Excellente interview ! Bravo au journaliste ! Ses questions étaient hyper bien travaillées ! Je retiens l'énorme gâchis de Laure Manaudou qui si elle était restée avec Philippe LUCAS, elle aurait tout mais absolument tout gagné au lieu de patoger dans la piscine pendant les JO quand elle n'était plus entraînée avec lui !
Elle sera peut être drôle un jour mais on y est pas encore hein vraiment pas. Puis ses " blagues " sexistes et à la limite de la pédophilie... euh... bon voilà quoi.
Interview interessante mais interviewer catastrophique. Ca apsse du coq a l’âne c’est absolument pas preparé. On dirait un enfant qui a fait une liste de questions et qui les pose seulement sans lien avec les précédentes…
C'est bien, mais en 2004, c'est comme s'ils n'avaient jamais été vus, qu'ils ne sont pas fimé en vidéo ou en télé, malheureusement, ce n'est pas comme au valide, c'est moins regardé, ces pas connus comme le basket valide.
Il faut encore qu'elle s’entraîne.... en Français! Le journaliste ne l'aide pas du tout, il a raison car elle s'en sort très bien! Déjà elle comprends bien. Bon ben si ct moi je cranerai moins avec le Russe! Dans le football on achète tous les joueurs qu'on veux. Alors...
Interview très sympa. Richard a été le bouc émissaire de toute une époque. Dommage que Liège-Bastogne-Liège ne figure pas à son palmarès, Une critique néanmoins : au faîte de ses succès, l'équipe Festina dégageait une forme d'arrogance assez désagréable un peu comme l'équipe d'Armstrong par la suite. Autre regret : le brave Willy Voet qui regrette ne plus jamais avoir eu de contact avec Richard. Une réconciliation est-elle possible ?
Génial on a beaucoup de chance de l'avoir en France, c'est un honneur qu'elle ait choisi notre pays, evidemment elle le fait aussi pour continuer la competition mais on sent un réel désir d'intégration dans l'ensemble de ses interviews
La sincérité est sa religion (?) Cette longue dame aux longs cheveux roux et aux mots acérés n'hésite pas à se livrer pour nous faire marrer (mais pas que !). Humoriste libre, Laura Calu a conquis sa liberté seule (ou presque, car son mari et metteur-en-scène, est toujours présent). Dans son dernier spectacle (SENK), tous les petits travers des humains sont disséqués (les siens comme les nôtres) et servent de tremplin à une critique encore plus acerbe de cette société qui « part en couille ». Si elle nous met face à nos contradictions (toujours dans la bienveillance), c'est pour mieux diriger le projecteur sur ce monde en perdition. Elle ne s'épargne pas non plus en exprimant ses propres dichotomies. À la différence d'une Florence Foresti, Laura ne s'adonne pas à la confession juste pour la poilade. Non, elle se dévoile comme si elle voulait conserver une certaine indépendance, garder le contrôle. Elle nous donne l'impression de conjurer un sort, de s'affranchir des diktats d'un univers sclérosé où tout est lisse, propre... Elle ne se ment pas et elle ne nous ment pas. Et si tout le monde y passe, c'est toujours pour la bonne cause : nous garder éveillé.e.s. Certain.e.s diront qu'elle a l'humour universel, moi, je dis qu'elle a l'humour pédagogue. Elle nous révèle le monde tel qu'il est et non tel que nous voulons le voir. Et c'est pareil pour l'humanité ; derrière cette ostensible bonhommie se cache le miroir dérangeant de l'âme humaine. En bref, Laura Calu, plus qu'un guide, est notre « institutrice ». Celle-là même qui, sans vraiment le savoir, nous a montré la voie. Merci et bravo !!!