Lorsque le livre de Félix Séguin et Éric Thibeault est sorti en 2015 , je l'avais lu , bien sûr la lecture offre plus de détails que l'écran , mais ça fait tellement longtemps que je vais le relire bientôt , sans les traces de ADN , il en aurait liquidé quelques autres tellement il était en '' mission '' , c'est ironique mais grâce à sa bave , il en bave maintenant .
La nausée de comprendre le mépris que ces journalistes ont du haut de leur supériorité, pour un homme, un criminel qui à 13 ans devais mettre les bottes de sa mère parcecque pas d´argent et pas de père. Bien les gars, qu´elle bonne farce pour des prostituées. Dommage qu´à l´époque d´internet nous savons tous les compromis que VOUS faites avec les puissants. Hein? Fort avec les faibles et faibles avec les forts.
Bonjour : bête du Gévaudan. 3 hybrides (chiens loups) . Lettre du comte de Tournon. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné.Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1).Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un matin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence ! » Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Mais ce loup des chazes empaillé en y regardant de plus près avait des côtes différentes des loups, ce qui permetté à l annimal de ce retourné sur lui même : seul les chiens du style Dog ont ce genre d'anomalie, donc c'etait encore une fois un chien croisé avec un loup, idem por la bête tué par Chastel. Et oui la science moderne répond à beaucoup de question. L'annimal de Chazes avait également provoqué quelques attaques car des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). Cette analyse MODERNE du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d'une derniére bëte du Gévaudan. «Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Hyène, ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - Idem pour d’autres vétérinaires (j'avais soumis rapport).
C'est l'homme le plus sérieux que je connaisse quand vient le temps de décortiquer les choses dites étranges qui malheureusement ne sont pas toujours fondés
Un chef d’œuvre du cinéma québécois mélangeant avec doigté la comédie, le drame familial et la critique sociale. Un film qui parle de thèmes universels (relations père-fils, passage à l’âge adulte, le besoin de liberté) et qui vieillit bien !
11:05 très naif du doc, elles mettent des filtres et sont super maquillées, arrangées, très rare que ce sont des femmes qui se ferait photographier sur le ''fly'' ! Elles S'excluent encore à 100% si elles sont pas prêtes et SURTOUT si il y a pas de filtres. Le ventre cachée, et les boules sorties. Plus fake que n'importe quelle autre époque.
Bonjour : J'ai vu les émmissions sur la bête du Gévaudan. ( mais en realitée il y a eu 3 autopsie de 3 hybrides chien croisé avec loup quant ils l'annalyse avec le regard de la science moderne). Lettre du comte de Tournon. « Mr Antoine et moi nous étant séparés pour tenir plus de pays, j’envoyais mon piqueur au bois avec mon limier, il détourna le vrai loup avec sa louve » (entendre par là la vrai bête avec sa compagne). « Je fis avertir Monsieur Antoine d’être sur ses gardes, ce qu’il fit, je fis donc attaquer le fusil de Bruasc, ce jeune homme que je voulais procurer à Dupond, lui rata dessus à quatre pas, c’est-à-dire sur le mâle, voyant qu’il avait passé l’enceinte, je lui donnais mes chiens à deux heures après midi, qui le suivirent jusqu’à cinq avec une chaleur qui nous fendait, enfin ils se rebutèrent, le quittèrent et nous rejoignirent à 6 heures, le loup vint pour attaquer des petits bergers qui gardaient des vaches ; il trouva en sentinelle un nommé Rainchard, allemand, garde de Monsieur le Duc d’Orléans, qui lui lâcha un coup de carabine qui entra par la cuisse gauche et s’arrêta à l’épaule droite entre cuir et chair ; le loup gagna le pays et alla mourir à deux mortelles lieues de là, on le chercha trois jours inutilement, enfin un paysan le trouva sentant déjà mauvais, le porta à Saint-Flour, reçut la rétribution du Subdélégué » (Monsieur de Montluc), « dépouille son corps à la diable, lui coupe la tête et les oreilles jette son corps dans l’eau et s’en va faire la quête de village en village nous le savons. On y envoie deux gardes, on rapporte la tête et les oreilles, on pêche son corps tout infecté, on oublie pas la peau » (sans doute obtenue par les perquisitions signalées par le rapport Magné de Marolles), « enfin tout nous parvient au Besset » (château du… où Antoine et ses hommes sont en résidence), « nous nous bouchons le nez, nous fouillons ce vilain corps, nous trouvons la balle, nous reconnaissons son pied, nous voyons que le gauche est usé en dedans (l’animal) ayant été blessé jadis à l’épaule ou à la jambe ; nous trouvons le côté du pied en dehors tout neuf. Nous l’avions reconnu pour être blessé en ce qu’il a appuyé à faux dans les endroits où nous pouvions en revoir, nous trouvons que son col est aussi gros que sa tête, que ses oreilles sont petites et larges, que son poitrail est prodigieux, que son poil est court et de la couleur d’un veau » (c’est-à-dire roux comme le confirme l’abbé Trocelier pour les vaches du pays), « qu’il a une raie noire sur le dos large d’un doigt » (10 