.... Tous les maïs cultivés aujourd'hui sur la planète terre viennent de là!!... Au revoir!!!..
Bonjour, Oui je suis d'accord, j'ajoute que le sujet azote est depuis longtemps un sujet à controverses . Les apports d'N chimique au sol du fait d'un disponibilité importante en peu de temps favorisent des adventices nitrophiles (chardons, RGA, gaillet, stellaire, chénopode, morelles...), entrave le rôle de la faune du sol en amplifiant "brutalement" la minéralisation et la réaction osmotique du sol en peu de temps ce qui peut concorder avec le développement de certains pathogènes et prédateurs des cultures si les conditions météo sont défavorables. La matière organique est fondamentale sur l'équilibre biologique et structurale des sols... Ce ne sont pas des sujets simples à exposer de plus on ne dispose pas d'alternatives sécuritaires en accompagnement. Nous ne sommes plus dans le conseil de type "programme" mais dans la réactivité agro/climatique ! Sans chercher d'excuses, assurer l'approvisionnement sans prévisionnel est un frein de mise en œuvre supplémentaire à ce développement ? Parler du non labour c'est aussi un sujet complexe, reconnaitre qu'on connaît très peu la diversité faunistique du sol, ajouter que les bactéries et les champignons jouent un rôle non négligeable dans tout cet équilibre trop brutalement "chamboulé" par les outils de travail profond du sol... Oui cette autre façon de voir les pratiques agronomiques bouleverse nos habitudes et pourtant apportent effectivement de l'azote gratuite. Toutefois sous une condition importante : c'est qu'il y ait dans le sol un taux de matières organique ligneux (en réserve) assez important. Cette condition tient au fait de laisser tous les résidus végétaux à la surface du sol (et non enfouis) et mieux encore d'implanter des couverts végétaux entre les cultures, en conduisant les couverts jusqu'à floraison pour obtenir une matière organique ligneuse et non riche en azote disponible à une période ou il n'y a pas de besoins azotés pour la culture... Ensuite comment gérer le potentiel des adventices lors des 3 à 5 premières années sans labour jusqu'à amenuisement du stock grainier des premiers cm du sol sans chimie pour favoriser la faune épigée ?? Mis à part accepter la baisse des rendements et pratiquer le désherbage mécanique parfois aléatoire nous n'avons pas d'autres alternatives que de proposer de cultiver dans des couverts végétaux afin de maintenir la surface du sol perpétuellement couverte. Une litière organique en surface du sol limite la levée des adventices... Là aussi il y a encore beaucoup à apprendre et à comprendre sur le fonctionnement des plantes "dites compagnes" sans altérer le rendement ni la qualité et la propreté à la récolte. pour revenir à l'azote qui est un facteur de production à double sens il serait raisonnable de baisser drastiquement les doses d'apport afin de limiter les adventices envahissantes comme le RGA, le chardon, la stellaire... et par voie de conséquence minimiser les prédateurs de tout ordre dans une culture ! Nous avons 80% d'azote dans l'air, il est économiquement et environnementalement important de s'intéresser à cette gratuité en favorisant les bons récepteurs ou fixateurs végétaux... Une nouvelle agriculture germe ! pascal
Aucune référence à la mesure de la vie du sol ! C'est la vie du sol qui mange le carbone et qui le stock. Tout ça n'est vraiment pas scientifique... (lobby ?)
aucune preuve que l’homme est la cause, c'est juste une supposition , il a de forte chance que ce réchauffement soit naturel mais ça rapporte tellement de fric a tout le monde ça arrange tellement de monde de dire qu'il a un réchauffement catastrophique la terre en a connu des bien pire et la vie a pas disparue pour autant mais c'est vrai que pour les intérêts économique de l'homme c'est une catastrophe , la terre elle va très bien s'en remettre les gens sont des moutons débile drogué a BFM et au conneries que dit le GIEC et parler avec eux c'est une perte de temps sachant que le GIEC défens les intérêts économique des grandes multinationales qui les finances beaucoup de scientifiques sont pas d'accot avec le GIEC
je vais faire des recherches sur cette voix et si ça a commencé en 1750 oui ça serait logique et correspondrait avec les activités humaine mais il a une truc que j'arrive pas a trouver , ont pollue beaucoup moins en CO2 que a l'air du charbon mais le réchauffement s’accélère ( d’après ce que ont nous dit ) donc si effectivement l’homme en est la cause principal c'est pas le CO2 mais un autre gaz bien pire et que on utilise en masse actuellement ou la combinaison de notre activité plus un réchauffement naturel si l'homme en est la cause on ce trompe de coupable en désignant le co2 comme principal responsable , il y contribue sans être la principal cause pourquoi pas intéresser plus a la déforestation principal absorbeur de Co2 ? on sait aussi que le principal gaz a effet de serre que on trouve sur terre est la vapeur d'eau ? pourquoi aucune études sur cette voix la ? est ce que il a une augmentation de l'humidité dans l'air ? pourquoi ne suivre que la voix du CO2 ? et pourquoi s'en prendre que aux voitures ? c'est de loin les plus polluant
@@aeris2ff pour info le bio ne pollue pas du tout la plante absorb le co2 rejeté au pot. Ce qui pollue le plus sur la voiture sont les pneus plaquette et catalyseur. Mais oui si on s'occuper des forêt des fabricants de polluants au lieu de faire chier le citoyen qui se démène entre pognon et eco économie et écologie... Évidement on est tous concerné
@A BC tu as oublié de précisé que ton résonnement découle de la surpeche et particulièrement les requins. Responsable de l'équilibre des petit poissons mangeur de plancton. Moins de requin plus de poisson mangeur de plancton qui passe inaperçu dans les filet de péches effet boule de neige diminution du plancton responsable de l'absorption de ce co2.... Au final tout est lié et le seul point commun n'est pas le pétrole mais l'homme. Tant que l'homme ne disparaîtra pa le problème de pollution non plus. Mais c'est probablement la pollution qui va emporter l'homme et sauver la planète mais pas les espèces animales ni la flore.
