La chaîne innovation de Réseau Canopé. Découvrez les actions innovantes du réseau, ainsi qu’une sélection des interventions de la Journée de l’innovation, organisée chaque année par le ministère de l’Éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche.
Réseau Canopé, opérateur public du ministère de l’Éducation nationale et de la Jeunesse, est un acteur pédagogique de référence avec une double mission : la conception et l’édition de ressources et l’accompagnement des enseignants dans leurs projets professionnels et leurs projets de classe.
Chacun de nos produits et services est conçu par une équipe d’experts (éditeurs, ingénieurs, etc.) et de spécialistes de la pédagogie qui ont un objectif commun : proposer des outils pratiques, de qualité et innovants.
1) Savoir jouer d'un instrument, savoir lire une partition, cela s'apprend. Un public en appréciera le rendu, selon que l'interprète aura su retranscrire avec talent tout ce qu'il aura retenu de ses années d'apprentissage (et d'exercices réguliers, les fameuses gammes, ne les oublions pas celles-là !). Cela c'est l'acquis. 2) L'art de savoir improviser, comme d'ailleurs de savoir composer, n'est-il pas plutot du ressort de l'inné ? Bien sûr, il existe des classes d'improvisation ou de composition et en cela nous restons toujours dans le domaine de l'acquis, mais selon moi, tout dépend de la qualité intrinsèque, improviser pour improviser (composer pour composer) n'est pas une fin en soi. Tout le monde n'a pas le talent voire le génie naturel (de la mélodie ou du rythme, entre multiples autres choses). Ce talent, ce génie innés qui font le bon improvisateur ou le bon compositeur. Je terminerai par un petit bémol sur les improvisations que pour ma part je ne trouve jamais mélodieuses. L'harmonie sera présente dans un air improvisé qu'il me sera impossible ensuite de siffloter dans la rue une mélodie tirée dudit air.
Il y a mille exemples de l'incohérence de l'évaluation : un tel ou une telle n'a pas sa moyenne en géographie car il ou elle a fait x fautes d'orthographe, idem pour une dissertation, de même si on veut vérifier la compréhension du procédé de la multiplication écrite on sanctionne la non acquisition des tables de multiplication....
Cette enseignante a tout compris mais elle va se heurter à toutes les forces d'inertie de ses collègues, aux représentations des parents, aux injonctions du ministère de l'éducation, aux attentes du monde du travail, à la mode du tout est traduit en chiffres en pourcentage...bon courage !
18:20 ben oui c'est quand meme la base. de toujours expliciter aux élèves les objectifs de la séance, en terme de compétences et/ou de méthodes de travail et/ou d'enjeux éducatifs et/ou de connaissances
Ok, ok, la langue française n'est pas simple. Mais de qui se moque-t'il ? Depuis 50 ans, alors que des règles n'ont quasiment pas changé, leur observance décroît d'années en années ! En résumé : les règles demeurent et la connaissance que nous en avions en 1950, héritée d'un système scolaire qui assumait son taff, est petit à petit réduite à peau de chagrin. Je me souviens, moi qui ai 61 ans, de Cécile *****, employée chez mes grands parents qui habitaient les Côtes du Nord. Elle était bretonne et parlait le français avec un fort accent breton. J'avais alors l'obligation de lui écrire au moins deux fois par an. Elle me répondait dans une langue française d'une simplicité élégante dépourvue de fautes. J'étais plus jeune d'une cinquantaine d'années et d'un milieu nettement plus favorisé. Cependant, je n'ai pas bénéficié comme elle à son époque, d'un enseignement qui avait fait la preuve de son efficacité... Ce type est une insulte à tous ces gens simples et à leurs professeurs qui ont chacun, droits dans leurs bottes, ont fait du bon travail !!!
