4 approches différentes du WORLDBUILDING ! 

Salut ! Naetherion, j'aime beaucoup tes vidéos mais là, je dois t'avouer que c'est probablement ta meilleure : celle qui est la plus inspirante, pour moi en tous cas. Tu as encore fait un travail de fou ! Merci pour ça mec !

16:15 ce genre de sournoiserie, c'est juste génial quand tu es joueur ! Cela apporte de la surprise et prouve que tes idées ont été prises en compte...

Incroyable cette vidéo par contre, le world building coopératif ça peut paraitre évident pour certains mais juste en parler et comment tu l'as décris c'est vraiment fou pour moi. Grosse vidéo vraiment sympa gg

Cette vidéo tombe très bien, moi qui souhaite enfin m'essayer à la fantasy à l'écrit (enfin, à la fois littéraire et jv, donc à voir comment adapter tout ça) 😊 Merci pour ton taf, toujours aussi qualitatif (ps: t'es le meilleur

Bonjour ! tout d’abord, bravo pour le format, la forme et le travail de la vidéo. Ca fait plaisir de voir des gens intéressés par ces sujets, et la longueur de mon commentaire prouve (je l’espère) à quel point son but est constructif. Ceci est donc une critique (au sens littéral) de la vidéo mais gardons bien sûr toujours en tête que je respecte beaucoup ton travail et qu’aucune mauvaise intention ne se tapis derrière ces lignes. On est entre rôliste, alors laissons l’animosité et la virulence au monde qui n’est pas le nôtre ! Pour me donner un peu de crédit, voici l’instant CV : j’ai créé 3 jdr, fait jouer plus de 200 personnes sur ces trois jeux, je compte plus de 3000h de Mj et j’ai fait des séances de 2 (1mj 1joueur) à 18 personnes. J’ai organisé 5 GN et participé à des dizaines. Je suis aussi écrivain, poète, psychologue et philosophe amateur. Mais je ne suis malheureusement pas champion d’orthographe, alors d’avance, mea culpa… Points positifs : - Je suis tout à fait d’accord avec toi sur la relation MJ/joueur. On vit dans une société, un système, où l’autorité est faussement convaincue qu’elle ne peut pas faire confiance à ces « vassaux » ; hors le Mj doit se reposer sur les idées, initiatives, proposition conscientes ET inconscientes des joueurs. Combien de fois l’idée de l’origine d’une scène épique ou d’un arc de scénario ingénieux m’est venu de ce que m’a renvoyé un joueur ! En ce sens le Mj se doit d’être le vecteur, le miroir et le gardien de la personnalité de ses joueurs (c’est à mon sens la raison pour laquelle le jdr a des vertues psychanalytiques car les bon MJ agissent comme des psychanalystes compétents : ils mettent un miroir devant la personnalité et l’inconscient des participants et, en plus d’être le réceptacle des pulsions canalisés dans le jeu, poussent le joueur dans la compréhension de ses actions et de sa personnalité à travers le jeu. En psychologie, ça s’appelle le « psychodrame ») (ça me rappel un épisode de « IT crowd » où le personnage se sert du jdr pour dire adieu à la femme qui l’a plaqué ; j’ai déjà eu affaire de TRES nombreuses fois à des situations de ce genre où les joueurs se servent de ce terrain d’expression pour faire ressurgir des mécanismes inconscients ou conscients). Faire confiance à ses joueurs, être présent en tant que guide est non que maître autoritaire est, à mon sens encore une fois, la première valeur dont doit faire preuve un bon MJ. L’empathie est à la base du JDR, si un MJ veut contrôler toute sa trame et son univers, il ferait mieux d’écrire des livres ou réaliser des films. Je ne sais pas quels très mauvais MJ tu as rencontrés mais ce concept me semble un des fondements absolus du JDR ! - L’allégorie du tombeau de Balin : je ne sais pas si elle est de toi ou d’un autre, mais elle est très pertinente et je ne l’avais jamais entendue ! wp si elle est de toi, wp de l’avoir mise dans la vidéo sinon. Ce mécanisme que je saurais maintenant nommer grâce à toi donne beaucoup de relief à la crédibilité d’un monde, aux backgrounds des personnages, etc. Ca existe beaucoup en GN (JDR Gandeur Nature). - C’est bien de différencier ces trois domaines de world bulding (WB) et de tenter de clarifier les choses. C’est un sujet très, très complexe et c’est une bonne chose que des vidéos comme celle-ci existent. - Dans le Game