OCI Music (Original Cinematic Inspiring) offers original compositions dedicated to the history and atmosphere of cinema. I mainly compose epic soundtracks mixed with Celtic, fantasy, folk and medieval music. My songs are generally very melodic, strongly harmonic... My music fits perfectly with different types of video games, trailers, performances, commercials and films...
Merci pour ce résumé de l'histoire de la musique relativement bien commentée, à part avoir fait l'impasse sur la musique atonale et sérielle. Bien cordialement. T.B.
Né le 27 janvier 1756 à Salzbourg, mort le 5 décembre 1791 à Vienne. Fils de Léopold Mozart et d’Anna Maria Pertl. Dès l’âge de trois ans, Mozart manifeste pour la musique des dons exceptionnels. Il a six ans lorsque son père l’emmène en tournée avec sa sœur Nannerl : Linz, Munich et Vienne les accueillent d’abord. Puis un second voyage, beaucoup plus long, les conduit à Munich, Augsbourg, Mannheim, Mayence, Francfort, Bruxelles, Paris, Londres, La Haye... Partout, l’enfant prodige soulève l’enthousiasme. Il rencontre les plus importantes personnalités de l’époque (Goethe, le baron Grimm...) mais surtout des musiciens dont l’influence sera décisive : Schobert à Paris, Jean-Chrétien Bach à Londres. Après un second séjour à Vienne en 1768, suivi de quelques mois à Salzbourg, Mozart et son père prennent de nouveau la route pour l’Italie où l’enfant entre en contact avec des compositeurs renommés tels que le Padre Martini ou Giambattista Sammartini. Créé en septembre 1770 à Milan, son opéra Mitridate, Re di Ponto obtient un vif succès. L’année suivante, après un autre voyage en Italie, les Mozart reviennent à Salzbourg pour se trouver sous la tutelle d’un nouveau prince-archevêque, Hiéronymus Colloredo, moins conciliant que son prédécesseur, Sigismond von Schrattenbach. En août, Wolfgang est nommé Konzertmeister titulaire de la Cour. Cette même année voit la composition des Symphonies n°15 à 21. En 1773, ce sont - entre autres - les Six quatuors à cordes K. 168 et K.173 et la Symphonie n° 25. L’année suivante, la Symphonie n° 29, le Concerto pour basson, la Sérénade en ré majeur K. 203, les Sonates pour piano K.279 à 283. 1775 est l’année des cinq Concertos pour violon mais aussi de l’opéra Il Re pastore. Suivront plusieurs divertissements et sérénades dont les célèbres Serenata notturna et Sérénade Haffner. Les premiers mois de 1777 seront marqués par le concerto pour piano n° 9, un tournant décisif dans l’évolution créatrice de Mozart. Mais la tension s’accroît entre le musicien et le prince-archevêque et en septembre 1777, Mozart quitte Salzbourg pour un nouveau périple qui le mènera en quête d’une situation plus à son goût à Munich, Augsbourg, Mannheim et Paris. C’est à Paris que furent écrits la Symphonie n°31, le Concerto pour flûte et harpe, les Sonates pour piano K.310 et 331. De retour à Salzbourg, Mozart est nommé en 1779, organiste de la Cour. En janvier 1781, Idomenée est créé à Munich et deux mois plus tard le compositeur rejoint Colloredo à Vienne ; mais c’est la rupture définitive et il choisit de rester dans la capitale autrichienne. Il s’y marie en 1782 avec Constance Weber, peu après la première au Burgtheater de son opéra L’enlèvement au Sérail. C’est alors le début d’une période fructueuse dont on peut retenir la Messe en ut mineur, la Symphonie n°36 « Linz », les Concertos pour piano n°14 à 19, la série des six Quatuors dédiés à Haydn. Pour vivre Mozart se produit en concert ou donne des leçons. La première représentation des Noces de Figaro a lieu le 1er mai 1786. En octobre de l’année suivante Don Giovanni triomphe à Prague. Mais les problèmes matériels se multiplient, malgré sa nomination au poste de Compositeur de la Chambre impériale et royale. En 1788, Mozart compose ses trois dernières symphonies et malgré les difficultés de toutes sortes, les dernières années voient l’éclosion de plusieurs chef-d’œuvres : Cosi fan tutte (1790), les Quatuors à cordes K.589 et 590 dédiés à Frédéric Guillaume II. En 1791, Mozart n’a plus que quelques mois à vivre. Ils seront consacrés à la composition d’œuvres dans lesquelles son génie a rarement paru aussi grand : le Concerto pour piano n° 27, le Quintette à cordes en si bémol K. 614, l’Ave verum, la Clémence de Titus, la Flûte enchantée, le Concerto pour clarinette, le Requiem qui restera inachevé. C’est misérablement que Mozart s’éteindra le 5 décembre 1791 à l’âge de trente-six ans. Ceci est la biographie de Mozart :) pour vous
