bjr monsieur kayembe je suis abonne sur votre emission et je vous suis depuis l iran et juste vs dire que vs etes tres professionnel dans vos emissions, j allais juste dire que le seul probleme avec nos politiques dans notre pays ce qu ils ne sont pas psitifs et pragmatiques, ils font trop du bruit dans des medias sans apporter des solutions pour le bein etre de notre pays, les opposants du hier deveinnent les ennemis des opposants d aujourd hui et la politique qui divise basee sur la haine tribale et personnelle comment allons-nous gagner la guerre dans avec ces genres d homme politique? avec ces genres d attitudes nous allons un jour perdre nos terres dans l Est du pays ,nos politiques sont trop distraits et inconscients
AVEC CE RÉGIME DE TSHILOMBO...LES BATETELA PAYENT UN LOURD TRIBUT :LE JUGE YAGNI,CHERIBIN OKENDE...TATIANA OSANGO, FRANK DIONGO, JEAN JACQUES WONDO, PATRICK LOKALA ETC...ALLEZ-Y COMPRENDRE !!!OTETELA KEMA FUMBÉ !
Il n'y a aucune place pour la violence d'où qu'elle vienne. Mais je pense que tout le monde (journaliste, agent de justice, policier, militaire, société civile et même le prélat) doit être discipliné. On ne doit pas tout se permettre au nom de la démocratie.
Vraiment l' UDPS me decoit beaucoup. On ne comprend plus rien avec ce qui se passe dans ce pays la. Aussi, que constant Mutamba fasse attention: Patrick lokala est "son communicateur" , le choix de l' arreter apres la publication faite par le ministre sur le non arrestation des journalistes n' est pas annodin. Je pense qu' il y a un complot ourdi contre ce ministre, ba simbisa ye touche...Helas.
Patrick Lokala subit aujourd'hui les conséquences de ses actions, notamment ses propos diffamatoires à l'encontre de Christian Lusakueno. En ce sens, son arrestation peut être justifiée. Cependant, je déplore les méthodes employées par les forces de l'ordre lors de son interpellation. Ces pratiques ne correspondent pas aux principes de l'état de droit défendus par le Magistrat Suprême Félix Tshisekedi. Le Magistrat Suprême a fait de la justice et du respect des droits fondamentaux une priorité, et c’est pourquoi il a chargé son dauphin, le ministre de la justice Constant Mutamba, de veiller à ce que les policiers impliqués répondent de leurs actes. Il est important de souligner que ces policiers ne sont pas membres de l’UDPS, ce qui montre une volonté d’impartialité dans le traitement de cette affaire. Dans un état de droit, même les procédures judiciaires doivent respecter les principes de justice et de dignité, et l’utilisation de méthodes coercitives doit être encadrée pour ne pas entacher l’image de l’appareil judiciaire.
@@RoiDeZamunda c' est vrai, je crois que Patrick a un soucis de maturite et de temperaments...je trouve, cependant dans un pays comme la RDC il doit faire attention a ou il met ses pieds. Je crois que ses detracteurs ont profite de cette faiblesse pour atteindre Mutamba. Je penses qu' apres tout ca , Constant doit s_ eloigner de lui. Il est tres brouillant.
Quel pays est l'allié du Congo ? Le Burundi peut-être ?La Tanzanie peut-être ? Mais avant d'aller rechercher la France, en afrique qui supporte la R.D.C. ?
Parce que l'Etat est incapable d'améliorer ses Areoports il revient a un Individu...( en plus Un policier,qui demain pourra devenir le chef d'Etat,,,) de faire cela sans aucune Autorisation des Autorités ????
Le Congo ne peut pas avoir de place dans les droits de l'homme ! Vous journalistes congolais, vous juristes congolais, vous magistrats congolais, vous représentants des droits de l'homme au Congo, vous peuple Congolais comment acceptez vous que l'on puisse juger des personnes enlevé ou pour lesquels on ne respecte pas la procédure ad-hoc ! Mr LOKALA ne devrait pas être jugé mais libéré ! De même pour Mr MUKEBAYE ! Et d'autres encore !
Gérard AKÉ LOBA fût un écrivain ivoirien. Son oeuvre dont vous parlez s'appelle "Kocoumbo l'Etudiant Noir", sortie en 1960 aux éditions Flammarion, Paris.
Monsieur le journaliste je viens de vous entendre dire que Charle Onana a inventé certains choses… quel sont vos sources qu’il a inventé certains choses qu’il a écrit sur le Rwanda?
