Bonjour à tous. Je m'appelle Serge PACE et ici vous trouverez essentiellement des diaporamas à partir d'images fixes. Les thèmes sont divers. Exemples: les poèmes, le voyage, les paysages, et là où me porte parfois mon imagination. N'hésitez pas à vous abonner et à me laisser vos commentaires, j'y répondrai.
Bonjour et merci pour votre commentaire. C'est votre avis et il est respectable. Les musiques apportent ici de l'émotion et c'est un plus pour pour le côté présentation sous forme de média. En direct et en public votre avis est me semble t'il recevable mais je ne pense pas ici.. la preuve.. le nombre de vues qui ne s'est jamais démenti.
@@SergePACE mettre de la musique sur de la Poésie, c'est mettre du sucre sur un caramel. Un poème, c'est déjà de la musique. Son essence est musicale. Mettre de la musique sur un poème, c'est ne pas avoir compris ce qu'est la Poésie. Désolé...
Ds la ligne de ce commentaire,qqn à dit*qu'il n'y a d'autres sublimités au-delà de la poésie. La poésie romantique sublime la femme par sa grâce l'élégance. La poésie est le représente la femme dans son intégralité la faune et la flore définissent mieux la beauté de la femme la poésie du jadis*NON❤
S'il vous plaît monsieur il y a un très beaux poème d'Alfred de Vigny la maison du berger avec votre voix est une très belle musique le paradi dans un vidéo merci beaucoup et bonne continuation.
Bonsoir, L'idée est séduisante: Je vais y réfléchir. Le seul problème est que ce poème est très long et ce n'est pas évident de maintenir l'attention pendant toute sa durée. Je vais voir si on peut n'en faire qu'une partie sans le dénaturer. Merci en tout cas pour votre commentaire
Magnifique poème que beaucoup devraient lire et surtout méditer dessus car rien n'est éternel et quand vient la fin, les regrets sont vains. Tout au long de notre chemin de vie, nombreuses sont les occasions de faire le bien ou le malbet nous restons maîtres de choix. Prenez soin de vous. ❤
Ce matin ciel brumeux je me promene autour ce lac A Cet endroit jadis en ta compagnie soles foulés soleil d'été nos cœurs réchauffés Je t'observe on se donne la main A travers nos rencontres raprochement nos pas Dans cette intimité réciprocité un amour est né sous le ciel au pays de France quelques part Entre un homme une femme polarité opposé Aux rythmes de nos pas j'écoute ta voix Aux files de nos conversations défilant contant nos histoires ces pays lointains le tien le mien ici maintenant ailleurs Ces îles de France que je connais à peine à travers des ouvrages de voyages Dans ma tête d'homme je contemple ta beauté si discrète pas ordinaire exotique belle étrangère Ta voix d'ailleurs aux sonorités chatouiller mes oreilles Europeen Tes ongles fines tel des épines de ces rosiers admirés Dans cette robe fine épouser à merveille La taille Ta forme frêle cette féminité révélé fantasmé Mes yeux rivés aux formes de tes seins les devina galbés bouton prêt à éclorer Je pense à ta jeunesse ce pays des créoles Ces terre mers aux ciel d'Azur toute année Mon imagination m'entraîne aux rencontres Où je t'es croisée t'aimée aux premiers regards posés Je me souviens encore comme si c'était hier soir deux êtres réunis ces âmes retrouvés convergés Nos yeux se mêlant aux imaginations surenchère Et maintenant à cet instance présent recommémore Me voilà Abandonné mon âme esseulé à jamais Sur ces sentiers promenant aux pas traînés Autour de ce lac pour seul témoin compagnon Que me reste t-il de tout ces instances Que ta présence jamais que rien ne remplacera Qui Jadis me remplisais tout mon être entier A présent ne sachant où aller ni vers quoi ce chemin débouché où va ma destinée égaré mes rêves restes tout à refaire Jadis élaborer à présent évaporés tel ces nuages de brume 🌫 sur ce lac au loin ce sentiment d'incertitude des questions trônant par milliers La vie est toute une mystère on fait une rencontre Un être cher aimé rattaché authenticité cœur reliés J'avance à pas hésitant mes yeux rivés aux hasards regards voilé égarer ma fragilité d'homme vulnérabilité abandonné à tout jamais
