Les bérets rouges qui ont fait irruption au stade du 28 Septembre 2009, étaient les hommes de Tiegboro Camara et Marcel Guillavogui ou encore Claude Pivi.
Effectivement!!! Les responsables du massacre étaient pivi, Marcel, tiegboro. Toumba est clair et j'aime bcp l'écouter car c'est le seul parmi tous ces accusés qui dit vrai.
Selon moi le parquet et les avocats auraient dû faire comparaître le personnel médical en service ce jour à la clinique Ambroise Paré pour levé l'équivoque car bah Oury et lousseini fall ne sont pas sur la même longueur d'onde
Ĺe complot contre dadis est trop flagrant comment un president de la republique peut mettre au arret un militaire et que son garde de corp part le libere touba ne dit pas pas la verite
Makambo a mentir que c’est le président qui lui ai dis d’arrêter mais toumba savait qu’il ment à cause de leur infiltration à la présidence donc c’est normale que toumbarek ne le crois pas . Tout les Officier vont créer leur désordre en arrêtant des innocents sans avisé le président et après , daddys valide seulement. C’est le désordre et commandant toumba a compris donc il agissait aussi pour sauver les innocents accusé à tort . Comprenez bien les réalités avant de parler svp .
Comment peux t on laisser un accusé parler comme ci c’est lui la victime ! Sérieusement ! Est ce que il sait que pour attentive d’ assassinat sur un président il est coupable et doit faire la prison selon leurs lois de la Guinée !!!
il faut savoir les circonstances qui ont conduit à l'incident. On ne prend une face de la cola pour faire le sacrifice plutôt les 2 faces . Attends de voir toutes les versions et tu pourras faire ton jugement sinon l'article 21 du code pénal guinéen lui attribue la légitime défense. De plus ,il est à la barre comme les accusés .
L'accusé avait bel et bien le droit de légitime défense selon nos textes de loi en Guinée Conakry. C'est le président et tout un groupe qui sont venu lui chercher et le encercler avec des armes engagée et Dadis se permet de lui frapper à la tête. Dans quel pays au monde le président se permet lui même d'arrêter une personne et lui violenté.