5 raisons inconscientes qu’une victime doit connaitre pour quitter un(e) pervers(e) narcissique. 

Votre retour me touche beaucoup, je vous en remercie. Votre proposition de sujet, est très intéressante! Je vais y réfléchir, car cette question est effectivement cruciale. Bien vu👍! À bientôt pour une vidéo très prochaine, en cours de préparation (j’attends de sortir d’un gros rhume pour la tourner🥴). A bientôt!

Exact, ma fille unique en a fait les frais à 41 ans, elle a mis fin à ses jours 😭😭😭

@@francoisedouliez796 Je compatis à votre souffrance 😭.

😢

Merci beaucoup !!!🙏🌻

Merci beaucoup!!! J’espère que vous avez désormais quelques pistes pour travailler l’impact traumatique de ce type de lien, et réparer votre estime, pour (vous)aimer librement.

Merci beaucoup! Oui c’est important de se laisser le temps de « digérer » pour intégrer, et s’approprier les différents éléments.

Merci beaucoup Isabelle! 😊

Merci à vous pour ce partage! 🌻😊

Merci beaucoup! Votre retour me touche beaucoup.

Je vous remercie infiniment! 😊🌻

Merci beaucoup Christine de votre partage! Je vous souhaite bonne route sur la voie de la résilience. À bientôt sur Psypartage.

Merci beaucoup!

Je vous remercie de votre partage, qui me ravit.

Merci beaucoup de votre partage!

Face a la justice, les preuves sont des éléments hélas difficiles à recueillir mais essentiels. L’accompagnement psychologique peut aussi permettre de faire un pas de côté pour soulager la tension ressentie, et agir sur ses représentations émotionnelles de la situation. Merci de votre témoignage. Je vous souhaite de pouvoir bientôt trouver un apaisement résilient.

Merci beaucoup pour votre partage intéressant. Hormis la première question qui pourrait être : qu’avez vous à réparer pour chercher à sauver la victime…😉? Ce que vous soulignez est la spirale infernale de la réplétion. Car effectivement vous allez faire l’objet d’un schéma de répétition au sein duquel vous allez être exposé à des tentatives de règlement de compte avec une figure parentale dont vous serez le représentant, et une agressivité défensive dont vous serez le dépositaire. Ce n’est qu’au prix de démonstrations de votre différence, tant sur le plan de vos réponses comportementales, que d’explications de texte que vous pourrez apporter, que vous parviendrez à prouver à votre partenaire que vous n’êtes pas le monstre qu’elle a peur que vous soyez. Votre innocence est à prouver durant un long et périlleux processus pour qu’elle parvienne à dépasser ses peurs. Par ailleurs elle craint autant que vous la trahissiez, d’être abandonnée, que de devenir dépendante de vous en vous reconnaissant comme différent, et bon. Son manque de confiance en elle la rend très vulnérable. Elle peut se trouver coincée dans une impasse insoluble: peur autant d’aimer que d’être rejetée. Une psychothérapie est souvent souhaitable pour l’aider à se défaire de ses angoisses, et se permettre d’être enfin libre d’aimer et de se sentir pleinement vivante. Les histoires d’amour peuvent être de formidables remèdes thérapeutiques, lorsque le partenaire aide à changer de regard sur soi et sur le monde. Reste à se donner les moyens d’accueillir cette rencontre, pour recevoir tout le potentiel qu’elle offre, et s’autoriser au bonheur (en refusant de laisser le pouvoir aux agresseurs). Je pense proposer un jour une vidéo sur l’approche auprès des enfants après la separation du couple dont un des parents est PN. À suivre…🙂

@@luciemirapsychologue Merci infiniment Lucie pour votre réponse (pleine de clairvoyance... 😏) Si vous permettez, j'aimerais beaucoup y répondre, mais je préfère prendre le temps pour ce faire (ce ne sera pas pour autant un roman, rassurons-nous) A suivre aussi...

