Aire de remplissage et local phytosanitaire : fin des travaux 

Nous aussi on a sa on peut mettre 250 tonnes de blé

Maxime Collet j'ai construit en 2016 un hangar dédié a cela j'y stocke mes 350 ha et mon materiel

@@theobritan9380nous c'était juste un agrandissement d'un hangar

Maxime Collet juste chiant a vider au telesco...😂

Pas d accord trop expliquer n est jamais un tort contrairement à pas assez. Pense qu il y a des gens qui n y connaissent rien

Pur qui tu te prends djoninho31?!

@@lizonalexis9776 tu es qui toi? a quelle tu joue?

@@paulc638c’est vrais tu as raison j’ai eu l'impression que gille était trop précis. apres c'est que mon avis !

Dans le cadre de la pulvérisation, l'investissement, qui peut te paraître important, est largement rentable. Déjà l'investissement est décidé par rapport au contexte et à la taille de l'exploitation. Si un exploitant investit, c'est qu'il a étudié le cas auparavant, et qu'il sait que l'investissement va lui rapporter. La pulvérisation est un outil, largement rentable, qui permet de gagner techniquement, et économiquement. Et il peut dans certains cas, largement éviter de perdre de l'argent, de sécuriser un résultat, comme par exemple en production de pomme de terre, où 10 jours peuvent suffire au mildiou pour condamner la culture. Gilles investit beaucoup dans son local phyto et son équipement de pulvérisation, afin d'éviter tout impact sur l'environnement. Il répond aux normes en vigueur autour des phytos, et même au delà : il a un bassin de rétention en cas d'accident, tout un dispositif de récupération, de stockage tampon, ainsi que de traitement des déchets, éliminés après par une société spécialisée. Tout cela garantit aucune pollution. En plus il se protège beaucoup et prends soin de lui, ce que tous les agriculteurs ont du mal à faire. Donc ici c'est pour la bonne cause. Garde en tête qu'en règle général, si telle technique est pratiquée, c'est qu'elle fonctionne techniquement et économiquement. En agriculture, où on ne maîtrise pas tout, la remise en question fait partie du métier.