Bonjour monsieur ou bonsoir Au loin jettant mon regard sur l'horizon soleil couché Je vois ces reflètes des vaguelettes scintiller sur ce lac admiré Mon nostalgie solitaire me laisser emporter Qui est cette femme mystérieuse ayant donné à cet homme un tel émois sentiment amoureux Ses verbes couchés sur papier ses expressions exprimer cet abandon mélancolie Ces paysages abondamment magistralement décrits talent inégalé un grand poète français est né Il puisse ses inspirations d'une plume légère sur ce lac prend témoin ses mots glissés tel ce couple de cygne si élégant toujours s'accompagner cheminés fidélité Même dans la mort au chante agonie Appolon dédié Ces montagnes aux rochers ces arbres comme ces vols d'oiseaux observations décrit les adresser Le temps semble s'arrêter juspendu pour l'éternité figé Ses sentiments d'homme ainsi exposés légués à toute l'humanité au peuple français en 1er De cette 'amour naissance vers l'élan de collectivité autour de ce lac de Bourget Seul un amour naissance si puissance créativité Il en découle ses poésies composées dans ses mémoires gardées enfin accouché Ici pas de bole ;c'est la tristesse mélancolie désespoir mêlés L'essence d'âme aspiré ses émotions ressentis l'état d'exaltation transporté légèreté authenticité Quoiqu'il en soit cet homme se sent sûrement soulager après les avoir exultés tout sentiment de frustration accumulé Dans la perte de cet autre si tendrement aimée Il se pose des tas de questions et aux natures entourés les observer dans ses moindre détails inertes muette Aucun d'eux ne lui répondent tous restent immobile Comment trouver des mots approprié pour consoler un homme au bord du désespoir plonger dans sa profonde tristesse La sagesse impose le silence au complète Laisser l'homme seul dans son abandon franchir sa douleur sentiments émotions ses colères sa haine Il se doit franchire les obstacles ce voile noir obscurité déchiré expérimenter connaissance révélé enfin Cette Loi cyclique une nécessité pour que la lumière nouvelle puisse jaillir le purifié tel un nouveau né Demain matin un nouveau jour pointera son nez ces rayons soleil caressé réchauffé Il re apprendra à remarcher tel un bébé peu à peu se rééquilibrer Un nouvel homme est né métamorphosé "Ce qui ne tue pas rend plus fort que jamais"😊 Merci beaucoup monsieur pour votre lecture et partage
@@SergePACE Bonjour monsieur, Je suis débutante dans la poésie Je me découvre poète à ma grande surprise Tout n'est pas aux points comme il doit être Dans l'art de la poésie comme l'escrime tant qu'il n'y a pas de crime😂 Mais peu importe tant que l'inspiration l'emporte 😂 Je me laisse bercée transportée selon la direction du vent m'inspire ces mots soufflés inscrits Douce ou violent tout dépendra du moment aux pieds levant 😂 du lit😂 Je donne à cœur joie coucher mes mots ôté Mes maux voir encore mieux thérapie pardis 😂 Tant que ça rime ou ça rame vers d'autres rives tel est ma cible 😂voire devise 😂flèches invisible Merci beaucoup monsieur pour votre lecture’l'art poétique ainsi que votre travail fourni Je vous souhaite une très bonne nuit 🌃
Bonjour j'ai besoin de vôtre voix et de votre qualité de travail pour mon film sur Le LAC du BOURGET J'ai écrit plusieurs Poèmes à vous de juger de la pertinence Cordialement ru-vid.com/group/PL6YGesSWxsiPCnTJnWYoYzfwEIdrH5nI-&si=peT2INkakuIJ1meF
Waouh aussi bien récité que ce poème est beau, touchant mélancolique et triste ❤ C'est bien dans l'obscurité des cœurs que naissent tous ces magnifiques écrits la plume trempée autant dans les larmes que dans le sang...
bonjour faouzy et merci pour votre commentaire. La phrase que vous évoquez c'est dans le poème "Le lac" que vous trouverez sur ma chaine également. Un autre magnifique poème.
Un poème sublime qui exprime avec douceur toute sa mélancolie et peut être aussi l'espoir de l'au delà ,magnifique voix ,musique sublime ,que dire d'autre, ecouter simplement avec son coeur ,avec son ame ......