à 11 cm environ), « que son pied est rond comme celui d’un mâtin » (chien mastiff, molosse, dogue) ; « enfin que c’est notre loup dévorant » (la vraie bête du Gévaudan), « nous ignorons si sa louve » (sa femelle aperçue par les piqueurs) « à des inclinaisons aussi meurtrières, c’est ce que le temps nous apprendra. » (Lettre du comte Hugues-François de Tournon-Meyre, veneur réputé du Vivarais étant venu au cours de l’été 1765 renforcer l’équipage de François Antoine pour ses chasses à la bête du Gévaudan. Transcription P.P.L. BERTHELOT 5/07/2021.) Nous pouvons voir sur son site Facebook : Amis qui aiment la Bête du Gévaudan de P.P.L. BERTHELOT, que le texte original écrit avec la plume, est bien scanné.Cette lettre se trouve bien aux archives nationales (Archives Nationales, Chartrier de Tournon, papiers personnels, 513AP/19, dossier 1).Les archives du comte de Tournon tout comme le rapport Magné de Marolles (BNF-Paris) confirment qu'il s'agissait bien de la vraie bête du Gévaudan et que ce n'était pas un pur loup puisqu'elle avait un pied de chien. Il y avait donc bien plusieurs Bêtes tueuses avec du gène d’un chien mâtin, car un pur loup ne peut pas avoir un pied de ce style. « Dans cette lettre-rapport du comte de Tournon, ce sont les louvetiers (valet de chiens et valet de limier de l'équipage de la Grande Louveterie Royale voire les gardes-louvetiers) qui parlent. Ils donnent leurs avis sur ce qu'ils connaissaient le mieux ; autrement dit la comparaison, non pas avec un chien de ferme (un matin), mais avec un chien mâtin de leurs équipages dont la race était bien fixée à cette époque. Ils chassent un loup, le porte-arquebuse François Antoine en a décidé ainsi, alors ils désignent logiquement cet animal ''loup'', mais son pied est comme celui de leurs mâtins d'équipage, celui d'un chien, pas un pied rond de loup » (Propos de Patrick Berthelot sur le site facebook : Amis qui aiment la bête du Gévaudan). Les propos qui suivent entre guillemets, sont également de Patrick Berthelot sur le même site : « Les autres témoignages provenant des chasseurs comme ceux de François Antoine, et qui étaient venus chasser des loups, n'y voyaient logiquement que des empreintes de loups. Quoi de plus normal que de trouver des empreintes de loups autour d'un cadavre dans un pays où il en existait autant ? Ensuite, il y a cette archive que j'ai retrouvée et décortiquée du rapport de l'équipage d'Antoine repris par le comte de Tournon, où les louvetiers (gardes et valets), évoquent la patte de la bête du Bois Noir (officiellement reconnue comme la Bête du Gévaudan) dotée d'un pied rond semblable à celui des mâtins qu'ils utilisaient à la vénerie. A l'ensemble, il faut ajouter un pelage roussâtre et court. Celui qui voit un simple loup là-dedans serait bien éveillé d'aller changer ses verres de lunettes de toute urgence ! » Après que Rainchard a tué ce chien mâtin croisé avec un loup, ou on peut éventuellement comprendre pourquoi Antoine a voulu par la suite tué également un loup, car c’était un loup entier et empaillé et non découpé en morceau qu’il devait ramener à Paris (pour être certain de toucher une prime). Mais ce loup des chazes empaillé en y regardant de plus près avait des côtes différentes des loups, ce qui permetté à l annimal de ce retourné sur lui même : seul les chiens du style Dog ont ce genre d'anomalie, donc c'etait encore une fois un chien croisé avec un loup, idem por la bête tué par Chastel. Et oui la science moderne répond à beaucoup de question. L'annimal de Chazes avait également provoqué quelques attaques car des blessures causé par l’homme sur l’animal étaient également présente et quelques personnes l’ont reconnu). Cette analyse MODERNE du rapport Marin qui suit, a permis d’établir la nature exacte d'une derniére bëte du Gévaudan. «Nous avions confiés ces notes au Museum d’histoire naturel de Paris, afin d’étudier la morphologie de la bête et de la comparé à celle du loup. Cette analyse complètement inédite, nous a permis d’établir la nature exacte de la bête du Gévaudan. La bête n’est ni une Hyène, ni un singe, ni tout autres animal exotique. » Sa formule dentaire montre que cette bête est un canidé : « C’est un mâle de 109 livres (le poids normal d’un loup adulte.) Mais son museau est plus court que celui d’un loup, et sa tête plus large. L’Arcade zygomatique surdimensionné laisse deviner une mâchoire particulièrement puissante, la crête du crâne et la taille des dents appartiennent au loup, mais la hauteur du profil et le stop du museau évoque incontestablement la morphologie du chien. De manière générale, l’avant du corps est proche de celui du chien, et l’arrière ressemble à celui du loup. Loin d’être une contradiction, la coexistence des deux morphotypes nous permet d’être affirmatifs. La bête du Gévaudan est donc un hybride entre un loup et un gros chien. Sans doute d’un chien Mâtin : ces conclusions sont confirmées par la tache blanche sur le poitrail de l’animal, et la grande longueur des griffes qui trahissent la domestication » (Fin des commentaires orales dans le grand documentaire de David Teyssandier : « La bête du Gévaudan autopsie d’un mythe - Idem pour d’autres vétérinaires (j'avais soumis rapport).