pas si bio que ça, car pour produire ts ces produits afin de nourrir nos moteurs il faudra deboiser, ensuite pour produire de plus en plus, on utilisera des quantités industrielles d'engrais qui pollueront les sols et les cours d,eau. etc etc. cette énergie n'est intéressante tant qu'elle sera utilisée en petite quantité. imaginons le parc automobile mondial roulant au "bio" éthanol!!!. si l'utilisation du pétrole n'est plus la meilleur solution, on s'apercevrait très vite que l éthanol ne l'est pas non plus. cherchons encore. véhicules électriques!! j'ai un doute au niveau écologique, "fabrication et recyclage des batteries". mais, y a t'il une solution idéale? commençons par ns déplacer utile avec de petits véhicules moins puissants donc moins gourmands, "surtout pour rouler à 80". Je suis à la retraite et ne fait que 5 à 8000 kms/an. le reste du temps je prends mon vélo et les transports publiques, moins de dépenses "carbu,entretien,amendes etc"et moins de pollution.
Biomasse, ça veut juste dire que cet alcool est obtenu à partir de substances organiques. Donc qui absorbe du CO2 en poussant et qui repousse après la récolte , tout comme les patates, monsieur le gros parano du scenario catastrophe. Tu connais moins polluant?
Pathétique! L'agriculture façon préhistorique, zéro degré de reflexion , entre mauvaise foi et insuffisance technique, l'effet sur la culture suivante ou la vision à court terme, ne manquerait plus que la faim d'azote ou d'autres considérations comme le ressuyage limitées dans le temps et tout à fait gérable pour discréditer l'approche. A non elles y sont! Mais qui finance Arvalis? Touts ces effets qui disparaissent avec le temps quand la compétence est au rendez-vous pour passer d'un sol inerte et d'une agriculture dépendante à un sol vivant et fertile.
Sérieusement, on parle de désherbage? A 6 minutes 14, ne me dites pas qu'il s'agit d'un passage d'herbicide sur une céréale, sinon il y a un sérieux problème, stade de la culture, hauteur de la rampe, on imagine l'état du pulvérisateur qui va avec, recoupement des jets, pression et état des buses, dosage, parce qu'a ce stade c'est pleine dose. On se demande vraiment à quoi servent les conseillers techniques à part vendre des pesticides.
Bonjour, une question comment mesurer mesurer l'humidité volumique du sol ou bien son stocke d'eau à partir des données fournis par les sondes capacitives merci
Accident structural... n'est-ce pas là un doux euphémisme ? La semelle n'a rien d'un accident, elle résulte de pratiques identifiables et intentionnelles.
J'en reviens pas qu'un gars comme lui déblatère autant d'aneries, le labour tue les sols, la faune et la flore épidée et cause sa minéralisation ( bactéries), alors labourer pour une question d'adventices et d'"esthétique" je trouve cette pratique odieuse pour la biodiversité...
Goupil Foxy arvalis se base toujours sur leur parcelles test et c'est la plupart du temps de très bonne parcelle pourvues d argile de très bonnes qualités hors les effets du labours sur ce genres de terres ne sont pas les même que si c'était des limons sableux dixit Konrad Schreiber
Avec labour, engrais chimiques en voie de disparition, fongicides, pesticides, manque de goût dans certains aliments, etc ... Je préfère les adventices plutôt que le long processus d'empoisonnement ..
