Je viens de voir partir ma sœur, crémation de mon compagnon hier, agressions verbales de ma mère depuis des années, electro sensibilité difficile en sensations et conséquences, insécurité financières, santé précaire, ...c'est ce qui est ! Ainsi que plus la foi 🌹💚🙏💚🌹
Toutes les 30 s ? Malheureusement la seule solution que j'ai trouvé pour moi-même et de m'abonner à RU-vid. Mais je n'ai aucun contrôle sur ces pubs. désolé pour ça...
@@danspeerschneider3840 oui ou toutes les minutes je n'ai pas calculé à la seconde mais la fréquence est frénétique. Qu'entendez vous "s'abonner à youtube" ?
Merci Dan pour tout ce vous nous donnez .Comment ne pas tomber dans le rien à foutrisme" de l’enfance et que devient la posture du soi dans l incarnation, quand on nous demande de sortir du ni ceci, ni cela ?
Tout l’art de la reconnaissance de qui nous sommes est de ne pas laisser les autres ni les pensées nous dicter qui nous sommes et ne reposer que sur soi-même, sur le Soi, pour réaliser qui l’on est vraiment … Vous êtes votre propre preuve. Il n’y a que Vous qui savez que vous êtes de façon directe et évidente. Venez au satsang dimanche soir à 20 h par zoom (no de réunion 830 899 8788) et on en parle … Amor Fati
Avoir conscience que l’on a conscience, que le mental est souvent confondu avec elle, qu’il est le fruit d’une domestication, d’accord, c’est un chemin de reprise de sa souveraineté mais le danger est de rester sur soi. Ce qui fait notre conscience c’est surtout notre rapport aux autres et à l’ensemble de l’humanité puisque nous savons désormais qu’il y a une humanité, un tout, un Un dont nous faisons parti et dont nous percevons qu’il est en souffrance. La conscience est dès lors malheureuse et pleure d’elle même quand elle prend le temps de se recentrer. Ce qui fera cesser la conscience malheureuse est le changement dans notre rapport social, dans le regard que nous renvoient les autres et donc soi même puisque nous existons de part notre nature sociale, qui fait le langage, l’intelligence de la compréhension au delà d’un simple animal et son instinct de survie. Tout est dans le rapport social, et nous vivons encore dans un rapport social -démocratique-capitaliste- d’exploitation et de domination qui fait la encore la conscience malheureuse. La conscience humaine est un devenir, elle vit une histoire logique du local vers l’universel, de la nature à la conscience de cette nature, de la peur à la souveraineté. C’est en prenant conscience du groupe et de sa crucialité par différence avec la société que nous allons trouver la clef. Les sociétés ne sont que des sociétés de la gestion d’un Avoir qui nous échappe, qui nous pousse à subir ou à choisir des maîtres. Ceux là nous font vivre quotidiennement dans un rapport maitre / esclave qui fait de nous des acteurs, des rôles à jouer en dehors de nos vrais besoins. Ce faisant nous perdons la connexion avec nos propres besoins, nous ne vivons que des expériences humaines factices pour répondre aux injonctions de cette production en société, ses calculs, ses intérêts supérieurs, appropriés par certains aux dépends d’autres. La démocratie est à ce titre la plus grande illusion de souveraineté. Elle nous fait consentir à l’esclavage en nous faisant croire à une parcelle infime, résiduelle de souveraineté par le vote et le libre salariat. Souveraineté qui s’amenuise de jours en jours au rythme des évolutions technologiques de la dictature de la marchandise omniprésente. Comprenons que nous sommes issus de communautés naturelles primitives de partage et d’entraide désintéressées. L’ignorance de notre universalité déclenchait en nous des peurs de l’autre qui firent nos désirs de sociétés dans le but de protéger nos productions et la couverture de nos besoins. Les injonctions sociales scindèrent notre conscience en nous faisant produire besoins et pensées pour répondre présent. C’est cette scission qui fit notre tristesse car nous perdîmes petit à petit la relation naturelle aux autres et a la nature. Les injonctions sociales firent le mental Etatique comme Religieux de la domestication aux besoins de la société et de ses maîtres. Cette domestication fut facilitée par le fétiche de la possession car en y répondant favorablement nous sommes rentrés dans une relation à l’autre non plus coopérative mais concurrentielle. La guerre des classes était née, elle dure depuis 8000 ans et a fait les tumultes de l’Histoire et de ceux de notre conscience. Ce faisant, ces tumultes ont fait les rencontres et le savoir de notre universalité. La grande leçon à tirer est que nous avons une nature à la fois communière qui veut que nous avons besoin d’une proximité nécessaire à l’expression de nos sens, mais aussi universelle qui veut que la planète et ses habitants soient notre terrain de jeu comme notre potager partagé. Tout rapport social d’exploitation, consentie ou pas rompit et rompra cet équilibre, cette communion, ce Un. Quand à l’objection sur la nature humaine qui voudrait qu’elle soit prédatrice par essence. La bonne compréhension veut que cette nature n’est pas figée dans le temps et qu’elle est fonction de la conscience en devenir CQFD. J’espère vous avoir apporté la joie qui peut parfois manquer à ceux qui font le chemin de la spiritualité et du travail sur la conscience.
Tout apparaît au sein de la Conscience que je suis, et donc il y'a Unité entre cette Conscience et tout ce qui apparaît au sein de cette Conscience. Du coup il n'y a plus de distance entre moi et tout ce que je perçois et donc on peut dire que tout est moi, tout est ma manifestation 😀 C'est prodigieux ! Merci !
