Ce qui m’intéresse ce sont les paroles d’Epicure et les analyses qui en Sont faites alors,par pitié , ne passez pas un bruit « musical » qui couvre les voix
La musique (?) qui accompagne cette excellente émission n'est ni naturelle ni nécessaire. Elle illustrerait à son bruitage défendant la vérité épicurienne de la simplicité ! Maintenant, si l'on fait abstraction de ce qu'elle est censée illustrer, elle n'est pas sans charme. Elle aurait même, tout bien considéré, un côté atomistique : ce sont des sons épars qui se rencontrent et font entendre des combinaisons hasardeuses, peu durables (tant mieux : on n'y survivrait pas), qui sont de l'être fragile, fugace donc, se noyant dans l'infini.
Pas de tabous, pas de religions, Épicurien par nature, loin de la foule, atomiste, fondateur d’école et enseignant populaire. Jouir plutôt que d’attendre pour atteindre un but. La nature éternelle et harmonieuse devient le destin sage des hommes : la providence naturelle, l’ataraxie ! Jouir ne se diffère pas, on se laisse prendre au piège car les conséquences sont parfois difficiles. De la nature, de Dieu comme expérience de la jouissance. La limite du désir est la recherche de l’ataraxie.
Tr'es intéressant. Maintenant, 24 images par seconde permettent de percevoir le mouvement. On n'a pas besoin de 24 images par seconde pour voir un objet fixe, une seule suffit.
![ÉPICURE (vers 342-270 av. J.-C.) ou la fin du désir - Une Vie, une œuvre [1990]](/img/logo.svg){kind=logo}