Quel plaisir de voir et d'entendre aqueros mountagnos ! Victor Hugo ne s'y trompait pas. Merci pour ces images sublimes qui montrent toute la beauté des lieux et favorisent la méditation tout en créant une certaine mélancolie au fond de soi-même. ru-vid.com/video/%D0%B2%D0%B8%D0%B4%D0%B5%D0%BE-6L7VXGfbHp0.htmlsi=lGVtiMReC3XNkTxE
Bonjour Cendoute, Merci pour votre commentaire. Cet endroit est magnifique effectivement. Si vous vous abonnez, vous serez prévenu de la suite que je mettrais d'ici quelques temps c'est dire la Bigorre plus dans la fin d'après midi et sur d'autres points de vues (Gavarnie, les cols, les cirques par exemple).
Bonsoir Il faut l'écouter dans son contexte. Le poète vient de perdre sa bien aimée et il est désespéré. Il rebondir d'ailleurs. L'intérêt de ce poème est aussi le paysage dont il parle avec délicatesse.
La lecture, la voix, la musique et les photos ont sublimé chaque mot d'un chef-d'œuvre de la poésie. Merci pour cette virée qui transporte l'âme dans les bras câlins d'une très douce mélancolie.
Grand poète romantique, l'on se demande ce qu'il est allé faire comme ministre sous le Gouvernement de Louis-Philippe en 1848. Incompatibilité de la poésie avec l'exercice du pouvoir.
Magnifique interprétation... votre voix très belle et en parfaite adéquation...texte sublime et musique parfaite... j'adore.... Puis je vous demander les références du morceau de musique svp?
Bonjour Lydie et merci pour votre commentaire bien sympathique. La musique est de Ludovico Eynaudi et le titre est "Run". Il est d'ailleurs cité dans le générique de fin. Vous trouverez aussi ce titre sur RU-vid. Bien amicalement Serge
Merci Serge pour cet aimable retour et les références... je vous découvre et me délecte de vous entendre.... votre voix se fond si parfaitement dans cet interprétation... vous le vivez.. Quel talent.... bravo pour cette prouesse et ne changez rien... Bien à vous... Lydie.
En effet il faut vivre le texte en sincérité. Comme l'auteur je pensais à un être cher (mon jeune frère décédé il y a longtemps) et c'était aussi un peu comme si c'était lui qui parlait. Lamartine lui pensait à Julie sa muse disparue trop tôt. A bientôt Lydie
La perte d'un être cher est une épreuve intense pour le cœur... c'est un très bel hommage à votre frère et à l''œuvre de Lamartine que vous sublimez par votre interprétation....ce qui vient du coeur ne ment jamais. Belle continuation Serge.... Bien à vous. Lydie.
Ma transcription en Anglais: ~~~~~~ The Lake / Le Lac ~~~~~~ Thus, always driven onward to shores like this In eternal nights one-way carried away Can we not ever on ocean of ages Drop anchor for one day? O Lake! Scarce has the year completed its turn Near the dear waves she was meant to see again I have come alone to sit upon this stone You saw her sit on then. You were roaring such, below those plunging cliffs. And just so, you broke onto their shredded brims Just so, the wind flung the foam of your wavings Onto her adored feet Recall the evening we sailed out in silence? We would hear afar, on the wave, beneath skies Naught but the rowers' noise striking in cadence Your harmonious tides. Then of a sudden, tones untold in the world Resounded round the sounding spellbound sea. The flow was alert; and I could hear these words From the voice dear to me: "Pause in your trek O Time! Suspend your flight! Propitious hours, stay! Let us enjoy the transient delight That fills our fairest day. Unhappy crowds cry out to you in prayers; Flow, Time, and set them free! Run through their days and through their ravening cares! But leave out the 'happy'! And In vain I pray the hours to linger on but time slips into flight. I say to this night: "Be slower!"; But the dawn Will dissipate the night. Let's love, then! Love, and feel while feel we can The moment on its run. Man has no harbour; and there's no shore for Time It flows, and we go on." Can it be, jealous time, our drunken moments, When love pours forth huge floods of merriment, Fly off far from us with an equal swiftness As days of wretchedness? What! Why can we not at the least fix a track What! Forever gone? What! all wholly lost? The Time that gave them, - them - this Time rubs off Will not bring them us back Eternity, naught, past, dark gulfs, abysses Tell, what do you do with the days you devour Speak! Shall you not bring back those sublime things? Return the raptured hour? O Lake, silent rocks, caves and darkling wood, You that time has spared or can restore to light, Let there live at least O Nature beautiful The memory of that night : Let it be in your stills and be in your storms, Fair Lake, in your cavorting sloping