« Nouveaux visages » de la dépendance 

Je suis travailleur social et il y a beaucoup de vrai dans vos propos. Le fait de consommer cause le fait de se retrouver à la rue, pas l'inverse. Au contraire, des gens, lorsqu'ils se retrouvent dans la rue, peuvent avoir un certain électro-choc et peuvent être motivé à se reprendre en main pour sortir de la rue, ce qui inclue souvent cesser la consommation. Il est aussi étrange que les organismes communautaires critiquent des résidents qui ne veulent pas endurer certain comportement, mais ces mêmes organismes refusent d'héberger ce type d'individu, notamment en raison de leur consommation ou leur problème de comportement.

​@@contrelesprogrammesnon-con4824 Merci pour votre commentaire. Existe-t-il des statistiques sur le pourcentage des gens qui fréquente les refuges qui réusissent à se reprendre en main? Selon vous quel serais la meilleur approche? J'ai remarqué que la grande majorité des itinérants sont très respectueux et ne cause aucun problème mais qu'une 20e de cas problèmatique semble être responsable de 95% des confrontations dérangeantes (vandalisme, crise, psychose, consommation en publique, mauvaise influance sur les autres) avec les résidents. Quel serait selon vous une approche qui a fait ses preuves qui pourrait minimiser l'impact de cette minorité qui dérange bcp.

@@gabz91110 Au niveau des études, je n'en ai pas en particulier. Il serait intéressant de votre côté de voir si vous pouvez obtenir les rapports d'activités ou rapport annuels des principaux organismes d'itinérances, qui permettraient possiblement d'indiquer ce type d'info. Certains sont peut-être disponible sur leur site internet. Pour la deuxième question, ma réponse sera probablement différente de beaucoup d'intervenants, mais il set possible qu'un certain nombre devrait tout simplement se retrouver en prison. Il y a 6 fois plus de personnes déclarés non-responsable criminnellement au Québec que dans le reste du Canada et cela fait peut-être partie du problème. Je me demande si parfois les institutions carcérales sont plus efficaces que les institutions psychiatrique, car comme le confort est moindre, il pousse des individus a être plus tranquille lors de la sortie afin de ne pas y retourner.

Je crois qu'il faisait plutôt un lien de cause à effet par rapport que les nouvelles drogues sont de la scrap. Les consommateurs sont de plus en plus maganés. C'est sûr le monde ne les veulent pas sur leurs perrons. Ils sont bien trop imprévisibles avec ce qu'ils prennent comme drogues

Mario Gagnon ne s'offusque pas que les residents refusent de les laissez dormer sur leur perron: il FAIT UNE OBERVATION d' une situation. Il dit que les drogues de 2024 ainsi que la complexite de leur etat/ situation donnent le resultat qu'on voit maintenant partout dans les grande villes Amerique du Nord et d'Europe. M.Gagnon a fait plus que quiconque et a sauve des milliers de vies, aider a redonner a ces personnes un endroit ou vivre, dormer, travailler, être soigne et retrouve sa dignite. Et il dit aussi que maintenant le tissus social s' est tellement degrade que des gens qui il y a quelques annees, auraient reçu l' aide pertinentes don't ils avaient besoin BIEN AVANT d' être rendu a prendre des drogues et/ ou vivre dans la rue...ne sont plus aide. Les citoyens ont le droitde pouvoir se promener en paix et de façon securitaire dans leur ville et d' y laisser jouer leurs enfants .....mais rapeller vous que ces itinerant et toxicomanes qui hurlent, font pour aux gens, et font des overdoses sur votre trottour sont TOUS ET TOUTES: l' enfant de quelqu'un. Son frère, sa soeur, son amoureux, sa mere. Et que ni le gouvernement, et une grande partie de la population n' offrent que peu ou pas d' aide. Et se ne preoccupe pas de leur situation. Sans doute qu' a force de laisser la situation se degrader, certains esperent-ils que cette situation disparaisse et cesse de gather le oaysage avec leur soyffrance et leur salete. C.Perron, ex toxico, militants et avant travailler a l' amelioration de la condition des personnes qui consomment des drogues depuis plus de 23 ans.