Centre Hospitalier Régional Universitaire de référence en Lorraine, le CHRU de Nancy regroupe les Hôpitaux Urbains au centre de Nancy (Hôpital Central, Maternité, Centre Emile Gallé, Hôpital St Julien, Centre St Stanislas) et les Hôpitaux de Brabois à Vandœuvre-lès-Nancy (Hôpital d’Enfants, Bâtiment Louis Mathieu, Bâtiment Philippe Canton, Hôpital d’Adultes).
Établissement public de santé fort de 9 000 professionnels, le CHRU assure au quotidien des missions de soins de recours et de proximité. Ce sont plus de 400 000 consultations et 75 000 hospitalisations par an. Une expertise médicale pluridisciplinaire de qualité au service des patients à tous les âges de la vie.
Acteur majeur de la recherche biomédicale doté de plateaux médico-techniques et chirurgicaux performants, le CHRU de Nancy contribue à la formation des professionnels de santé, engagés à tous les niveaux dans des actions de santé publique, de dépistage, de prévention et d’éducation à la santé.
Bonjour, cet exercice est très bien mais présente le désavantage de ne pas pouvoir être réalisé par les personnes ayant des soucis de mobilités de l'épaule, ce qui est le cas d'un grand nombre des gens que je suis . Quel exercice peut être aussi efficace dans ce genre de limitation ? merci
Transgenre = personne ne se reconnaissant pas le genre assigné a la naissance CA A RIEN A VOIR AVEC LE SEX BORDEL, la être genderfluid c'est une genre et la personne est trans.
Je suis trans mtf et je suis effaré par ce documentaire, la TRANSIDENTITE n'est Pas une maladie, psychique ou physique, j'ai l'impression que l'autrice cherche a donner une explication rationnelle et scientifique au genre et a la transidentité en omettant de parler de la non binarité car dsl madame mais la non binarité existe. Le genre est une norme social et variable et le fait d'être trans est seulement le fait de dévier de ces normes de genres car elle nous corresponde pas, pour ce qui est de la transition medical, elle est la car les personnes trans sont forcé a copié un modèle de corps cis normé. Voila je corrige car je pense qu'avec ce genre de reportage les droits trans c'est pas pour tout de suite.
Voir , sur RU-vid , le très bon reportage allemand de ARTE d'une très bonne qualité scientifique et journalistique sur la maladie immunitaire et neurologique EM/SFC ( Encéphalomyélite Myalgique / Syndrome de Fatigue Chronique ) diffusé en juillet 2021. C est traduit en Français. L Encéphalomyélite Myalgique est une maladie du système immunitaire , grave , très invalidante , très handicapante , multi-systémique , orpheline ( on n en guérit pas ; il n existe aucun traitement curatif médicamenteux ). Elle est reconnue par l OMS depuis 1969 , codée G93.3 CIM 10 en 2021 , caractérisée par son symptôme spécifique du Malaise Post Effort, et elle se déclenche après une infection virale ( le système immunitaire s emballe et ne revient pas à la normale ). La maladie Encéphalomyélite Myalgique G93.3 CIM 10 n est toujours pas reconnue en France en septembre 2021. Les malades de la maladie Encéphalomyélite Myalgique G93.3 CIM 10 ne bénéficient toujours pas d une vraie bonne prise en charge médicale et sociale , en France , en septembre 2021 . Il n y a toujours pas de Centre de Recherche Médicale Scientifique sur l Encéphalomyélite Myalgique G93.3 CIM 10 , en France , en septembre 2021 . La France est encore plus en retard que l Allemagne. Voir le reportage. Tous ensemble , avançons ! Merci pour votre intérêt et pour tout ce que vous entreprendrez pour faire sortir cette grave maladie de l ombre.
Voir , sur RU-vid , le très bon reportage allemand de ARTE d'une très bonne qualité scientifique et journalistique sur la maladie immunitaire et neurologique EM/SFC ( Encéphalomyélite Myalgique / Syndrome de Fatigue Chronique ) diffusé en juillet 2021. C est traduit en Français. L Encéphalomyélite Myalgique est une maladie du système immunitaire, grave , très invalidante , très handicapante , multi-systémique , orpheline ( on n en guérit pas ) . Elle est reconnue par l OMS depuis 1969 , codée G93.3 CIM 10 en 2021 , caractérisée par son symptôme spécifique du Malaise Post Effort, et elle se déclenche après une infection virale ( le système immunitaire s emballe et ne revient pas à la normale ). L Encéphalomyélite Myalgique G93.3 CIM 10 n est toujours pas reconnue en France en septembre 2021 . Les malades de la maladie Encéphalomyélite Myalgique G93.3 CIM 10 ne bénéficient toujours pas d une vraie bonne prise en charge médicale et sociale, en France , en septembre 2021 . Il n y a toujours pas de Centre de Recherche Médicale Scientifique sur l Encéphalomyélite Myalgique G93.3 CIM 10 , en France , en septembre 2021 . Tous ensemble , avançons ! Merci pour votre intérêt et pour tout ce que vous entreprendrez pour faire sortir cette grave maladie de l ombre.
