Excellent. La voix est belle et les trois personnages (+ le récitant) sont bien caractérisés et fort expressifs. Le père qui ne voit rien, ne comprend rien, ne croit pas son enfant. Le fils terrifié qui appelle son père à l'aide, mais en vain. Le Roi des Aulnes, pervers et manipulateur, libidineux et violent. Eh oui, lorsque les adultes refusent de voir le prédateur ou bien comprennent trop tard, l'enfant meurt ! J'ai toujours pensé que ce poème de Goethe racontait le viol d'un enfant. Je crois que Schubert le pensait aussi pour avoir écrit une musique si génialement terrorisante. Question : le roi et le père ne sont-ils pas la même personne ? Bravo aussi au pianiste !
@@daniellarue1673 most lieder “tell” stories. The difference here is that the singer has to give life to different characters, which is not very common. It’s not a matter of being right or wrong. I’m just giving my opinion
@@fernandoleitao4469 I would argue that many of Schubert's works lend themselves toward a specific emotion rather than an actual story with dialogue like Erlkonig. Still, you're correct that there really isn't a right or wrong. My bad.