Né le 27 janvier 1756 à Salzbourg, mort le 5 décembre 1791 à Vienne. Fils de Léopold Mozart et d’Anna Maria Pertl. Dès l’âge de trois ans, Mozart manifeste pour la musique des dons exceptionnels. Il a six ans lorsque son père l’emmène en tournée avec sa sœur Nannerl : Linz, Munich et Vienne les accueillent d’abord. Puis un second voyage, beaucoup plus long, les conduit à Munich, Augsbourg, Mannheim, Mayence, Francfort, Bruxelles, Paris, Londres, La Haye... Partout, l’enfant prodige soulève l’enthousiasme. Il rencontre les plus importantes personnalités de l’époque (Goethe, le baron Grimm...) mais surtout des musiciens dont l’influence sera décisive : Schobert à Paris, Jean-Chrétien Bach à Londres. Après un second séjour à Vienne en 1768, suivi de quelques mois à Salzbourg, Mozart et son père prennent de nouveau la route pour l’Italie où l’enfant entre en contact avec des compositeurs renommés tels que le Padre Martini ou Giambattista Sammartini. Créé en septembre 1770 à Milan, son opéra Mitridate, Re di Ponto obtient un vif succès. L’année suivante, après un autre voyage en Italie, les Mozart reviennent à Salzbourg pour se trouver sous la tutelle d’un nouveau prince-archevêque, Hiéronymus Colloredo, moins conciliant que son prédécesseur, Sigismond von Schrattenbach. En août, Wolfgang est nommé Konzertmeister titulaire de la Cour. Cette même année voit la composition des Symphonies n°15 à 21. En 1773, ce sont - entre autres - les Six quatuors à cordes K. 168 et K.173 et la Symphonie n° 25. L’année suivante, la Symphonie n° 29, le Concerto pour basson, la Sérénade en ré majeur K. 203, les Sonates pour piano K.279 à 283. 1775 est l’année des cinq Concertos pour violon mais aussi de l’opéra Il Re pastore. Suivront plusieurs divertissements et sérénades dont les célèbres Serenata notturna et Sérénade Haffner. Les premiers mois de 1777 seront marqués par le concerto pour piano n° 9, un tournant décisif dans l’évolution créatrice de Mozart. Mais la tension s’accroît entre le musicien et le prince-archevêque et en septembre 1777, Mozart quitte Salzbourg pour un nouveau périple qui le mènera en quête d’une situation plus à son goût à Munich, Augsbourg, Mannheim et Paris. C’est à Paris que furent écrits la Symphonie n°31, le Concerto pour flûte et harpe, les Sonates pour piano K.310 et 331. De retour à Salzbourg, Mozart est nommé en 1779, organiste de la Cour. En janvier 1781, Idomenée est créé à Munich et deux mois plus tard le compositeur rejoint Colloredo à Vienne ; mais c’est la rupture définitive et il choisit de rester dans la capitale autrichienne. Il s’y marie en 1782 avec Constance Weber, peu après la première au Burgtheater de son opéra L’enlèvement au Sérail. C’est alors le début d’une période fructueuse dont on peut retenir la Messe en ut mineur, la Symphonie n°36 « Linz », les Concertos pour piano n°14 à 19, la série des six Quatuors dédiés à Haydn. Pour vivre Mozart se produit en concert ou donne des leçons. La première représentation des Noces de Figaro a lieu le 1er mai 1786. En octobre de l’année suivante Don Giovanni triomphe à Prague. Mais les problèmes matériels se multiplient, malgré sa nomination au poste de Compositeur de la Chambre impériale et royale. En 1788, Mozart compose ses trois dernières symphonies et malgré les difficultés de toutes sortes, les dernières années voient l’éclosion de plusieurs chef-d’œuvres : Cosi fan tutte (1790), les Quatuors à cordes K.589 et 590 dédiés à Frédéric Guillaume II. En 1791, Mozart n’a plus que quelques mois à vivre. Ils seront consacrés à la composition d’œuvres dans lesquelles son génie a rarement paru aussi grand : le Concerto pour piano n° 27, le Quintette à cordes en si bémol K. 614, l’Ave verum, la Clémence de Titus, la Flûte enchantée, le Concerto pour clarinette, le Requiem qui restera inachevé. C’est misérablement que Mozart s’éteindra le 5 décembre 1791 à l’âge de trente-six ans. Ceci est la biographie de Mozart :)
J'en ai loupé deux (marche hongroise que je connaissais mais n'ai pas reconnue) et Stabat Mater que je ne connaissais pas, autrement que de nom. Et je me suis trompé sur une association titre compositeur donc 32 ou 32,5 selon la générosité ! Merci pour la vidéo !
On peut apercevoir le travail acharné de Bach à travers ses œuvres, plus j'en découvre et plus mon admiration envers cet homme croît. Ses compositions sont un plaisir auditif
il a fait plusieurs centaines de kilomètres à pied ,pour rejoindre un autre musicien,que je cherche,et aucune information ici,sur cette affaire .Je trouverais sans vous .
Bonjour, Merci beaucoup pour votre travail ! Félicitations, c'est très fluide, clair et structuré ! Quelles sources avez-vous utilisées pour ce travail ?
La musique romantique privilégie les émotions sur la raison. Nombreux compositeurs célèbres aussi bien dans la musique orchestral que dans l’art lyrique. Concept de musique absolue : le compositeur va exprimer ses émotions sans apport extérieur , il s’oppose donc à la musique à programme. L’évolution instrumentale permet aux auteurs de s’exprimer de manière beaucoup plus libre, piano et violon , clarinette, la harpe, les symbale…. Forme musicale classique en les transformant Le romantisme invente des formes nouvelles telles que le lide ( chant allemand accompagné par le piano sur des tetxes de grands poètes : amour, nature , voyage ) forme : la sonate ( chopin…) Prélude : forme indépendante avec Chopin La balade, pièce instrumentale sans plan définir Le nocturne romantique devient une courte composition pour piano ( mélancolique ) L’impromptu ( improvisation) Concernant la musique symphonique instrumentale : Poème Symphonique Le concerto mette en valeur la virtuosité du soliste La symphonie ( Berlioz ..) Orchestre romantique : effectif impotent Au xix l’opéra se développe L’opéra français : Berlioz .. xix siècle : drame lyrique allemand