A partir d'environ 2:44 Effectivement, tant que les équipes pluridisciplinaires fonctionneront comme la vôtre, il y aura des dépressions et des suicides !
Pour info, je suis F't'm et quand j'ai voulu prendre rendez-vous avec cette endocrinologue, la secrétaire m'a appelé "Madame" trois fois de suite "!!! 😡😠😠
Purée, yen a ras le bol des endocrinologues qui se prennent pour des psychologues ou même pour des psychiatres ! En ce qui concerne la transidentité, votre job est de savoir si la santé de la personne lui permet de supporter les hormones et quel dosage lui convient POINT . Le psychiatre, lui, va déterminer si la personne n'est pas un malade mental, ou si ce n'est pas une lubie, bref, si c'est bien une personne transgenre (ce qui en soit n'est pas une pathologie psychiatrique), il va donc faire une attestation pour que l'endocrinologue puisse s'occuper de la transition hormonal de la personne. POINT FINAL !!!
Salut! J'ai été victime du Covid-19 en début Aout. J'étais très affaiblie, j'ai aussi perdu l'odorat. La mémoire instantanée commençait à devenir défaillante. Les muscles commençaient à me faire mal (le cou, les bras, les jambes). Ma situation était difficile, en plus, je devais m'isoler pour ne pas contaminer mon entourage. Finalement, dans mon isolement j'ai trouvé un site qui m'a donnée la solution pour m'en sortir (www.4us2b.com). Maintenant, je suis sur la voie de la guérison, à la grâce de D…
bonjour, je suis moi-même transgenre et en cours de transition. Je souhaiterais apporter quelques petits points de la vidéo qui sont imparfaits et mériteraient correction: "La dysphorie de genre est l'inadéquation entre le genre ressenti par une personne et son sexe de naissance" -> cela saute une étape d'explication, qui est celle du genre assigné, qui reste importante à souligner car une grande partie des personnes trans n'ont pas de problème avec leur sexe, mais bien avec leur genre assigné. "le dépistage et le soutien" -> la dysphorie n'est pas un virus ou une bactérie, c'est un trouble psychologique. C'est donc un diagnostic, pas un dépistage. "transition / changement de genre" -> encore une fois, termes maladroits: le genre en lui-même ne change pas, c'est le corps qui est changé pour s'adapter au genre de la personne. Il est important de le souligner car présenter le genre comme le physique d'une personne peut faire croire aux parents et proches qu'il est tolérable de mégenrer la personne tant qu'elle n'a pas entamé de transition. "tentative de suicide: ~40% des adolescents transgenres" -> je trouve qu'il n'est pas rendu assez clair sur cette diapositive que ce taux de suicide se retrouve chez les adolescents avant la transition, et que suite à la transition ce taux redescends au même niveau que celui des personnes cisgenres. "quand on parle de transgenrisme" -> le mot généralement préféré est "transidentité", car mettant plus d'importance sur le fait que c'est une part de l'identité de la personne, et évitant le suffixe en -isme qui pourrait faire penser aux mouvements culturels, et laisser penser que ce serait une lubie ou une phase. "le sexe est quelque chose d'inné et de biologique" -> si le genre était acquis, il n'y aurait pas de dysphorie de genre, car le genre étant acquis il serait simplement celui qui l'on vous donne. Or, le genre réel d'une personne n'est pas toujours celui qui lui est appliqué. Cela montre que le genre est bien inné lui aussi. De plus, définir le sexe comme biologique et le genre comme uniquement sociologique peut laisser penser que le genre n'a pas de base biologiques propres, ce qui encore une fois contredit le principe même de transidentité. Autre problème de cette diapositive: dichotomie Homme/Femme et dichotomie Mâle/Femelle. Ces deux dichotomies ont été prouvées maintes et maintes fois comme fausses, et il aurait bien de suggérer cette possibilité dans cette diapositive afin que le médecin en charge de la transition d'une personne trans puisse agir en connaissance de cause. N'oublions pas que les combats des personnes transgenres et intersexes se rejoignent en de nombreux points ! Terminologie: "Cisgenre": personne dont l'identité de genre est en accord avec son genre assigné à la naissance. "Transgenre": personne dont l'identité de genre diffère du genre qui lui a été assigné à la naissance. "FTM & MTF": bien qu'encore utilisées par certaines personnes, il est préférable de laisser tomber ces termes car pouvant rendre confus certaines personnes. Dire "femme trans" ou "homme trans" suffisent dans la majorité des cas. Ils peuvent être utilisés si nécessaires pour expliquer à quelqu'un, mais ils rendent généralement les gens plus confus qu'ils ne l'étaient avant. "Épidémiologie" -> Je ne suis pas sûre exactement du sens médical de ce terme, mais dans un cadre général il est plutôt synonyme pour le grand public d'une maladie transmissible, ce qui n'est aucunement