Lorsque que l'on pose la question "qu'est ce qui est conscient ?" Et que le mental retourne à sa source, qu'il n'y a pas de réponse et que l'on demeure dans ce silence, c'est bien cela que Ramana Maharshi appelait "demeurer dans le Soi" ? Il répétait souvent cette phrase et je ne la comprenais pas à l'époque où je lisais ses livres😄
Oui … Et c’est pour cela que je pose souvent la question en deux temps : D’abord : qu’est-ce qui est conscient de mon expérience présente, des perceptions, des pensées, des sensations ? Puis : à la réponse fournie, si c’est par exemple « La Conscience » se demander : d’où vient la Conscience ? Et là, on reste naturellement à ne pas savoir. On apprend à demeurer avec le questionnement. Car on pressent que le mental qui apparaît toujours dans un cadre spatio-temporel ne peut répondre à ce qui est en deçà de l’espace temps … La non réponse est la réponse. Ensuite il s’agit d’explorer la nature de ce silence … Amor Fati
Faire confiance a la pensée, tu me dis de ne pas faire. Mais tu me dis.... de ne pas..... Le ne pas, me dit de lui,ou de toi, que tu l ecoute. Alors qui te suggere tes mots, qui te dit de faire ce live. Qui t induit sur cette prise de conscience, qui te donne l impression d etre sur un chemin d eveil.... Pourquoi se decortiqué, se regardé, alors que nous devons regardé a l exterieur, pour comprendre qui nous sommes, ou quu nous souhaitons refleté. La souffrance non accepté, est l inducteur a se regardé de l interieur, pour ne pas devoir se repproché les choses. On peu et on doit se repproché tout, pour l accepté, et vi re sans la peur de ne pas faire de mal. Car personne ne fair de mal a personne, cest simplement nous meme qui nous en faisons, a travers la croyance du mot amour, qui a la meme maniere de nous faire du mal, que le mot haine.car ce sont deux faces de la meme piece.
Les mots semblent nécessaires tant que le silence ne suffit pas. Tout ceci est un jeu que la Conscience mène en Elle-même pour Elle-même et par Elle-même. C’est la Conscience qui parle à la Conscience. Avec ou sans mots. Ainsi mots ou pas, qu’importe la bouteille lorsque la Conscience joue à s’émerveiller de l’ivresse des retrouvailles avec Elle-même, après avoir joie à l’oubli d’Elle-meme pour éprouver la dramaturgie de l’apparente perte. Au final tout se dissout comme un rêve et il y a un immense sourire de reconnaissance et de gratitude … Que celui qui a des oreilles entende … Amor Fati
C'est très joli ce petit short 😁de qualité intense comme un peu un haïku 😊 alors même si cela m'offre méditation car entre anthropomorphisme ridicule et anthroposophisme arrogant ce peut être un milieu intéressant bien que je crois en 3 types de conscience en fait ... Mais merci🙏vous êtes agréable à entendre !
Excellent ! Un partage qui invite vraiment au discernement. L ' I A pourra toujours faire de la syntaxe et de la rythmique, son fruit sera cependant stérile. La conscience ne pourra s' y reconnaître à travers la contemplation. vivante. Étant à l'origine de tout y compris de cette vaste blague, elle pousse le pourtant la reconnaissance jusque dans cette extrémité 🌬️??
Passionnant … En effet … La chanson jazzy avec le texte issu de “Je suis” de Nisargadatta Maharaj, créé en quelques dizaines de secondes m’a vraiment surpris … J’ai hâte de voir ton interview… À bientôt Amor Fati
Ce qui veut se souligner derrière ces badinages, c’est que seule la conscience est consciente. L’humour, toujours avec un grand A est un antidote efficace au sérieux du mental …
Tu fait une petite erreur. Le type de souffrance que tu pointe n'est pas causer par le faite de croire être une personne, mais de croire être seulement une personne. La personnalité est, comme tout, une expression parfaite de dieu. Mais vécu seul, sans les autre attributs de notre etre, plonge l'homme dans un état d'ignorance profond qui crée cette souffrance dont tu parle. N'oublie pas que beaucoup sont venu ici pour joué a s'oublier. Certain s'y sont pièger :) N'oublie pas aussi que beaucoup sont ici pour jouer au cycle oubli / rapel ;) Au fond, il n'y as que dieu, ce fractalisant en une infinité de forme et de prisme de perception, dont l'homme et sont panel d'expérience. Qu'es que l'homme et sont panel déjà tres large de possibilité dans l'infini ? Si ce n'est qu'une parfaite note de la music divine... ❤️
Merci pour ton retour … Mais la croyance d’être une personne, l’identification à ce que tu n’es pas, que ce soit 1% ou 100% du temps est au moment où c’est cru de toute façon une identification exclusive. Tu ne peux pas dans l’instant à la fois croire que le serpent est réel et que la corde l’est. C’est soit l’un soit l’autre. Et est à tout moment une erreur identitaire qui lorsqu’elle a lieu cause de la souffrance… Tu peux en tout temps savoir que tu n’es pas une entité séparée et néanmoins laisser le corps mental se déployer avec légèreté, élégance, créativité, générosité, compassion… Moins tu te prends pour une personne séparée et plus justement l’organisme corps mental s’exprime avec justesse et beauté dans le monde dont il ne se sent plus séparée … Amor Fati ❤🙏🏻
Les commentaires sont là pour pointer vers le au-delà de la pensée … Ils peuvent dans le meilleur des cas ôter comme une écharde peut ôter une autre écharde, les commentaires déjà présents en vous et qui sans que vous vous en rendiez compte semblent empêcher cette reconnaissance…
