Tout commence par un geste anodin. John, homme mystérieux au regard perçant, demande à Marc, qu’il vient tout juste de rencontrer, s’il peut lui prêter du feu. Ce qui aurait dû rester un échange insignifiant devient rapidement le point de départ d’un affrontement verbal, puis physique. Marc, d’abord réticent mais poli, est visiblement dérangé par l’attitude de John, dont la demande semble cacher une provocation latente. Ce qui est fascinant, c'est la manière dont le réalisateur distille le malaise. Chaque parole, chaque pause, chaque regard devient chargé d’une tension sous-jacente. L’échange se transforme peu à peu en une véritable guerre des nerfs. Le spectateur est alors témoin de l’escalade implacable entre les deux hommes. John, provocateur et énigmatique, semble jouer avec les limites de Marc, un homme plus réservé mais rapidement acculé. Ce dernier, ne supportant plus l’attitude de John, laisse peu à peu éclater une colère longtemps contenue. Le réalisateur construit cette montée en puissance avec une précision chirurgicale, jouant sur les non-dits et les silences qui alourdissent chaque interaction.
Man, déjà tu sais même pas ouvrir un cubi, évidemment faut enlever la dernière protection sinon quand t'en prend 2-3 dans ton sac à dos ca coulerait, pour le verre c'est mieux qu'il soit en verre, pour du blanc plutôt long et effilé sinon tu salope le vin blanc et tiède en plus ! ( com' au bout de 4 mn) ensuite tu peux avoir du blanc avec du raisin rouge, il n'y connaît rien. Faux picolo direct t'es grillé ! En plus y'a pas d'heure pour une cuite. 9h c'est petit joueur. les mecs qui font les 3-8 ça commence à 4h. Après qui dit ne pas clope et bon vin mais fromage et charcuterie, voire pétard. Le cubi c'est un petit 3 litres, j'en buvait 3/jour à 20 ans. Combien de degrès ? , entre 10 et 14 pour du blanc. ça fait la différence. MDR
Ce qui me choque c'est qu'il arrive à faire une théorie sur un vin en cubi comme si c'était un bon pétrus. Un vin en cubi c'est juste bon à détartrer les chiottes et je suis gentil
Encore et toujours les mots qui dérangent, merci d'aller gratter sous le tapis, là où ça gêne. Merci d'ouvrir chaque jour un peu plus les yeux du peuple. Nous sachons.