27:20 elle est naive sur un moyen temps, il y a des femmes qui ont des enfants, chum à la maison et sortent 2 soirs par semaine... et au bar disent souvent l'expression ''Ce qui se passe au bar, reste au bar'', c'était en 2020 ca, justement c'est pire qu'en 2000 ou 2010! Les femmes veulent être libres et volage en 2024!
24:15 une 1/2 bouteille de vin, et la Josey parle de généralisation et ajoute drogue, revenue tout nue etc... est complètement désillusionnée elle! Bien des femmes matriarcales sont comme ça au Québec, ajoute des dires pour rendre un commentaire pire et se valoriser elle meme... elle les représente bien!
25:30 Sur TF1 , en France, soirée animée par Jacques Pradel ( j' y étais ) parmi les " spécialistes " qui conversaient sur le plateau, il y en a un qui a sorti une vérité implaccable Il a dit : Si des etres devaient venir sur Terre, d' une autre galaxie, ils n' auraient pas formes humaines car n' ayant surement pas eu le meme " big bang " Parlez moi d' extra-terrestres ayant une morphologie inconnue et vraiment particulière, là, je commencerai à étudier le truc Perso, je suis d' accord et tous les témoignages, de 1947 à nos jours, parlent d' humanoides, donc, je ne crois pas aux etres venus d' ailleurs
Elizabeth est meilleure que Josey, elle le challenge plus, j'aime ça ! Hey la chimie avec Josey est meilleure mais c'est sur avec autant d'années, Elizabeth est pas gênée et direct avec lui. et surtout elle amène des opinions. Josey semble aller avec l'opinion populaire de la populace.
27:45 FAUX ça n'a aucun rapport au temps dans le film... Anthony Hopkins 14 minutes dans Le Silence des Agneaux face à Jodie Foster qui elle est la plus de 100 minutes ! Comme un acteur de soutien peux avoir été dans le film plus de la moitié du film. C'est pas toujours le temps mais davantage la qualité du rôle ! Comme ici du rôle du parent ! ;)
1:05:35 le doc faisait ça constamment, frustré la moitié du temps et donne des conseils! ;) Il se permet de dire la même chose du monsieur qui appelle, je l'aime le doc, mais la il l'a échappé haha !
Ô tempora, ô mores. Les temps ont changé, plus de respect, plus d'honneur, de respect de la parole donnée...C'est l'ouest sauvage. Il nous reste le grand Nord et l'Alaska, comme retraite contre ces temps maudits. 😢😢😢
1:05:42 Je déteste le ton à Josey, elle semble dans le jugement et condescendante avec le Doc. Ça s'est améliorer avec le temps, mais ici on le voit très bien...
J'ai rencontré une femme tellement stupide récemment, elle arrive 30 minutes en retard à notre date... prend son cell dès que ça sonne, agit comme une vraie ado, elle a plus de 50 ans pour vous dire. en 30 minutes, elle a répondu à son cell 2x, et appeller sa fille... pour ne rien dire avec elle. Elle dit c'est ma best friend... de 20 ans... wow ! J'ai dis bonne chance avec tes nombreux appels et ta BFF, t'es pas sérieuse et c'est un manque de respect ce que tu fais là à notre rencontre, CIAO BYE !! Était pas contente ;)