En tant que enseignant et passionné de pédagogie depuis 1996,je vois Que notre pr Phillip Mérieu m'adresse la parole. Je suis avec Ovide décroly(le grand pédagogue). J'ajoute aussi que la pédagogie c'est la magie,c'est la folie qui attire l'enfant pour sentir la joie de comprendre qui crée chez lui le plaisir d'apprendre . Retrouvez le plaisir d'enseigner et le plaisir d'appendre. #Smail _Tihadi Enseignant Marocain 🇲🇦 À l'intention de M.le professeur chercheur #phillip Mérieu #
ce pédagogue est pour sa part - d'autres y ont aussi contribué - à l'origine de l'écroulement de l'enseignement en France. Dans sa conférence, on retrouve le soubassement de son idéologie égalitariste quand il évoque les enfants de milieux défavorisés et ceux des familles de niveau culturel affirmé (il ne développe pas mais c'est cette différenciation qui est à la base la soi-disant égalité des chances par la baisse de l'exigence, comme le renoncement à l'épreuve de Culture Générale dans les concours d'accès à Science Po). d'autre part, il dit une chose et son contraire: il parle des Libres Enfants de Summerhill en expliquant qu'il y avait de la réussite parce que Neill avait un certain charisme auprès des élèves qui voulaient lui donner satisfaction; il dit que le système scolaire ne peut s'inspirer de cette école car on ne peut demander à tous les enseignants d'avoir le même caractère. Et puis en fin de discours, Monsieur Meirieu nous explique qu'il faut que les enseignants transmettent non pas des "savoirs fossiles " [ merveilleux] mais qu'ils soient capables de vibrer et de rendre vivant leurs propres savoirs. Très bien, on voit le résultat : un effondrement de l'enseignement! Autre remarque : Nos nouveaux pédagogues abhorrent le "par coeur". Aussi suis-je surpris d'entendre notre pédago réciter de mémoire un poème. comme quoi la règle est toujours : "faites ce que je dis, pas ce que je fais". Comme M. Pap Ndiaye, notre nouveau Ministre Woke de l'Education Nationale ,qui met ses enfants dans une prestigieuse école privée parisienne plutôt que dans un établissement public dont il vante bien sûr les mérites.
monsieur avez vous enseigné dans un collège du nord de marseille .Allez y et vous verrez car beaucoup d'élèves ne parlent pas le français .Tout ce que vous dites est incompréhensible pour eux
bien monsieur mais je vous affirme qu'enseigner c'est un don que très peu de professeurs possèdent .Des conseils sont nécessaires au début mais si vous n'avez pas le don vous aurez des problèmes .J'ai connu de bons profs car ils avaient un charisme ou une personnalité exceptionnelle .
le collège Pons c mon école chui en 5 ème et bjr Mr Garnier si vous ete la vous ete le best des prof dommage que vous ete partie en Guadeloupe votre ancienne élève de 6eme Capcir Marwa
Sur le principe, oui absolument. Sur la forme, comment devenir ce chercheur passionné quand une société entière vous dénigre et surtout que vous avez à peine de quoi vous loger et manger ? Enseigner, c'est un travail. Pour beaucoup, la passion est investie ailleurs, sur le temps libre, dans d'autres domaines. Interrogez les professeurs des écoles et PLC : la plupart rêvent de faire autre chose et regrettent. Ils ont rêvé et puis ils ont connu la réalité.
comment est ce possible après une belle démonstration comme çà de me proposer de regarder une vidéo de Philippot ..... l'antithèse exacte de la science et de l'esprit critique!!!! RU-vid vous déconnez grave!!!
Bonsoir. Je suis ravi de la qualité de l'exposé. Si je vous saisi bien: le plaisir d'enseigner doit s'accompagner nécessairement du plaisir d'apprendre; car c'est en cela même que consiste la relation pédagogique authentique. Mais, à l'heure des savoirs diffus et confus de l'ère numérique, l'enseignant pourra-t-il continuer pour longtemps à jouir de son rôle, quand on sait qu'un univers des savoirs s'ouvre aux apprenants hors situation de classe ? Dans un tel contexte, comment l'enseignant pourra-t-il éprouver le plaisir d'enseigner?
Enseigner la diction, c'est prendre son temps ... faute de quoi elle ne peut être soutenue, ce qui semble incompatible avec une conférence tempo plus lent donc musical ?
Autrement dit, le passionné passionnant. Il vibre et transmet avec émotion ses savoirs, se remet dans la peau de l'enfant qui découvre, émerveillé, il raconte.
Très intéressant merci ! Mais moi je suis pas prof mais parents et c que je constate c'est que mon enfant qui a tjrs très bien travaillé a été laissé par l'équipe pédagogique dans la même classe que l'année dernière, au lieu d'aller dans la classe supérieur....enfin celle qui fait cm1/cm2 plutôt que CE2/cm1. On me parle de cohésion de groupe et que c'est faux de dire que les petits sont tirés vers le haut par les plus grands....pourtant c'est écrit ainsi partout....sauf l équipe pédagogique dit le contraire...pas très objective...je crois.!, Un mensonge même !! Cohésion de groupe, que faut-il comprendre par là ? Même si il y avait un réel intérêt pour le groupe, je refuse que mon enfant gâche des chances pour le groupe ! Toute façon,la société est extrêmement individualiste. Je vois l'intérêt de la constitution des classes....ça va faciliter la vie de la prof à priori.... Aussi,les autres années, des enfants très bons se sont retrouvés directement dans la classe cm1/cm2....alors qu'ils rentrés en cm1, comme mon enfant...et bizarrement les parents de ces enfants s'entendent très bien avec le directeur d'école !! Je soupçonne du favoritisme et ça me rend encore plus en colère
