@@AmandinePusel-n9b Je vous remercie de votre retour critique, et j'entends votre ressenti, mais telle que la musique l'accompagne, je pense que la voix est à sa place. À nos partages !
le plus, le moins, le noir, le blanc, et que fait-on des 50 nuances de gris. Cette chanson est anecdotique basée sur un fait divers, loin de la beuglante de la fête foraine ou de la goualante du pauvre gens... UNE ANECDOTE, rien de plus. Le maître mot à retenir est Spontanéité : lorsque le chanteur est devant le micro, il est prêt, et personne ne peut intervenir dans ses choix, dans son interprétation sous peine de détruire la substantifique moëlle, la quintessence de l'oeuvre. c'est ainsi et son monde lui appartient en propre. L'exemple frappant dans l'histoire récente est l'enregistrement de MY WAY, Frank Sinatra : Le monsieur arrive dans le studio, pose son petit chapeau, se place derrière le micro, le grand orchestre démarre, il éxécute magistralement, une seule prise, remet son chapeau, salut les gars, c'est la bonne... On connaît la suite... On ne choisi pas son interprétation, on la vit... Bruno Cassand vit son oeuvre, on la prend ou on la laisse...Mais cela reste son vécu.