2 heure on ta mis ko Japparais dans le blizzaro Bah dans ltekar kon va du vice la mort Sa va si vite on a du min encore Adosse les tous pour moi jvois que des hommes Ya plus 112 batar donc reste sympa Stu pete mili une balle dans lplacenta La vie est cru on tmange tout cru sa mdi Touche family tu verra lekip lbandit Toi t une chekem jte coupe pied o plancher La vie vaut chere donc on revnd 100g t danger On va pas svenger Jme Fais pas le con faudra tenir sa langue Cavale la devise dune kehba
On s’était dis qu’on aurai traverser toute les tempêtes , Arriver là il fallait juste attendre que ça pete . Pour sappercevoir . Que tout est éphémère , J’peux pas l’appeler beau père a cause de lui j’vois plu ma mère . Apparement c’est ça la vie j’ai du mal à y croire . A la zac c’était la folie même si il f’sais noir . Jprefere 100 fois ça que cette vie pourri . A l’heure qu’il est dis moi comment s’sentir en vie. Après peux être que c’est moi qui aime quand c’est l’delire . Mais en tout cas j’peux pas oublier la ou j’ai grandi frérot le pire . C’est peut être une dinguerie mais moi ç’est la vie d’avant qui me fesais vibrer . J’suis désolé mais à l’heure qu’il est plus rien n’est si dingue. Tout les jours se répète il suffit d’un flingue . Pour me tirer dans la tête . Tu dis j’dois pas me plaindre. Et bah d’accord fesons la fête jusqu’à caque qu’mon cerveau s’deglingue
Je vous parle d'un temps Que les moins de vingt ans Ne peuvent pas connaître Montmartre en ce temps-là Accrochait ses lilas Jusque sous nos fenêtres Et si l'humble garni Qui nous servait de nid Ne payait pas de mine C'est là qu'on s'est connu Moi qui criait famine Et toi qui posais nue La bohème, la bohème Ça voulait dire On est heureux La bohème, la bohème Nous ne mangions qu'un jour sur deux Dans les cafés voisins Nous étions quelques-uns Qui attendions la gloire Et bien que miséreux Avec le ventre creux Nous ne cessions d'y croire Et quand quelque bistro Contre un bon repas chaud Nous prenait une toile Nous récitions des vers Groupés autour du poêle En oubliant l'hiver La bohème, la bohème Ça voulait dire Tu es jolie La bohème, la bohème Et nous avions tous du génie Souvent il m'arrivait Devant mon chevalet De passer des nuits blanches Retouchant le dessin De la ligne d'un sein du galbe d'une hanche Et ce n'est qu'au matin Qu'on s'asseyait enfin Devant un café-crème Épuisés mais ravis Fallait-il que l'on s'aime Et qu'on aime la vie La bohème, la bohème Ça voulait dire On a vingt ans La bohème, la bohème Et nous vivions de l'air du temps Quand au hasard des jours Je m'en vais faire un tour À mon ancienne adresse Je ne reconnais plus Ni les murs, ni les rues Qui ont vu ma jeunesse En haut d'un escalier Je cherche l'atelier Dont plus rien ne subsiste Dans son nouveau décor Montmartre semble triste Et les lilas sont morts La bohème, la bohème On était jeunes On était fous La bohème, la bohème Ça ne veut plus rien dire du tout
Montrez moi la vie d’artiste que je postule Des Rappeur a topline quel imposture Posthume sont les instrumentales Comme un poster quand j’rap j’ai la posture 2-50 voie d’gauche dans l’bm Guette le compteur y’a pas d’happy end Dans les transports j’peux pas vivre sans la ville Proche de la mort, c’est la qu’j’ressens la vie J’ai vu des gens dans l’errance, et le coeur dans les ronces c’est même prépondérant
Tu pensais quoi d'moi Tu pensais quoi d'moi, hein Tu pensais quoi d'moi Un p'tit gamin bien perdu Un mec ou un bon plan sous Qui peut finir que déçu Il en a fait du chemin Il en a eu du vécu Et ça jte dit il vient d'loin Des choses ouais il en a vu J'ai vendu et consommé J'ai vu plus d'mort que d'reufré J'ai jamais eu le sommeil Et jamais vu le sommet