design, l’univers est plus en retrait car l’expérience du joueur et le gameplay est mis en avant ; cela s’explique par une volonté différente du concept : le worldbulding est souvent en toile de fond pour faire ressortir l’immersion et la jouabilité. Par exemple, super smash bros melee, mario kart, soulcalibur sont d’excellents jeux sans grand worldbuilding. - « ne vous mettez pas la pression sur 10 000 histoires à exploiter » : tout à fait ! laissez l’aventure suivre son cours. Etre MJ, c’est comme un capitaine de bateau : vous ne contrôlez pas le courant ou le vent, vous pouvez seulement mettre un coup de barre vers le cap que vous visez de temps en temps, et si la tempête vous envoi dans la direction opposé, soit ! improvisez, adaptez vous, le bateau finira par faire un grand tour et arriver à l’objectif. Ou pas ! quel est le problème ? si les joueurs ne suivent pas votre trame principale, peut-être qu’elle n’est pas assez intéressante, ou que votre univers ou vos quêtes secondaires le sont plus ! au final, ca sera une grande aventure quand même  - « Un MJ peut faire évoluer son univers » : OUI OUI et RE OUI. C’est paradoxal avec ce que je vais dire plus bas, qu’un monde doit être créé avant le début du jeu (j’y reviendrais), mais lors du jeu, tout doit être adaptable. Sortez le nez de vos bouquins, de vos scénario pré-établis et, je vous en supplie, ne dites ou ne pensez jamais « ah non tu peux pas faire ça, c’est pas prévu. » (ou les « ta gueule c’est magique » ahah). Si le joueur fait des choix qui vous frustrent par rapport à ce que vous désirez lui apporter ou vers ce que vous voulez l’amener, c’est votre frustration et en AUCUN CAS elle ne doit ressurgir sur votre comportement en tant que MJ ou sur la partie. Au contraire ! encouragez la pensée créative, elle est contagieuse ! par rapport à ce que je disais plus haut, construisez sur la pensée et la prise d’initiative de vos joueurs, ils sont des êtres humains créatifs comme vous. Profitez de cette matière brute pour remettre en question votre trame et vos objectifs en tant qu’MJ. Par contre, évitez tout de même les modifications des règles de votre univers (sauf si elles sont chancelantes) : à vous d’imaginer, en suivant les règles établies de l’univers dans lequel vos joueurs évoluent à quoi ces nouvelles initiatives peuvent aboutir et continuez de valoriser les bons choix et « punir » les mauvais, dans le cadre du jeu (quand je dis punir, c’est amener à la suite de causalité une action, quelle qu’elle soit. Par exemple, si vous faite à un guerrier une description d’une armée vigoureuse d’orcs en armure de plate, affamés et dangereux se ruant sur lui et qu’il fonce seul dans le tas sans équipement ni talents particuliers, il est logique qu’il se fasse casser la figure). - « Toujours avoir un coup d’avance » : c’est l’une des choses les plus difficiles à faire en tant qu’MJ, mais c’est en effet primordial. Vous avez l’avantage du terrain : les joueurs progressent dans votre univers, ce qui vous aide à moduler l’avenir, et eux ont comme avantage leur prise d’initiative et la surprise. Au pire, si vous êtes déstabilisés, faites une courte pause pour mentaliser votre monde autour de ces nouveaux choix, les joueurs pourront boire un coup et votre séance n’en sera que meilleure par la suite. - « Adapter et improviser » : juste la base. Mais toujours utile a rappeler ! - La méthode grapes : perso, je la trouve très laborieuse mais elle est en effet efficace. Personnellement, je suis de ceux qui aiment imaginer puis mentaliser du tout au tout avant et sur le moment, mais ça a ses failles. Là pour le coup, je pense que c’est au loisir de chacun. - « Tout établir à l’avance c’est limiter l’évolution possible d’un univers si une incohérence apparait » : c’est un excellent conseil. Cela, encore une fois va sembler paradoxal avec les propos si dessous, mais concevez (avec soin bien sûr) votre univers d’abord, puis tester le à l’infini, et ensuite écrivez le. L’écriture, c’est la dernière étape, la fabrication du produit. Une voiture, par exemple, n’est fabriquée qu’apres des années de recherches, de test, de design, etc. faites de même, le principe d’une bonne création est universel.

