Bonjour à toutes et à tous , je vais nous demander de les encourager tous que ça soit adja ou Savalou nous sommes tous des Béninois et nous devons chercher à valoriser notre culture .Donc bravoo à vous mes chers artistes .
Tout est grâce. Moi j'aime bien allevi, mais l'autre éduque bien en chanson. Dieu vous aidera à se comprendre pour la bonne marche d'un pays gagnant. J'ai beaucoup apprécié cette chanson car l'habillement était au top. Je valide simplement. Mais au moins ces chansons d'insultes vous permet de bien vendre vis versa. Moi je ris seulement. Mettez vos cœurs sur Dieu pour allez en avant. Amen
Un meilleur comme ça. Qui veut nier ??? Allez GBEZE quitte de là enfoiré.. ALEVI c'est un génie quoi.. Il nous donne trop de conseil je t'aime fort papa ALEVI
Puuuuff vous etes la meme chose que le dit papatobaton la d'abord vous avez jamains entendu que adjanou joue toba tout le monde sert cest gogohoun vius joue et arrete tes desodre la
Gbèzé et Alèvi, la honte ! Les artistes de la musique traditionnelle béninoise Apollinaire Houénou dit « Allèvi » et Modeste Tokponho alias Gbèzé Zèguèzougou s’illustrent depuis 2008 dans une guéguerre qui frisent la honte et ne participe pas de la promotion des valeurs morales et éthiques propres à l’œuvre d’art que constitue la musique. Ces deux confrères ont déjà tristement tout cassé avec leur talent. Plus rien à récupérer de la décennie de vie d’amitié qu’ils ont mené ensemble. Mais ce qui urge, c’est de mettre fin aux écarts de langage et les graves injures qu’ils enseignent à la postérité. De l’échec de la médiation de leur ami commun Sévérin Sètossi à celui de l’ancien maire d’Allada, Wilfried Gbégbédji, l’un des généreux donateurs des artistes de la région Fon et Mahi, on peut conclure que les dessous de la guéguerre entre les deux hommes sont ailleurs. « Si on pouvait fouiller les cœurs et les consciences, on retrouverait presque toujours à l’origine des haines sociales, une souffrance physique ou morale, une injustice ou un vice d’argent », Enseigne Laurent Barré. Le boycott des décisions issues de la rencontre du 12 janvier 2012 à la Préfecture d’Abomey, rencontre qui a réuni les Préfets des départements du Mono-Couffo, du Zou et des Collines, du directeur du Bureau béninois du droit d’auteur et des droits voisins, du directeur départementale du ministère de la culture, des différents représentants des associations des artistes sans oublier la présence remarquable de Alèdo et Gangnon, relève d’une indiscipline notoire. A ce propos, Jean Paul Sartre enseigne que la violence est injuste d'où qu'elle vienne. Ni Gbèzé, ni Allèvi, aucun des deux n’est vertueux dans cette crise. La situation actuelle appelle en urgence sous un format très étudié pour être efficace un dialogue de vérité, pour parer à cette déchéance morale orchestrée par ces deux artistes qui se croient dans un pays de non-droit où le respect à l’autorité de l'État peut être impunément bafoué. Ailleurs, plusieurs artistes s'entendent autour d'un même rythme pour l'imposer à l'international. C'est ce que nous voulons pour nos artistes nationaux.
espoir godwin nougbe ces bien dit je vous remerci. maintenant ma question : comment faire pour les convaincre pour qu'il cessent de s'insulter dans leurs messages de chanson??? . puisque cela est une mauvaise qualité des artistes beninois. même dans la musique moderne on remarque encore ces histoires souvent.