@@luciemirapsychologue Bonjour Lucie, je reviens pour répondre à votre propre réponse. En effet, j'ai eu un long épisode de « sauveur » qui me permettait en apparence - et en apparence seulement - de réparer des failles d'attachement qui me collaient à la peau depuis l'enfance. Là encore, rien que de terriblement classique. Et en effet, de pèles en râteaux, je répétais les scénarios, tous différents et pourtant si semblables... Jusqu'au jour où j'ai pris conscience que le seul point commun entre toutes ces histoires, c'était moi ! et qu'il fallait me faire aider pour 1/ trouver les réponses à mes interrogations, 2/ me faire accompagner pour me débarrasser d'un embryon de mal-être qui ne disait pas son nom, et en dépit d'une curiosité et d'une joie de vivre qui me caractérisaient 3/ ne pas reproduire ce qui me maintenait dans ces fichus schémas de répétition... J'ai donc pris rendez-vous avec un psychologue ; psychologue qui a rapidement... « fait connaissance » avec mes parents... Mes séances m'ont permis d'aborder précisément ce que vous me dîtes dans votre message, et je vous remercie de m'avoir confirmé combien j'ai pu être englué dans ces processus-là. Cependant, aujourd'hui, mon intérêt pour le sujet ne s'oriente PLUS TANT vers le pervers dont je connais peu ou proue le fonctionnement ultra-structuré - certes imprévisible pour ses proies mais pourtant si convenu -, PAS PLUS que sur sa victime dont je ne recherche plus à être l'inconscient sauveur, mais bel et bien sur l'équilibre de vie que peut trouver le nouveau conjoint à travers le jeu de massacre que produit le PN ou, dans le meilleur des cas, le champ de bataille qu'il a laissé derrière lui. Je ne sais pas si vous faîtes la part belle à la coïncidence, mais il se trouve que ma nouvelle compagne est à nouveau l'ancienne victime* d'un PN. *Je dis bien « ancienne » quand bien même ''il'' sévit encore - en effet, il y a encore deux filles (13 et 18 ans) entre les deux -, car elle se sait AVOIR ÉTÉ victime ; ce qui est pour moi le signe de 1/ soit qu'elle a passé ce stade et qu'elle se refuse d'y rester enfermée 2/ soit qu'elle le nie en dépit de sa fuite, mais dans ce cas j'y vois une forme de complaisance, et non plus d'un état de victime à proprement parlé. Mon amie fait partie de la première catégorie, et son combat est pugnace et ciblé : j'entends par-là qu'elle ne fait pas de généralité sur les hommes, et m'épargne ce genre de considérations. (J'ajoute au passage qu'elle se fait suivre par une thérapeute qui semble très pertinente) Donc, disais-je, cette rencontre pour moi fait-elle partie des coïncidences ou suis-je à nouveau sur le rail de la répétition malgré le travail sur moi que j'ai pu accomplir ? Car après tout, ce n'était pas ni noté sur son front ni sur son CV qu'elle était l'ancienne proie d'un prédateur détraqué mental. Ma question est de savoir quelle distance je puis m'accorder face à cette violence et ces souffrances pour 1/ ne pas souffrir moi-même 2/ parallèlement ne pas faire montre d'indifférence 3/ vivre l'amour et le bonheur que j'ai à donner et à recevoir vers le plus de sérénité à laquelle il me sera donné d'accéder... Encore mille mercis et bravos, Lucie, pour ce que vous êtes !

