Très très beau reportage. Beaucoup de psychologie de votre part pour amener les gens devant la caméra je suppose. Ça me rappelle les reportages à la Pierre Bonte ! 👍 Merci pour cet agréable moment
👍👍🙏❤C'est vrai l’exode rural s'était accéléré d'une manière infernale depuis la moitié de la décennie 70, l’époque du Boom du pétrole et du gaz, suite aux nécessités et aux besoins à la main d'œuvre dans l'industrie, la construction et le commerce, ce qui avait influencé négativement sur le quotidienne naturel à la campagne en engendrant une sorte de dépeuplement de désertification dans tous les sens valeurs ancestraux, habitudes, cohabitations, métiers etc. de la vie de la campagne et le monde rural. hélas 🙏
Bravo Gilbert de Belles Photos .. Au vu de celle ci , je dirais vers 1960 . Qu'en dites vous exactement ? Car déjà en 70 -72 ,je faisais de la couleur. De mon coté en Famille Chez le Tonton a Léouvé et La Croix sur Roudoule..Sans oublié St Leger... J'avais 10 ans a l'époque .j'y allais de 55 a 70. Une dernière question de quand date vos photos et vidéos récentes , vos interview ? ...Merci de vos réponses . Je suis de Toulon -Bonne Continuation .
Monsieur quelle nostalgie tous ces habitants tous ces villages. ...j’ai passé à Beauvezer des étés merveilleux de 1956 à 1962 environ j’ai connu monsieur Caboufigue il y avait quatre épiceries marchands de légumes dans le village.la boucherie Boyer toutes les merveilleuses promenade s que nous avons faites tout autour Mon grand-père allait ramasser des vercans (des branches d’osier) sur les bords du Verdon avec lesquels il tressait des nasses pendant l’hiver ..ancien gardien du sémaphore à Saint Jean Cap Ferrat à sa retraite il pratiquait la pêche..quand je suis remontée dans ce village bien plus tard il il était quasi désert Dans cet arrière pays comme sur la côte se peut-il que les modes de vie se transforment en quelques décennies. Je vous remercie pour ce film à remonter le temps!!
Que dire de plus? Rester silencieux et écouter ces témoignages et admirer ces magnifiques photos. Merci Monsieur pour ce riche partage. Cela me rappel mes Grands-parents et Arrière Grands-parents ainsi que cette époque où même l’air n’avait pas la même odeur Mille Merci 🙏🙏🙏
Bravo pour votre reportage 👏👏👏la vie était dur cette mais c’était les vrais gens la vrai vie,je suis très nostalgique de ce temps là,c’est émouvant 😢😊merci monsieur 👍👋😊
Merci du Cœur Gilbert pour ce Magnifique partage ❤ Je vie en Bretagne dans le Sud Finistère, un retour aux sources, où je rencontre ces mêmes réflexions des Anciens ! Un bien triste constat en voyant cette hyper mondialisation et comme le dit Fabienne-Marie dans le commentaire précédent, " à l époque on n 'avait rien mais on avait tout ,maintenant on a tout ( biens matériels) et on n a rien ( vie communautaire solidarité etc ) ! Un jour ou l'autre nous reviendrons à "l'Essentiel", si ce n'est par choix, ce sera par obligation car notre Monde ne peut continuer ainsi ! J'ai 57 ans et je le souhaite sincèrement pour mon fils de 20 ans ❤ En tous cas un grand MERCI pour ce superbe travail ❤🙏
Tres beau reportage qui explique bien la réalité de l'époque je suis né en 1954 j'ai tres bien connu en vendee c'était la même chose nous avions la mer mais pas la montagne. Famille de 12 enfants moi je suis le numéro 3.
Comment voulez vous que les jeunes viennent s'installer dans l'agriculture les citadins ne veulent pas avoir les animaux près de chez eux pas les odeurs pa de bruits coq cloches et tout ce qui vas avec. Comment voulez vous repeupler les villages quand on voit la mentalité des gens aujourd'hui. Cest dommage.
Méailles ? Ah bien ça alors. J´y suis justement passé aujourd'hui. Un charmant petit village aux rues étroites qui installé sur un promontoire dans une vallée devait offrir une bonne protection au moyen âge. Un peu affamé j´ai songé faire bombance au restaurant de Méailles dans une grande petite place vide qui autrefois devait servir de marché. Jour de semaine, il n´y a personne. Maintenant, grâce à votre document, je comprend. Il ne doit ouvrir que la fin de semaine pour ces urbains ruraux épuisés. Je n´ai pu m´empêcher de penser à Fridolin. Lui, restaurateur ne voulant cuisiner pour personne. Comme ces touristes dans le film, je me suis senti. Qui l´a vu ? Et préférez vous la version de Raimu le grand, ou celle du non moins pittoresque Galabru ? L´église dont le clocher domine avec son grand cadran solaire mural indique les heures de 4 à 20 heures et tout à côté 2 tables de pique niques, une grande toile pour cacher du soleil. Peut être la place de l´ancien bistrot où toutes les betises pouvaient se dire, collé contre l´eglise sans révéler ses secrets. Rien n´a changé, comme les photos noirs et blancs. Sauf l´ajout de la cabine téléphonique publique qui comme les personnes, finira par disparaître. Ces petits villages, sentant la pierre cuite par le soleil, le chant des cigales et des effluves de thyms et romarins. On peut y mettre tous les personnages de Pagnol, toutes les intrigues. Petits joyaux indémodable. Oui les temps ont changés, tout va plus vite, mais parfois le progrès a du bon. Je sort de ma rêvasserie pour la réalité. Point de cigales. Juste moi assis dans mon fauteuil....au Québec, Canada ! Sans internet et son progrès, je n´aurai fait ce voyage patrimonial que vous avez fait. Jamais je n´aurai pu.lire les commentaires si touchants d´inconnus que nous sommes. Les images satellites m´y ont transporté. Village autrefois de bergers et paysans. Dans ce sol contenant plus de caillasse que de terre, tout est en pierre. Les maisons, murets. D´ailleurs, mal m´en pris je n´ai pu résisté devant ce pêcher les branches chargées de beaucoup de fruits bien murs. Une branche dépassant du muret Si la vache a mangé le livre, puis je allégé le fardeau bien lourd de cette branche et lui retiré un ou deux fruits bien aoûtés ? Ah si seulement je pouvais vraiment les savourer et m´en délecter....
Magnifique merci pour ce beau témoignage..j’ai vu coursegoules greolieres changer de la même manière de leurs multiples berger vie de village..devenues des villes dortoirs..😢😢
Un immense merci pour ce travail titanesque qui retrace des portions d'identité.....On retrouve aujourd'hui ces personnes en maisons de retraite, et les écouter raconter, ça vous fait des frissons, pas de chichis, la justesse du regard, toucher au cœur des choses, humblement.
Oh comme le mot de la fin est délicieux : « Il faudra une guerre pour que ça change ». « Russia is losing » . . . l'ordre établit sera brutalement et profondément modifié.
J'ai connu ces années, dans les années 60 j'avais 10 ans, mes parents vivaient dans une fermes, la meilleure de ma vie, les moissons avec les cheveaux qui tiraient les charrettes chargées de gerbes de blé, c'était quelque chose, une époque formidable.
11'40: avant on (les paysans) pouvait dire merde maintenant on peut plus sinon on nous coupe les subventions. Avant on vivait que de notre travail pas de subvention ni allocation...