Merci beaucoup, étant en cours de création d’un univers et de règles pour un JdR, ça nous sera super utile ! :)))

Tellement vrai toussa ! Merci du partage.

3/3 - « il est absurde d’attendre un monde complet dès la première séance de jeu, ce n’est pas ce qu’on vous demande » Bah… si en fait. C’est comme dire « n’attendez pas que l’auteur ai prévu la fin du livre dès les premières pages » ou « n’attendez pas de crédibilité d’un film dans les premières minutes de visionnages ». Soit une œuvre est complète selon les règles qu’elle propose soit c’est médiocre… (bien sur, des exceptions existent mais regardez la fin de GoT : exemple parfait d’un monde qui ne s’est pas respecté et dont a fin n’était pas prévue par l’auteur. Regarder la catastrophique post-logie de Star wars, même cas d’école). Le Mj doit être plus investi que le game designer et tout autant recherché et investi que l’écrivain ; c’est pour cela que la tâche est si ardue : un bon mastering nécessite un énorme travail sur l’univers en amont ET une intense adaptation en temps réel par rapport aux choix des joueurs. - Le Mj ne doit gérer « que » ses joueurs : encore une fois, non. Le Mj doit gérer ses joueurs, ses propres interactions, l’évolution en temps réel de son univers prévu de base tout en entrevoyant les milliers de futurs probable et matérialiser celui vers lequel les joueurs progressent (cette vision des milliers de possibilités est une preuve de réussite de votre univers et est une grande source d’évolutions probables, de concrétisation et de petits détails intéressants à rajouter à votre création). Etre un bon MJ, c’est être le Dieu de votre univers, de la matrice dans laquelle vous avez plongés vos joueurs. Elle ne répond pas qu’a vous, mais vous seuls avaient la possibilité de la matérialiser. Et vous devez absolument tout gérer MAIS les joueurs ne doivent pas le remarquer, bien sûr. Cependant, pensez tout de même à l’allégorie du capitaine : certes vous avez inventé le bateau, la mer sur laquelle il navigue et recruté l’équipage, mais il ne peut qu’aller là où le vent des joueurs le porte. - « [le MJ] connait son groupe et ce qui lui plait de jouer » : ça, c’est effacer l’essence même du JDR. Un Mj n’est pas là pour montrer ce que les joueurs veulent voir et faire ce que les joueurs attendent de lui. Un MJ, c’est comme un bon écrivain : sur un lit d’empathie, il doit parfois répondre aux attentes de ses joueurs mais parfois savoir totalement aller à l’encontre, les pousser hors des limites de leur zone de confort, leur faire découvrir de nouveaux horizons alors inconnu. C’est ça le JDR : un contrat de confiance entre les joueurs acceptant d’être frustré par un monde tangible qui contredira leurs phantasmes et jouera avec leur frustration et le MJ, bienveillant, capable de rendre réaliste, épique et sublime ces nouvelles découvertes. De plus, c’est un PERSONNAGE qui vivra tout ceci, donc le joueur peut se dédouaner de toute conscience sociale, de toute ses hésitations, de toute sa frustration et de toutes ses pulsions pour incarner un autre individu et vivre de ses yeux. Si un joueur n’a pas compris ça, prenez le temps de lui expliquer, c’est primordial. En conclusion, pour Naetherion : Les conseils que tu donnes visent des débutants au MJ mais s’ils semblent avisés et pertinent à court terme, beaucoup sont moyen voire néfaste sur le moyen et long terme. Si tu ne t’adressais qu’à des petits MJs qui veulent juste faire vivre une campagne comme on irait voir un bon film entre pote, il n’y a aucun problème. Mais, et sans vouloir t’attaquer personnellement ni toi, ni ton travail, je pense que tu n’as pas encore le « niveau » de concevoir le JDR dans tous ces tenants et aboutissements. Encore une fois, le but n’est pas de te rabaisser ni de te violenter d’aucune manière ; c’est plutôt une invitation à continuer de progresser sur ta compréhension du worldbulding (par extension, du JDR) et de ses implications au cours d’une partie. Attention aussi, ça ne veut absolument pas dire que je te considère comme un mauvais MJ ou comme un mauvais donneur de conseils ! Il se peut même que tu sois très bon, et que le format de la vidéo ne traduise pas parfaitement ta pensée. En plus, le format vidéo/réponse commentaires ne favorise pas un vrai débat où tu aurais sans doute relativisé certains de tes propos dans la vidéo. Mais bon, youtube, c’est cruel ! Je t’encourage bien sûr à faire de nouvelles vidéos (que je me ferais une joie de commenter > 😃) et de ne pas te décourager d’aucune manière. N’hésite pas non plus a relancer le débat ; je sais que mon écriture et ma pensé a tendance à être brusque et sembler unilatérale (surtout sur un sujet que je connais si bien), mais je suis toujours ouvert aux arguments logiques et imparables ! et désolé pour le roman.