Bonjour, Ravie d’avoir découvert votre écrit aussi riche tant sur le fond que la forme. Et avoir l’amour comme sujet de réflexion, est forcément un régal! J’envisage la rencontre avec l’être aimé comme une re-connaissance, qui crée une impression d’évidence. Ce qui unit, est en lien avec une sensibilité commune, une lecture du monde qui s’enrichit mutuellement pour regarder dans la même direction et construire un nouvel horizon. Il n’est donc pas étonnant que vous vous soyez reconnu en votre compagne, sans que cela ne relève d’une spirale de répétition, mais renvoie plutôt à une attirance vers ce qui vous ressemble. Les personnalités victimes de PN sont souvent très empathiques, avec une appétence pour l’analyse. Ces deux qualités sont déjà à elles seules essentielles pour nouer des relations constructives et enrichissantes. Aimer implique de s’engager tout entier vers l’autre, pour l’autre, et avec l’autre. Les attaques de l’ex- compagnon de votre amie, font donc aussi partie de ce qui vous mobilise inéluctablement. Le couple dans cette configuration, représente une force puissante, un soutien formidable, remplissant une fonction thérapeutique (ce qui n’a rien de pathologique!). Soutenir votre compagne pour l’aider à garder le recul nécessaire, ne pas céder à la tentation de l’impulsivité face aux provocations, l’amener à se positionner de manière à rester fidèle à ses valeurs, vous inscrit dans un rôle actif de coéquipier, pour protéger votre couple d’intrusions qu’il faut maintenir à distance. Cette place ne peut que contribuer à alimenter une énergie de vie qui est un contre pouvoir décisif aux attaques mortifères auxquelles votre compagne est exposée. Alors autorisez vous à laisser libre cours à votre élan réparateur, car il semble parfaitement s’inscrire dans une attention réciproque. L’équilibre se trouve dans la souplesse des rôles qui animent le couple, et votre compagne paraît être une solide partenaire pour, s’il le faut, vous soutenir également. S’entraider n’est pas sauver, mais (s’)aimer. Je vous remercie chaleureusement pour votre délicat partage, et vous souhaite un amour plein et serein.

@@luciemirapsychologue Lucie, je reste de mon côté sans voix à votre lecture, reconnaissant, touché, admiratif, ému. Le chemin ressemble à tout sauf à un long fleuve tranquille (en même temps, si c'était le contraire : quel ennui !...) ; mais au regard de ce j'entrevois et de ce que je lis de votre considération du couple en particulier et de l'amour en général, je sais que ce que j'entreprends est guidé par des sentiments dont je n'ai rien à craindre des valeurs qui les guident (Je me demandais en la rédigeant si j'allais jamais savoir finir cette phrase... 😶) A mon tour de vous souhaiter une vie pleine du truculence et de croustillant, les deux mamelles de l'amour dans un couple (toutes proportions gardées 😊) L.

Avec plaisir! Je vous remercie de votre partage. 😊🌻

Merci beaucoup Benoit! 😊🙏

C’est un bon début😉! Le processus prend du temps, c’est normal.💪

Ravie de votre enthousiasme Brigitte, et votre soutien. Vous participez ainsi à faire connaître ce savoir, pour que nous puissions tous acquérir une meilleure connaissance de ce type de relation🙏👏. Bientôt de nouvelles vidéos😉! À très vite.

Le principal est de connaître leur existence, pour repérer les mécanismes et savoir s’en protéger😉.

​@@luciemirapsychologuefaudrait comprendre pourquoi yen a autant.. Ste perverse

Des toxiques yen a TROP. Pas que PN.. Narcs dominant Sexiste CONTRÔLANTS intrusifs, ça fait déjà des dégâts énormes.. Plus, Borderline, sociopaths psychopathes, bipolaires... Etc.. Un fléau de gens tarés et toxiques.. Un fléau.

La rupture du contact est à privilégier, autant que possible.

Merci de ces observations. Lorsque l’Autre est considéré comme un objet, une chose, que ce soit homme ou femme c’est toujours une atteinte à la dignité. On attaque l’appartenance à l’humanité, et cela peut laisser place à de la violence. Dès que l’autre est considéré comme un moyen, une utilité, il est déshumanisé. Le monde du travail relève parfois de cette cruauté… savoir le repérer, c’est se donner la liberté de le refuser.

@gribouille7052 je vous remercie de votre témoignage poignant, et de votre partage qui rappelle la nécessité salvatrice d’un travail sur soi pour rompre un schéma de répétitions traumatiques.

​@@luciemirapsychologuele monde du travail est encore une hyerarchie pyramidale d'autorité de soumission de violences.. Système qui valorise les violences le harcèlement moral au nom de compétition, mérite, actionnaires toujours avides, etc etc, tout cela nuit à la ste civile et aux services publics.. C'est une tyrannie oligarchique G appris par Johann Chapoutot, historien expert des nazis, que le management actuel avait été conçu par un nazi.. Même le terme ressources humaines avait été créé par ce nazi.. Quand on sait que les nazis faisaient des lampes avec la peau humaine, ce terme prend un tout autre sens, me fait froid ds le dos et me débecte On n'est pas des ressources des objets mais des êtres humains.