Beau temps, bien été pas déchiré le fuseau... zéte des bon ouf les gars ça parait facile toujours entrain de vous marrer..bravo et merci pour le partage.
Bonjour Jean Yves, Charles et Yann Je vous félicite pour cette belle tournée. Merci beaucoup pour le merveilleux film. Je vous souhaite de bonnes visites. Avec les meilleures salutations Raphael Wellig
Bonjour j'ai pu découvrir votre film blutch lors de montagne en scene. J ai beaucoup apprécié. Merci pour ce beau moment de partage je pense que c'était le film le plus touchant. Magnifique aventure et paysages, des rencontres humaines. Vraiment bravo 👏 😊
je te suis depuis un moment pas de doute pour moi tu est un grand aventurier...et en plus sympa... pourrais tu nous jouer un air de violon ...tu nous as tellement fais rêver avec ce violon..l'altitude est aussi dans ce violon...bisous=)
Pfff !!! Ces mecs ont "skié dans le Linceul", puis tiré des rappels pour descendre, ce qui est déjà une folie, mais ils n'ont pas descendu le Linceul à skis. Ceux qui ne connaissent pas les Grandes Jorasses peuvent se faire avoir mais il faut savoir que les pentes des 400m du bas sont toujours en glace et d'une telle raideur (60° et plus) que même si la neige tenait et était skiable ce ne serait pas skiable. 60° cela ne parle pas aux non-alpinistes. C'était la limite absolue à l'époque où il fallait tailler des marches parce que le genou cognait la glace avant que le crampon ne se posât sur la marche, bref il fallait déjà se déporter en arrière... et avec les piolets de l'époque (avant 1970) c'était un coup à se casser la gueule. Bref ces pentes se faisaient en artif. Maintenant, il y a des piolets spécialement pensés pour les cascades de glace et les ascensions en glace sont devenues quasiment faciles, c'est l'entraînement des mollets qui fait la différence. Les alpinistes actuels peuvent grimper avec les skis sur le dos, c'était impensable avant. Les grandes faces nord comme l'Eiger ou le Cervin se font maintenant en hiver, quand il n'y a pas de chutes de pierres, et souvent en solo ou avec la vidéo pour impressionner les mathieux. On ne touche plus le rocher, on utilise seulement la glace, c'est devenu une escalade artificielle quasiment "à vaches" et je me demande si les alpinistes actuels ont encore du respect pour les montagnes qu'ils gravissent. Ce n'est pas pour autant que j'irai faire l'Eiger ou refaire le Triolet par le Conta-Lachenal, comme en 1972... avec la technique et le matériel de l'époque.
Oh, Maman, regarde, c'est un tradi ! Le progrès a du bon et c'est bien dommage que tu critiques des avancées technologiques qui permettent à ce sport de se développer vers des limites qu'il ne pouvait espérer auparavant
La réflexion de Martin oursel est assez révélatrice de cet état d'esprit qui consiste à compenser la limite des possibilités humaines par la débauche d'outils qui font les beaux jours de l'alpinisme sans scrupules et des concepteurs/equipementiers. La recherche du "toujours plus sensationnel" pour figurer en première de couverture dans des entreprises irréalisables sans le dry tooling (pour ne citer que cette gymnastique) semble la première motivation d'une catégorie d'individus qui se soucient davantage de leur médiatisation. On a les satisfactions que l'on mérite ! Quant à cette descente du linceul....tout ce qui est exceptionnel n'est pas forcément admirable.
Quand la réalité colle à la métaphore : c'est "l'ascenseur émotionnel". tu vends du rêve ! Merci pour cette chouette prise de hauteur c'est merveilleux...☆☆☆
