Udeyfa, Lita paka de son vrai nom est un rappeur belge d’origine congolaise. Il grandit dans le quartier de Molenbeek à Bruxelles en Belgique.
Udeyfa se fait connaître du grand public lors d’une série de Freestyles publiés sous le nom de « Poète de rue », un rappeur cagoulé venu délivrer un message.
Influencé par Kery James et Diam’s, l’artiste a su trouver sa propre identité par un rap authentique mélangeant vérités du quotidien dompté d’un flow qui ne laisse pas indifférent. Aussi bien chanteur que rappeur, comme en atteste son titre « Si tu m’aimes » qui affiche déjà 900 000 vues au compteur. Très vite, il sort de l’ombre par son timbre atypique, en se montrant sous son vrai visage et annonce qu’il ne compte pas en rester là… Déjà courtisé par les plus grands, c’est dans le label XKSPROD que Udeyfa signe une carrière qui ne manque pas de surprises. Affaire à suivre…
je viens de decouvrire cette artiste et cette chançon je suis sur le cul comme on dis . un chançon aussi belel que triste force a tous ceux et au proche qui ce battent contre cette merde de maladie !!!
T'étais mon pote, t'étais mon meilleur ami Mais t’inquiète moi j'oublie pas Moi j'oublie pas que tu m'as trahi On se connait depuis le primaire et tout le monde croit qu'on est frère Et pour te sortir des galères, j'ai remué ciel et terre J'ai jamais compté avec toi, mon salaire c'était le tien J'ai jamais changé avec toi, tes ennemis c'était les miens Si l'amitié c'est un taff, j'avais signé en CDI Et j'ai compris avec le temps que toi t’étais en CDD La fraternité c'est beau, les prises de tete c'est chaud Mais moi j'ai préféré couler pour te voir sortir de l'eau T'as dormi chez moi, t'as mangé chez moi Et pour me remercier de tout ça, t'as craché dans mon plat J'ai toujours défendu ton nom quand tu faisais de la merde Sur l'autoroute de l'amitié, tu m'as conduis à ma perte Peux-tu me regarder dans les yeux et m'appeler encore frérot ? Et moi face à tes adversaires j'ai joué les Casemiro Et on a prié ensemble, pour t'avais de l'importance Tu veux savoir ce que je pense de toi ? Tu peux demander au silence Et j'ose même pas dire à mes proches que mon frérot m'a entubé 15ans d'amitié ouais, parti en fumée L'argent t'as séduit et t'en as perdu tes valeurs M'appelle plus jamais le sang, j'avoue je dis ça à contre cœur Je t'ai placé tellement haut, je peux m'en vouloir qu'à moi-même Mais le plus triste dans tout ça c'est que dans le fond tu me fais de la peine Un coup de file de ta mère qui me considère comme son fils Mais elle serait tellement déçue si elle connaissait tous tes vices On a fait les 400 coups mais tu m'as trahi pour des sous Et puis tu peux garder ta main, je sortirai seul de mon trou Quand ta mère te parle de moi, dis-moi un peu ce que tu ressens Quand tu es face à ton miroir, dis-moi un peu comment tu te sens Comment tu peux trahir ton frère pour une femme et des billets Et quand tu m'appelais frérot, la trahison te maquillait Arrête de dire à tout le quartier que tu regrettes et que je te manque Je connais le poids de tes paroles, un balance reste une balance Je souhaite du mal à personne, beaucoup de bonheur avec ta femme En espérant qu'avec le temps, tu lui feras jamais de mal T'es si bien entouré, je comprends même pas que tu sois si lâche Moi j'ai la gorge nouée, t'es devenu le sujet qui fâche T'insulter c'est me rabaisser, même si tu es la cause de ma chute Je respecte trop ta mère pour te traiter de fils de ... Pour toi j'ai pris des risques et t'as fait pleurer ma famille On trahi pas les frères, c'est Jacques a dit qui l'avait dit Tu peux t'en vouloir qu'à toi-même, on sera plus jamais pote Donc devant ton pardon, mon cœur a fermé la porte C'est fou comment t'as changé, c'est fou comment t'es perché Le brassard le l'hypocrite, tu l'as si bien porté L'amitié c'est comme l'amour, si tu fautes c'est fini On est seul face à la mort, du coup c'est chacun sa vie Et je repense à nos galères, j'aurais jamais pu te faire ça A deux on était collectif, mais aujourd’hui je barre ça On était comme Olive et Tom mais tu m'as pointé dans le dos Aujourd’hui on est adversaire, comme dans ce fichu classico T'as perdu un pote, non! T'as perdu un frère Mais j'avoue quand dans le passé , nous deux on faisait la paire J'ai tué nostalgie pour éviter de te pardonner Nos bons moments dans la cité, je préfère les oublier Ouais, ouais, je préfère les oublier
Tu est un bon poète a la miseria en connaissance de la miseria et le doigt en l'air ke le très haut nous vois le Tres haut nous protège en Sachant k'on souffre ke le tout Puissant te garde.Allah azzewahjel
respect , j ecoute t es textes depuis aujourd huit , tu a un sacré message ds les textes, des textes au gout du jours ,pas de voie trafiqué , apres tu es religieux,moi pas, (c est un choix et je respect) meme si par moment jpense que c est pas obligatoire pour dire tel ou tel chose, pour le coup mais gros respect , continue sa fera peu etre evolué des consiences dans un bon sens peace et good luck pour la suite ! peu etre que le rap n est pas mort finalement est sa fait plaisir ! belle decouverte !
Force a toi.j'ai perdu ma maman y'a un an et mon papa en 1994 en mode 16 piges grandi en solo.kontinu tes sons Allah Baraka aofit ke le très haut te protège et te guide
Dommage que tu sois Un metisseur comment certains font passé les traditions avant dieu même Allah nous demande de ce marié avec les siens donc arrête tes histoires de religion
Merci beaucoup pour cette chanson très émouvante ma mamie avait un cancer mais malheureusement elle en a perdu la vie bravo a toi d'avoir chanté cette chanson sans faire tomber une larme❤❤❤❤