(en trois fois a cause de yt): 2/3 Bon, rappelez-vous bien de mon intro parce qu’on arrive à la partie qui va faire jaser. Les grosses conneries : - En tant qu’écrivain, en AUCUN cas le worldbulding doit être en toile de fond de ce que j’appelle « l’aventure », les péripéties si vous préférez (ex : aventure de LOTR - frodon bilbo, le reste - worldbuilding). Dans d’autres registres, je pourrais être d’accord mais dans le cas de l’héroïque fantaisie, de la SF et encore plus dans le JDR, l’univers doit être proéminent et doit être bien, bien plus important que les aventures de vos héros. Je m’explique : toutes les œuvres majeures de SF/héroïque fantaisie (star wars, hyperion, LOTR, Warhammer, etc) le sont car c’est leur monde qui est extrêmement riche, intéressant et surtout plausible. C’est comme pour un jeu de plateau : le concept du jeu plait plus que les parties en soi, aussi épiques puissent-elles êtres car c’est le concept qui permet ces parties. En JDR (et écriture), c’est pareil : ce n’est pas l’aventure qui se passe dans votre monde qui fait ressurgir votre monde mais votre monde qui sublime l’histoire, l’enrichit, la rend unique. Preuve simple : dans star wars, c’est luke et anakin les jedi préférés de tout le monde ? Dans LOTR, c’est la contrée et les hobbits que vous adorez le plus, que vous voulez le plus voir ? Dans hyperion, les 7 pèlerins sont-ils si importants ? bref, vous avez compris, c’est l’univers qui plait et qui doit fonctionner avant même qu’une quelconque histoire soit implantée dedans ; il faut donc, en JDR encore plus, façonner un monde plausible, unique et répondant à des règles logiques déterminées par le créateur avant qu’une quelconque campagne de grande ampleur ne soit possible. N’oublions pas que c’est d’abord l’univers qui doit donner envie au joueur de se matérialiser dedans. Si l’univers de Warhammer (par exemple) est si apprécié et regorge de tant de fan fictions c’est parce qu’il est mis en valeur de par sa complexité, sa richesse et ses règles tangibles. CEEEEEPAAAAAANDANT je suis relativement d’accord avec toi quand tu conseil au débutant MJ de ne pas en faire des caisses, car plus le monde est complexe plus il demande de ressources au MJ pour le faire fonctionner. Un conseil que je donne souvent aux MJ débutants est de commencer à masteriser dans des univers qu’ils maitrisent déjà et connaissent à la perfection, pour se rendre compte de l’immense importance de faire évoluer la partie dans un monde tangible. Souvent, en effet, les MJ débutants rajoutent trop de détails qu’ils oublient dans le feu de l’action et qui donc se révèlent inutiles dans la campagne. Si un élément dans votre monde existe, c’est qu’il a raison d’exister et le lien aventure/worldbulding ne doit pas être brisé. Alors, je suis en effet allé prendre l’air comme si tu le conseil et il se trouve que le vent m’a soufflé que l’argument sur LOTR est fallacieux : certes tolkien n’a eu que faire des premiers et deuxième âge sur son aventure, mais il les a développés pour être certain que tout ce qui concernerais le troisième âge serait basé sur un univers sans failles. On parle d’un monstre de l’écriture et du worldbulding, il est donc évident que sont worldbulding en amont devait être irréprochable pour lui, avant de se focaliser sur l’aventure (je ne dis pas qu’il n’a pas world buildé en parallèle à l’aventure et que c’est une mauvaise chose de le faire, je dis que l’un n’est pas discociable de l’autre. L’aventure ne peut exister sans le monde autour, et le monde autour est inutile s’il n’y a pas d’aventure à l’intérieur. Ces deux concepts sont à soigner avec équilibre, l’un de doit pas être abandonné pour favoriser l’autre). D’ailleurs, en lisant LOTR, on se rend compte que les descriptions du monde sont si nombreuses, pompeuses et précises qu’évidement que oui, son monde est mis en avant, et que c’est une des principales raisons du succès de son œuvre. - En ce qui concerne le WB du game design : un GIGANTESQUE contre exemple : FF7. C’est un jeu dans lequel le WB est proéminent, où l’histoire sert le WB et où le monde est plus marquant que l’aventure et surtout, où tout n’est pas explicité. Ce jeu demande au joueur désireux de tout comprendre de le faire et refaire en comprenant les interactions entre le monde et l’aventure qui s’y passe. Il en est ainsi pour tous les grands jeux (halo, max payne, legend of zelda, jedi knight, etc). à part ça, je suis assez d’accord avec le fait que trop de détails peuvent tuer un game design car chacun doit être exploité. Un bon MJ fait attention à chaque détail de son univers, chose assez difficile à faire dans le game design d’un jeu vidéo ou d’une campagne courte. Mais par contre c’est le WB qui va encourager les gens à s’approprier une histoire. - Le bon MJ ne tombe pas au milieu de ces deux extrêmes, il maitrise tout le spectre jusqu’à ces deux extrêmes qu’il utilise à bon escient. C’est pour cela qu’être MJ est beaucoup, beaucoup plus dur qu’il n’y parait et que cela demande des ressources d’adaptation, de savoir, d’éloquence, d’écriture et d’improvisation absolument démentielles. Faut savoir que 95% des MJs ne sont pas des bons MJ, même si leur campagne est sympa et que la séance est cool.