sides, In the black pine trees, in the savage rocks That hang above your tides; Let it be in the breeze that stirs and passes, In sounds resounding shore to shore each night, In the star's silver countenance that glances Your surface with soft light. Let the deep keening winds, let the sighing reeds, Let the light balm you blow throughout cliff and grove, Let all that's either beheld or heard or breathed Say only: "they did love!" Lamartine - transcription Fabrice. Notes: Personal transcript of 'Le lac' by Alphonse de Lamartine 1790 - 1869. Alphonse de Lamartine is a tremendous poet belonging to the romanticism era. A bit less famous than Victor Hugo but still a renown Poet. He left us especially 2 Major absolute masterpieces: 'Le lac' (The lake) and 'L'isolement' (The isolation) that I transcripted as well earlier. In the poem, he returns to the lake (Aix Les Bains) where, the previous year, he knew and loved Julie who unfortunately couldn't be there for being seriously ill (She was to disappear 3 months later). So he comes back alone.Through the lake and its images, he evokes that bygone happy period, time flying off and memory. Just a Marvel in the French Version. I did my best in English in a desperate attempt to render a bit of its absolute beauty in French. " Ô temps ! suspends ton vol, et vous, heures propices ! Suspendez votre cours : Laissez-nous savourer les rapides délices Des plus beaux de nos jours ! Are among the most famous lines in French Poetry. Thanks to all for your reading and comments. Do not hesitate to make criticism and suggestions regarding my transcript as I am not an English native speaker. Thanks :-) Merci Serge pour cette superbe vidéo et la très belle lecture! 👏👍😊
Ma transcription en Anglais ~~~~~~ The Isolation ~~~~ Often on the rock, in the old oak' shade A bit sad I sit at the time of sunset At random on the plain, my gaze wandering On the changing scene unfolding at my feet Here roars the river with its foaming waves; It snakes then sinks in a far-off darkness Where the lake, still, stretches dormant waters Where the evening star on the azure rises At the top of these darkened and woody mountains A very last ray that the twilight still throws. The misty chariot of the queen of shadows Rises and bleaches the far horizon edge Yet and rising up from the Gothic spire, A religious tone soon spreads in the air: The traveler pauses and the rustical bell With the last noise of day blends its holy call But to these sweet pictures my soul, indifferent Feels neither charm nor transport of delight I gaze upon the earth as a wandering shade Sun of the livings no longer warms the dead. And from hill to hill in vain turning my sight, From south to aquilon, from dawn to sunset, I travel all the points of the immense breadth And I say, "Nowhere for me bliss awaits!" What are they to me, palace, cottage, valley? Vain objects whose charms for me have flown away So dear rocks, rivers, solitudes and forest One sole being you miss, ... the world is a desert! Whether the sun's turn either ends or begins With uncaring eyes I follow its traveling In dark or pure skies, whether rises or sets What matters the sun?! I expect nought from days When I could follow it in its vast journey, My eyes would see deserts, emptiness everywhere: I desire nought of all it enlightens; And I ask nothing to the wide universe But perhaps n' beyond the bounds of its sphere, Place where the true sun lightens other skies Whether I could leave my remains to the earth, What I dreamt of so would appear to my eyes There I would get drunk at the source I long for I would find again both hopefulness and love That perfect ideal for which every soul craves And which at earthly stay has no real name If only I could, Aurora's sledge riding, Rush right towards you, vague object of my wish! In land of exile, why do I remain on?... There's nothing common between Earth and me own When the leaf of woods falls upon the meadows, Rising evening winds take it off the valleys And I am quite alike these light withered leaves Take me away likewise, O stormy aquilons! Lamartine- transcription Fabrice.
@@SergePACE Je l'espère. Il n'existait pas jusqu'ici de traduction anglaise de ce magnifique poème qui fût à la fois satisfaisante et belle. Je m'y suis donc collé qui plus est en quasi 'pentameters' la forme poétique la plus prisée par nos amis anglophones en lieu et place de nos beaux alexandrins. Le succès, en tout cas, est au rendez-vous sur 'All Poetry' ! Merci beaucoup Serge pour votre belle déclamation de ce magnifique poème, sans nul doute l'un des plus beaux de la poésie romantique française !