Sous le régime de Joseph Kabila, les policiers impliqués dans des infractions ou des crimes échappaient souvent à la justice, ce qui alimentait un sentiment d’impunité au sein des forces de l'ordre. En revanche, sous le mandat de Félix Tshisekedi, la situation a changé, avec un effort manifeste pour instaurer un état de droit plus rigoureux et transparent. L'exemple de l'arrestation de Patrick Lokala et la poursuite des policiers qui ont agi de manière inappropriée témoignent de cette volonté de changement. Le Magistrat Suprême Félix Tshisekedi et son dauphin , le Ministre de la Justice Constant Mutamba, ont montré qu'aucune entorse aux règles ne serait tolérée, même au sein des forces de sécurité. Cette démarche reflète une rupture avec le passé, où les abus commis par des agents de l'État restaient souvent impunis. En mettant en place des mécanismes pour que les policiers répondent de leurs actes, le régime actuel cherche à instaurer une justice plus équitable et à renforcer la confiance des citoyens dans les institutions publiques. Cela montre que la vision de Tshisekedi pour la RDC repose sur la responsabilisation de tous, y compris les membres des forces de l'ordre, ce qui marque une différence notable par rapport à ses prédécesseurs.
Erick tu doit savoir que , en diplomatie entre les Etats il ya pas des état d'âme, il Ya que des intérêts, la France est un état souverain comme les Congo, que ce qui manque a Thsilombo de protéger nos frontières ? L'énergie qu'ils déploie pour voler et arrêter des simple citoyen pourquoi ne pas l'utiliser pour défendre le Congo. Arrêter avec les analyses qui ne cadre pas avec la réalité actuelle
Sous le régime de Joseph Kabila, les policiers impliqués dans des infractions ou des crimes échappaient souvent à la justice, ce qui alimentait un sentiment d’impunité au sein des forces de l'ordre. En revanche, sous le mandat de Félix Tshisekedi, la situation a changé, avec un effort manifeste pour instaurer un état de droit plus rigoureux et transparent. L'exemple de l'arrestation de Patrick Lokala et la poursuite des policiers qui ont agi de manière inappropriée témoignent de cette volonté de changement. Le Magistrat Suprême Félix Tshisekedi et son dauphin , le Ministre de la Justice Constant Mutamba, ont montré qu'aucune entorse aux règles ne serait tolérée, même au sein des forces de sécurité. Cette démarche reflète une rupture avec le passé, où les abus commis par des agents de l'État restaient souvent impunis. En mettant en place des mécanismes pour que les policiers répondent de leurs actes, le régime actuel cherche à instaurer une justice plus équitable et à renforcer la confiance des citoyens dans les institutions publiques. Cela montre que la vision de Tshisekedi pour la RDC repose sur la responsabilisation de tous, y compris les membres des forces de l'ordre, ce qui marque une différence notable par rapport à ses prédécesseurs.
@@MurphyLokubu Patrick Lokala subit aujourd'hui les conséquences de ses actions, notamment ses propos diffamatoires à l'encontre de Christian Lusakueno. En ce sens, son arrestation peut être justifiée. Cependant, je déplore les méthodes employées par les forces de l'ordre lors de son interpellation. Ces pratiques ne correspondent pas aux principes de l'état de droit défendus par le Magistrat Suprême Félix Tshisekedi. Le Magistrat Suprême a fait de la justice et du respect des droits fondamentaux une priorité, et c’est pourquoi il a chargé son dauphin, le ministre de la justice Constant Mutamba, de veiller à ce que les policiers impliqués répondent de leurs actes. Il est important de souligner que ces policiers ne sont pas membres de l’UDPS, ce qui montre une volonté d’impartialité dans le traitement de cette affaire. Dans un état de droit, même les procédures judiciaires doivent respecter les principes de justice et de dignité, et l’utilisation de méthodes coercitives doit être encadrée pour ne pas entacher l’image de l’appareil judiciaire.
Patrick Lokala subit aujourd'hui les conséquences de ses actions, notamment ses propos diffamatoires à l'encontre de Christian Lusakueno. En ce sens, son arrestation peut être justifiée. Cependant, je déplore les méthodes employées par les forces de l'ordre lors de son interpellation. Ces pratiques ne correspondent pas aux principes de l'état de droit défendus par le Magistrat Suprême Félix Tshisekedi. Le Magistrat Suprême a fait de la justice et du respect des droits fondamentaux une priorité, et c’est pourquoi il a chargé son dauphin, le ministre de la justice Constant Mutamba, de veiller à ce que les policiers impliqués répondent de leurs actes. Il est important de souligner que ces policiers ne sont pas membres de l’UDPS, ce qui montre une volonté d’impartialité dans le traitement de cette affaire. Dans un état de droit, même les procédures judiciaires doivent respecter les principes de justice et de dignité, et l’utilisation de méthodes coercitives doit être encadrée pour ne pas entacher l’image de l’appareil judiciaire.
Patrick Lokala devrait apprendre à éduquer sa bouche. Je suis d'accord qu'il soit arrêté mais je désapprouve les méthodes utilisées sur son arrestation
Ta reponse ne nous etonne pas car ton nom dit tout ,muluba appuyant tshilombo, zoba zoba. Sauf si tu tires profit dans ce regime dans le cas contraire ozo souffrir kk lokola biso .Mawa na bino.