Dans la technique sans labour, on peut parler de la polyculture, ou du semis direct, des engrais verts. On couvre les sols afin qu'il y ait moins d'adventices... Avec le labour, on peut aussi parler de la semelle de labour qui empêche en partie l'enracinement, ...
Mr Mary dit bien qu'on stocke plus de carbone quand on associe semis-direct et couverts végétaux intermédiaires. Donc encore une fois il faut dire bien fort que le semis-direct, s'il n'est pas associé à la couverture permanente, n'est possible que s'il y a bien les trois piliers de l'agriculture de conservation des sols qui sont mis en œuvre. Mrs de Boigneville il serait temps d'enfin reconnaitre cela au lieu de toujours dire les choses à moitié.
A mon avis, si vous voulez vous assurer la fidélité des acheteurs algériens, il faut un partenariat gagnant-gagnant. Mr Leveau a expliqué que nous serons longtemps importateur de BD. L'idéal est cependant que nous réduisions nos importations. Rappel nous importons pour 1,4 milliards de $ de soja et maïs, nous importons 100% de nos oléagineux et de notre sucre sans parler du BT. L'urgence est donc que l'agriculture locale progresse. A ce titre, un nouveau partenariat pourrait être par exemple de recevoir des céréaliers et des techniciens et même des décideurs pour de courtes visites d'immersion dans vos coopératives céréalières, vos Chambre d'Agriculture et vos stations Arvalis. De tels gestes ancreront une coopération durable entre les deux rives. La faillite de l'agriculture locale ouvrirait la voie à des importations massives de produits au moindre prix et à privilégier le BT au BD pour une population qui s'urbanise et qui a délaissé la diète méditerranéenne pour le camembert et la garantita (purée de pois-chiche) pour l'omelette-frite. Il nous faut apprendre à construire des semoirs pour semis direct (comme nos voisins marocains pour revisiter le dry-farming), développer les reliquats azotés pour réduire le mitadinage, développer le stockage à la ferme pour une politique d'allotement de BD de qualité et surtout créer de véritables coop céréalières à l'image des vôtres. A l'heure de la baisse de la rente pétrolières, c'est là que vont apparaître les vrais partenaires de la céréaliculture algérienne. Djamel Belaid.fr (voir notre blog). Ingénieur Agronome.
Les producteurs français tablent bcp sur le marché algérien. Etant voisins, il serait bon de penser à une collaboration gagnant-gagnant entre les deux rives de la Méditerranée sous peine de voir l'Office Algérien Interprofessionnel des Céréales (OAIC) et les acheteurs privés locaux se laisser séduire par les blés de la mer Noire, du Canada ou de l'Argentine (les coûts du fret sont en baisse). Les producteurs français et acheteurs algériens ont proximité et culture commune. Pour conforter ses parts de marché la filière française BD doit donc collaborer techniquement avec la filière algérienne. Ici, de nombreux points techniques restent en suspens. Exemple: la mesure des reliquats azotés est inexistante, le désherbage chimique non généralisé, la protection fongicide émergente... Développer le semis direct serait une voie salvatrice, vue le déficit hydrique (ne faut-il pas une fabrication-montage de semoirs SD locale?). Puis du point de vue organisationnelle, il n'existe pas de vraies coopératives céréalières, ni réseau de conseillers techniques de Chambre d'Agriculture, ni .... la liste est longue. Les coopératives françaises et les Ch d'Agriculture devraient inviter céréaliers, techniciens, administratifs algériens. Il y a matière à échanges. A terme, avec la baisse des revenus pétroliers, les acheteurs algériens pourraient être tentés de lever le pied sur le BD et se contenter d'acheter des cargaisons de BT pour approvisionner les boulangeries. Bref, des deux côtés de la mer les filières BD ont un destin lié. Djamel BELAID.fr (voir notre site). Ingénieur agronome ex-conseiller technique de domaine autogéré dans le Constantinois puis conseiller de Ch d'Agriculture en ... France).
+Nicolas RIO Bonjour,Il existe deux techniques de conservation du maïs grain humide : en grains broyés ensilés ou en grains entiers inertés : - Le maïs grain humide broyé ensilé : cette technique consiste à récolter le grain humide (32-40 % de teneur en eau), le broyer avant la mise en silo et le conserver en milieu étanche à l’air favorisant un processus fermentaire entraînant une acidification de la masse. - Le maïs grain humide entier inerté : cette technique consiste à récolter le grain humide (26 - 35 % d’humidité), de le stocker entier en silo étanche à l’air entraînant une atmosphère saturée en gaz carbonique. Dans les deux cas, pour garantir une bonne conservation du grain humide, le premier facteur à satisfaire est l’absence d’oxygène dans la masse de grains qu’ils soient broyés ou entiers.