Merci, merci merci! Je suis en plein premier WorldBulding et j'étais perdu. Tu viens de me faire économiser énormément d'énergies! Et me retirer un poids de fou! Bro0k

Super vidéo merci beaucoup

Superbe vidéo merci!

Génial merci pour ces vidéos faut que j'aille voir les anciennes du coup avant celle ci ! 😬

J'adore le principe de carte du tombeau de balïn :p

Merci pour la vidéo, c'était très intéressant. La référence à Monte Cook, c'est un livre, une vidéo ? J'aimerai beaucoup avoir la source, même en anglais. Merci

Elle est top cette vidéo ! Ma citation préférée restera : "Ni plus, ni moins" ! :D

Je pense qu'il faut faire attention avec le MJ qui change la réalité décrite par le joueur ou la joueuse, même si c'est un souvenir. C'est le genre de twist qui peut tout à fait frustrer un joueur ou une joueuse ou surprendre dans le mauvais sens. J'explique : si le MJ fait confiance à sa tablée pour créer du background, en retour la tablée fait confiance au MJ pour l'utiliser... pas forcément pour le détruire ou le transformer. Donc pour cette méthode, je rajouterais juste qu'il faut bien préciser dans le contrat social de la partie que bien que le joueur ou la joueuse puisse créer du "lore", le MJ reste à la manœuvre pour en faire ce qu'il veut pour proposer du jeu et de la surprise. A part ça, j'ai apprécié la vidéo et les conseils donc merci pour la vidéo !

Personnellement, j'ai une joueuse dont le perso vient d'un continent complètement différent des autres (et qui leur ait inconnu) et je lui ait fait me décrire la capitale du pays d'où elle vient. Et bah maintenant j'ai une ville toute faite et des tas d'idées de scénario qui pourraient l'impliquer :p

Clap

Yeeeeeees je suis la 1000ème vues