@@adaociconda8763 Sous le régime de Joseph Kabila, les policiers impliqués dans des infractions ou des crimes échappaient souvent à la justice, ce qui alimentait un sentiment d’impunité au sein des forces de l'ordre. En revanche, sous le mandat de Félix Tshisekedi, la situation a changé, avec un effort manifeste pour instaurer un état de droit plus rigoureux et transparent. L'exemple de l'arrestation de Patrick Lokala et la poursuite des policiers qui ont agi de manière inappropriée témoignent de cette volonté de changement. Le Magistrat Suprême Félix Tshisekedi et son dauphin , le Ministre de la Justice Constant Mutamba, ont montré qu'aucune entorse aux règles ne serait tolérée, même au sein des forces de sécurité. Cette démarche reflète une rupture avec le passé, où les abus commis par des agents de l'État restaient souvent impunis. En mettant en place des mécanismes pour que les policiers répondent de leurs actes, le régime actuel cherche à instaurer une justice plus équitable et à renforcer la confiance des citoyens dans les institutions publiques. Cela montre que la vision de Tshisekedi pour la RDC repose sur la responsabilisation de tous, y compris les membres des forces de l'ordre, ce qui marque une différence notable par rapport à ses prédécesseurs.
@@adaociconda8763 Patrick Lokala subit aujourd'hui les conséquences de ses actions, notamment ses propos diffamatoires à l'encontre de Christian Lusakueno. En ce sens, son arrestation peut être justifiée. Cependant, je déplore les méthodes employées par les forces de l'ordre lors de son interpellation. Ces pratiques ne correspondent pas aux principes de l'état de droit défendus par le Magistrat Suprême Félix Tshisekedi. Le Magistrat Suprême a fait de la justice et du respect des droits fondamentaux une priorité, et c’est pourquoi il a chargé son dauphin, le ministre de la justice Constant Mutamba, de veiller à ce que les policiers impliqués répondent de leurs actes. Il est important de souligner que ces policiers ne sont pas membres de l’UDPS, ce qui montre une volonté d’impartialité dans le traitement de cette affaire. Dans un état de droit, même les procédures judiciaires doivent respecter les principes de justice et de dignité, et l’utilisation de méthodes coercitives doit être encadrée pour ne pas entacher l’image de l’appareil judiciaire.
@@juslombahe9292 Sous le régime de Joseph Kabila, les policiers impliqués dans des infractions ou des crimes échappaient souvent à la justice, ce qui alimentait un sentiment d’impunité au sein des forces de l'ordre. En revanche, sous le mandat de Félix Tshisekedi, la situation a changé, avec un effort manifeste pour instaurer un état de droit plus rigoureux et transparent. L'exemple de l'arrestation de Patrick Lokala et la poursuite des policiers qui ont agi de manière inappropriée témoignent de cette volonté de changement. Le Magistrat Suprême Félix Tshisekedi et son dauphin , le Ministre de la Justice Constant Mutamba, ont montré qu'aucune entorse aux règles ne serait tolérée, même au sein des forces de sécurité. Cette démarche reflète une rupture avec le passé, où les abus commis par des agents de l'État restaient souvent impunis. En mettant en place des mécanismes pour que les policiers répondent de leurs actes, le régime actuel cherche à instaurer une justice plus équitable et à renforcer la confiance des citoyens dans les institutions publiques. Cela montre que la vision de Tshisekedi pour la RDC repose sur la responsabilisation de tous, y compris les membres des forces de l'ordre, ce qui marque une différence notable par rapport à ses prédécesseurs.
@@patriciamasamuma985curieusement ça fait plus de 20 ans que le monde entier attend connaître le nom et voir les vidéos de son village natal au Rwanda. C'est toujours lui qui vous empêche de mettre toutes ces preuves sur la place publique ? Apparemment JKK est la seule personne sur la terre dont le village natal demeure INCONNU en plein 21e siècle et avec l'évolution de la technologie. Nous savons tous que le mensonge qualifié de KADIOSHA, la diabolisation, la manipulation et le montage grossier sont la seconde nature de TRICHEKEDI et son régime despotique, tyrannique, homosexuel et criminel.
@@patriciamasamuma98518 ans durant, JKK n'a JAMAIS : signé des accords commerciaux avec le Rwanda, offert le raffinage de notre or et la SAKIMA au Rwanda, envoyé son conseiller privé échanger nos minerais avec le carnet d'adresses de KAGAME, appelé KAGAME son frère et partenaire privilégié, allé danser au Rwanda avec son épouse. Rwandair n'a jamais eu à installer son QG à GOMA et les militants du PPRD n'ont JAMAIS scandés : YO NANI, OBOYA KAGAME au stade des Martyrs.