1919 appartient au passé mais cette vidéo est intéressante les voitures et les avions existaient déjà l'humour aussi d'après certaines scènes chaque fois que j'écoute cette vidéo j'imagine mes arrières grands parents qui ont connu cette époque
"Non mi sono mai chiesto perché scattassi delle foto. In realtà la mia è una battaglia disperata contro l’idea che siamo tutti destinati a scomparire. Sono deciso ad impedire al tempo di scorrere. È pura follia." Robert Doisneau
Secondo gli standard della community RU-vid, la violenza non è di chi la compie, ma di chi la mostra. Per questo il video è visibile solo ai maggiori 18 anni
La ringrazio per aver registrato e pubblicato questa esibizione della Banda musicale del Corpo della Polizia Locale di Roma Capitale. Spero non le dispiaccia che abbiamo condiviso questo filmato sulla nostra pagina su Facebook.
Poi le vittime in nome di principi non cristiani cattolici, non le si vogliono ricordare, poi perché la destra deve essere per forza cattiva, quindi il Concilio Ecumenico Vaticano II e il Sessantotto ci insegnano che esiste la dittatura di sinistra e fascismo di sinistra.
Però, le vittime della sinistra come il Laicismo, Socialismo, Comunismo non li si vogliono ricordare, mentre le vittime della destra come della Tirannide Casta Sacerdotale bisogna obbligatoriamente ricordarli. Quindi esiste attualmente il fascismo sinistroide. Quindi secondo il video, le vittime della sinistra, sono stati fatti per il bene.
L'Internationale Paroles : Eugène Pottier. Musique : Pierre Degeyter. Ce texte daté par Eugène Pottier de juin 1871 n'a jamais été publié avant 1887. Il semble que ce soit de cette époque que date la version que nous connaissons. D'abord répandue dans le Nord, l'Internationale a été chantée au cours du 14e congrès du POF à Lille en juillet 1896 ; par l'ensemble des tendances socialistes lors de la clôture du congrès unitaire de Paris (1899) et au congrès socialiste international de Paris( septembre 1900). En 1910, l'interprétation par 500 musiciens et choristes au congrès international de Copenhague, consacrait l'œuvre de Pottier et Degeyter comme hymne du mouvement ouvrier internationalement reconnu. L'Internationale a été traduite en de nombreuses langues. 1ère version C'est la lutte finale: Groupons-nous, et demain, L'Internationale Sera le genre humain. Debout! l'âme du prolétaire! Travailleur groupons nous enfin. Debout! les damnés de la terre! Debout! les forçats de la faim! Pour vaincre la misère et l'ombre. Foule esclave, debout! debout! C'est nous le droit, c'est nous le nombre Nous qui n'étions rien, soyons tout. Il n'est pas de sauveurs suprêmes: Ni Dieu, ni César, ni tribun, Producteurs, sauvons-nous nous-mêmes! Travaillons au Salut Commun. Pour que le voleur rende gorge, Pour tirer l'esprit du cachot, Allumons notre grande forge, Battons le fer quand il est chaud! Les rois nous soûlaient de fumées, Paix entre nous, guerre aux tyrans! Appliquons la grève aux armées, Crosse en l'air et rompons les rangs! Bandit, prince, exploiteur ou prêtre Qui vit de l'homme est criminel; Notre ennemi c'est notre maître Voilà le mot d'ordre éternel. L'engrenage encore va nous tordre; Le Capital est triomphant; La mitrailleuse fait de l'ordre En hachant la femme et l'enfant. L'Usure folle en ses colères, Sur nos cadavres calcinés, Soudé à la grève des salires La grève de assassinés. Ouvriers, paysans, nous sommes Le grand parti des travailleurs; La terre n'appartient qu'aux hommes, L'oisif ira loger ailleurs. Combien de nos chairs se repaissent! Si les corbeaux, si les vautours, Un de ces matins, disparaissent... Le terre tournera toujours! Qu'enfin le passé s'engloutisse! Qu'un genre humain transfiguré Sous le ciel clair de la justice Mûrisse avec l'épi doré! Ne crains plus les nids de chenilles Qui gâtaient l'arbre et ses produits. Travail étends sur nos familles Tes rameaux tout rouges de fruits. C'est la lutte finale: Groupons-nous, et demain, L'Internationale Sera le genre humain. 2e version C'est la lutte finale: Groupons-nous, et demain, L'Internationale Sera le genre humain. Debout! les damnés de la terre! Debout! les forçats de la faim! La raison tonne en son cratère, C'est l'éruption de la fin. Du passé faisons table rase, Foule esclave, debout! debout! Le monde va changer de base: Nous ne sommes rien, soyons tout! Il n'est pas de sauveurs suprêmes: Ni Dieu, ni César, ni tribun, Producteurs, sauvons-nous nous-mêmes! Décrétons le salut commun! Pour que le voleur rende gorge, Pour tirer l'esprit du cachot, Soufflons nous-memes notre forge, Battons le fer quand il est chaud! L'État comprime et la loi triche; L'Impôt saigne le malheureux; Nul devoir ne s'impose au riche; Le droit du pauvre est un mot creux. C'est assez languir en tutelle, L'Égalité veut d'autres lois; "Pas de droits sans devoirs," dit-elle, "Égaux, pas de devoirs sans droits!" Hideux dans leur apothéose, Les rois de la mine et du rail Ont-ils jamais fait autre chose Que dévaliser le travail: Dans les coffres-forts de la bande Ce qu'il a créé s'est fondu. En décrétant qu'on le lui rende Le peuple ne veut que son dû. Les rois nous soûlaient de fumées, Paix entre nous, guerre aux tyrans! Appliquons la grève aux armées, Crosse en l'air et rompons les rangs! S'ils s'obstinet, ces cannibales, A faire de nous des héros, Ils sauront bientôt que nos balle Sont pour nos propres généraux. Ouvriers, paysans, nous sommes Le grand parti des travailleurs; La terre n'appartient qu'aux hommes, L'oisif ira loger ailleurs. Combien de nos chairs se repaissent! Mais, si les corbeaux, les vautours, Un de ces matins, disparaissent, Le soleil brillera toujours! C'est la lutte finale: Groupons-nous, et demain, L'Internationale Sera le genre humain.