Naissance le 5 novembre 1932 à Espinal (Espagne) Décès le 9 octobre 2015 à Giverny.
Chaîne entièrement consacrée à Leny Escudero parti dans un silence médiatique assourdissant. Vous trouverez également quelques vidéos de son fils Julian ainsi que des vidéos de Charly Saussaye qui fut son ami.
Leny a enregistré 168 chansons entre 1962 et 1997.
Simple comme cet homme qui traverse la vie, comme il traverse la scène : droit, tout droit dans le noir, avec au bout, la lutte dont il se nourrit et les espoirs qu'elle porte en elle pour aujourd'hui et pour demain...
"Demain ... qu'est-ce que ce s'ra chouette ... demain ... " (Le cancre)
Tu m a dédicacé un disque un disque de toi dans les années 70 à la fête de l humanité ou ma mère nous amenait chaque année j en ai des souvenirs de bonheur, je t écoute toujours et je te dis merci de t avoir vue,
Je t ai rencontré un jour de la fête de l humanité pendant que quelqu'un essayait de foulller dans mon sac et me voler et moi je ne voulais juste un autographe de toi et que tu m a donné le voleur est parti bredouille car il n a pas réussi à me voler
Je t'écoute souvent Lény, pour me rappeler ces concerts ou nous te suivions toujours, mon frère (lui aussi disparu maintenant) et moi. Et puis nous sommes tous les trois devenus des copains . Nous aimions discuter avec toi, après chaque concert, car tu nous faisais cet honneur de rester, et puis de temps en temps , comme un soir au Bataclan (tristement célèbre maintenant) nous allions à la brasserie voisine boire " un canon" et nous parlions de nos origines espagnoles, de tes chansons, bref nous refaisions le monde. Tu resteras à jamais dans nos cœur. Et "dans ton paradis" comme tu le dis si bien dans "le vieux Jonathan" je souhaite que mon frère t'es retrouvé.
Quand je croise dans la rue Un couple d’inconnus Dont la tête se penche Vers le sol parce que les cieux Déjà s’approchent d’eux Et de leurs têtes blanches Il y a comme une peur Qui m’oppresse le coeur Une voix qui résonne Ils ont dû pour vivre vieux Souvent fermer les yeux Et dire "je te pardonne" Ils ont dû pour vivre vieux Souvent fermer les yeux Et dire "je te pardonne" Lorsque arrivera le temps De not’dernier printemps Le temps des souvenances Nous donn’rons not’bel argent Pour nous payer comptant Un peu d’eau de jouvence Puis comme des pélerins Referons le chemin Dont l’ombre nous fut tendre A l’emplacement des lieux Où brûla notre feu Nous trouverons des cendres A l’emplacement des lieux Où brûla notre feu Nous trouverons des cendres Maintenant c’est l’âge d’or Ton miroir peut encore te dire "Tu es belle" Mais quand les rides viendront Raviner notre front Faudra vivre avec elles Alors fais-moi des souv’nirs Pour que je voie venir Sans crainte ma vieillesse Nous serons au long des jours Riches d’un autre amour Que donne la tendresse Nous serons au long des jours Riches d’un autre amour Que donne la tendresse
Il faut vivre Pour un peu d’amour Il faut vivre Et garder toujours Sa confiance Sans désespérer Car la chance Un jour va passer Il faut vivre Pour la retenir Il faut vivre Pour qu’à l’avenir Sans attendre Tu sois toujours prêt A la prendre Pour en profiter Il faut vivre Pour un peu d’amour Il faut vivre Et s’aimer d’amour De ta vie Plante pas d’amandier Faut d’autres vies Pour les voir pousser Il faut vivre Sans perdre de temps Il faut vivre Et garder longtemps Sa jeunesse Et malgré les ans La tendresse Qu’on donne à quinze ans Il faut vivre Malgré le chagrin Que la vie T’apporte demain Il faut vivre Pour un peu d’amour Il faut vivre Et s’aimer d’amour
Est-ce que tu t’en souviens Comme je m’en souviens Du petit bal musette Où nous allions danser Quand nous avions quinze ans Pour le premier frisson Un air d’accordéon Faisait tourner la tête Et nos quinze ans d’alors C’était quinze printemps On les faisait danser On les faisait tourner On les faisait chanter Les grands serments d’amour Le vin blanc était frais Moi je t’aime tu sais Et ça n’était pas vrai Mais c’était pour toujours Le coup du boniment On le faisait souvent Il y avait pourtant Celle qu’on préférait Tu étais la plus belle De toutes les demoiselles Et l’piano à bretelles Pleurait quand tu dansais Pleurait quand tu dansais Est-ce que tu t’en souviens Comme je m’en souviens Du petit bal musette Où nous allions danser Quand nous avions quinze ans Pour le premier frisson Un air d’accordéon Faisait tourner la tête Et nos quinze ans d’alors C’était quinze printemps Quand j’entends par bonheur Une valse en mineur Ca chante dans mon cœur C’est bon et ça fait mal Il suffit d’un refrain C’est Sylvie qui revient Me prendre par la main Pour m’emmener au bal Pour m’emmener au bal Est-ce que tu t’en souviens Comme je m’en souviens Du petit bal musette Où nous allions danser Quand nous avions quinze ans Pour le premier frisson Un air d’accordéon Faisait tourner la tête Et nos quinze ans d’alors C’était quinze printemps Est-ce que tu t’en souviens …
Quand je croise dans la rue Un couple d´inconnus Dont la tête se penche Vers le sol parce que les cieux Déjà s´approchent d´eux Et de leurs têtes blanches Il y a comme une peur Qui m´oppresse le coeur Une voix qui résonne Ils ont dû pour vivre vieux Souvent fermer les yeux Et dire "je te pardonne" Ils ont dû pour vivre vieux Souvent fermer les yeux Et dire "je te pardonne" Lorsque arrivera le temps De not´dernier printemps Le temps des souvenances Nous donn´rons not´bel argent Pour nous payer comptant Un peu d´eau de jouvence Puis comme des pélerins Referons le chemin Dont l´ombre nous fut tendre A l´emplacement des lieux Où brûla notre feu Nous trouverons des cendres A l´emplacement des lieux Où brûla notre feu Nous trouverons des cendres Maintenant c´est l´âge d´or Ton miroir peut encore te dire "Tu es belle" Mais quand les rides viendront Raviner notre front Faudra vivre avec elles Alors fais-moi des souv´nirs Pour que je voie venir Sans crainte ma vieillesse Nous serons au long des jours Riches d´un autre amour Que donne la tendresse Nous serons au long des jours Riches d´un autre amour Que donne la tendresse
Vous etiez et vous êtes toujours si émouvant M. Leny Escudero, vous êtes toujours dans nos coeurs, les années n'y changent rien, les belles âmes perdurent .. 💖
Oui ce n' est pas l' heure...j' aime le Nord et je suis du Sud!... Tous les voyages sont beaux, surtout celui de l' Amour.... Oui ne comptons plus...additionnons nos baisers, nos caresses, nos nuits étoilées....et nos petits latins magiques !.... D' accord ...vive l' Amour 💖❤️💝 Merci Amen 🙏😇🥰😻