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Je viens de voir cette magnifique adaptation théâtrale du roman de Balzac par Pauline Bayle. Le pari est osé et très réussi. Hier soir au Quai des Rêves à Lamballe nous étions tous captivés par cette histoire qui reste très contemporaine. C’est la force des grands romans et écrivains tels Balzac, Poquelin et Shakespear de rester passionnants siècle après siècle. C’est aussi la force de Pauline Bayle et des comédiens et comédiennes qui l’accompagnent. Merci à vous toutes et à vous tous.
La pièce vue au théâtre subventionné de Tourcoing bien NULLE ! Le livre Balzac dénonce comment l argent peut tout corrompre les gens et les médias. Dans cette pièce revisitée, les rôles masculins sont remplacés par des femmes, sans raison ! Bref du bon wokisme comtemporain pour avoir des subventions du ministère de la culture, il faut aller dans le sens du maître de l argent. Ce que dénoncait... Balzac ! ! Pièce PRO parigo hommo Lgbt
Difficilissimo cogliere il senso completo dell'intervista, per le difficoltà della lingua e l complessità dell'argomento. Sono rimasto incantato, anche solo PERCEPENDO!
Grazie per il suo gentile commento. Vi consiglio di cliccare sulla ruota dentata in basso a destra, scegliere la lingua italiana nei sottotitoli e poi cliccare sull'icona dei sottotitoli a sinistra della ruota dentata. In questo modo si ottiene una traduzione automatica da RU-vid :-)
Ayant vu le spectacle hier soir, je le déconseille vivement. C'était le dernier spectacle, pour moi, de cette saison théâtrale, et cela laisse un goût fort amer. Mme Bayle ferait bien d'accepter les quelques conventions de base de cet art du spectacle... Que les interprètes aient une voix, b.a. ba, et qu'ils s'adressent au public, et non ne parlent dans leur barbe en leur tournant le dos. Une centaine de spectateurs sur la scène: quel intérêt? C'est le décor, ça va , pas trop difficile à installer. Juste que pendant le temps d'installation, les autres spectateurs, qui seront dans la salle, attendent dehors de pouvoir entrer (il faut du mystère). À un pensum de 2h30 s'ajoute la demi-heure d'attente avant. Pas d'entracte. Les comédiens interprètent plusieurs personnages, les hommes des femmes, les femmes des hommes, plus de genre, mais évidemment sans costume, habillés comme vous et moi, juste une paire de chaussures qui change ou une veste (quasiment identique), ce qui fait qu'on ne sait jamais qui est qui, très pénible. Une espèce de danse -chant-techno interminable et inaudible pour symboliser un spectacle dans le spectacle. Une fin moralisatrice sortie de nulle-part. Les spectateurs partaient au fur et à mesure (même ceux qui étaient sur scène)... Je doute que M Balzac ait voulu raconter son histoire de cette manière-là. Mme Bayle devrait écrire ses propres textes plutôt que de détruire les oeuvres des grands auteurs qui l'ont précédée. Et s'intéresser un minimum au spectateur, sans qui il n'y aurait pas de théâtre. Quelle prétention. Remboursez.
J'ai pu assister à une très belle représentation de Electre des bas-fonds au théâtre du Soleil aujourd'hui quelle claque théâtrale !! J'y retournerai sans problème. Fabuleux texte et mise en scène surprenante et bouleversante