le cas de la dysphorie et serait donc à éviter d'utiliser. Cependant j'ignore sa définition exacte dans un cadre médical. Ensuite, vous présentez à l'aide de parapluies les différentes sous-catégories. C'est une bonne chose d'avoir inclus les personnes non-binaires, il aurait été cependant préférable de les inclure plus tôt. De plus, "questioning" ne s'inscrit pas dans une catégorie particulière, c'est simplement un "je ne sais pas". Majoritairement, ces personnes vont soit se présenter et s'identifier comme leur genre assigné, ou bien essayer à l'aide d'internet différentes identités, mais ne peuvent pas être rangés dans une certaine catégorie. "Les personnes qui se questionnent sur leur genre, on parle de Genderfluid, Bigenre, Agenre" -> bien que ces identités peuvent être utilisées par certaines personnes en questionnement, les personnes qui revêtent ces dernières ne sont pas forcément en questionnement. Genderfluid: "Dont l'identité de genre ou son ressenti fluctue et change au cours du temps" Bigenre: "Qui s'identifie à un ou plusieurs genres" (on peut aussi parler de polygenre) Agenre: "Qui n'a pas d'identité de genre" (à la différence de Neutrois, qui est une identité de genre nulle, et non pas inexistante) Ces identités ne sont pas toutes exclusives entre elles, on peut être polygenre et genderfluid par exemple. Histoire clinique: c'est une mauvaise idée de mettre autant d'information dans cette carte car elle donne la mauvaise idée que tous les patients suivent ce schéma. Cela peut laisser penser donc que toutes les personnes trans ont essayé les vêtements de membres de la famille, ou bien que toutes les personnes trans souhaitent effectuer toutes les opérations médicales possibles, ce qui n'est pas le cas comme dit plutôt (une majorité de personnes trans n'ont pas de problème avec leur sexe). de plus, la carte pour la personne non-binaire indique "ne se sent ni comme homme, ni comme femme... se questionne..." ce qui laisse penser qu'être non-binaire n'est pas une finalité mais une identité temporaire, ce qui n'est là encore pas nécessairement le cas. Pour toute la partie contacte avec le patient, elle est très correcte et complète, et c'est une bonne surprise de voir considéré le fait que la personne veuille ou non que le prénom d'usage soit présent dans le dossier, qui est un oubli qui semble assez fréquent. traitement hormonal: encore une fois, les personnes non-binaires sont oubliées. De meilleurs termes que "MtF" et "FtM" auraient été ici "transition masculinisante" et "transition féminisante".
Merci d'avoir pris le temps de tout bien corriger et expliquer. J en ai plus appris et surtout appris avec exactitude. Ce n'est qu'avec de bonnes et correctes explications que les gens veront qu'ils n'ont aucune raison de rejeter la transidentité
@@elisalaurens5378 Merci de votre retour ^^ Malheureusement je ne pense pas que ce soit suffisant pour que les personnes transphobes se rendent compte que leur actions sont blessantes... Mais si mes explications peuvent permettre à des parents de mieux comprendre leur enfant, alors je serai déjà très heureuse 😁
"tentative de suicide: ~40% des adolescents transgenres" -> je trouve qu'il n'est pas rendu assez clair sur cette diapositive que ce taux de suicide se retrouve chez les adolescents avant la transition, et que suite à la transition ce taux redescends au même niveau que celui des personnes cisgenres. " Bonjour: j'ai vu une étude qui disait au contraire qu'après une transition, le taux de suicide des personnes transgenres ne redescend pas au même niveau que celui des personnes cisgenres, mais qu'il reste très élevée (bien que légèrement inférieur à celui avant la transition)... Je trouve que c'est un point important à étudier, mais je vois peu d'études sérieuses sur le sujet, à part celle-ci. Avez-vous connaissances d'autres études?
@@kamykro5427 bon évidemment il reste assez élevé, puisqu'après transition il y a toujours énormément de problèmes, notamment de harcèlement et d'agressions. Je ne connais cependant pas d'études, mais je doute énormément qu'il ne soit que légèrement inférieur à 40%
@@reglissh952 La seule véritable étude que j'ai vue est citée dans cette vidéo: ru-vid.com/video/%D0%B2%D0%B8%D0%B4%D0%B5%D0%BE--vgwUoS9DTE.html Et il y est dit que le taux reste très élevé, c'est pour cela que je cherchais d'autres sources fiables, pour me faire une idée plus précise. Il semblerait qu'il n'existe pas tellement d'études scientifiques sur le sujet, c'est bien dommage je pense.
J'aime beaucoup le terme de "dépistage"... À toutes fins utiles, ce n'est pas une maladie, on ne fait donc pas de "dépistage" merci de corriger vos termes !
Les termes " trouble de l'identité de genre" ne sont pas mal non plus !!! Perso je sais quel genre on m'avait assigné et de quel genre je suis. Aucun doute là dessus ! Alors pourquoi parler de "trouble" ???! 😡😠
