Trugarez Marthe evit an destenn se, na kaer ha don. Melkoni hag hiraezh war un dro... Gourc'hemennoú da Gilles evit ar sonerezh a suj ken mat d'ar pozioú. Bravo a tutti !
Il est des nuits dont on aimerait qu’elles durent dans l’infini du temps. Celle ci dura joyeusement et prenons le pari de nouvelles aussi belles que fût celle ci. Cathédrale poudrière ...merci aux rencontres polyphoniques de Calvi.
Je connaissais la version duo de longue date, absolument sublime d'émotions, de sincérité, de beauté du texte et de virtuosité des cordes. Mais cette version-ci me bouleverse au plus profond de l'âme, de l'être de chaire et d'os que je suis. Elle réveille en moi une histoire personnelle terrible de cruauté et de souffrance, et en même temps délivre un message de paix, d'oecuménisme et de partage qui me transperce de sa plus douce beauté. J'en ai pleuré et en suis tellement heureux... mersi bras deoc'h evit ar fulenn-mañ, ra vo
@@thomasprat4693 j'ai assisté à la naissance , à table , et je t'assure que nous aussi avec jp quéré , nous avions des larmes .quand l'immatériel se joint au coeur et qu' enfin notre culture produit le meilleur pour mettre notre humanité au centre de nos vies , pour nous rendre "enfin " VIVANT . BIZH.
Si vous aviez les paroles et la traduction du texte, je suis preneuse. J'aimerais tellement savoir de quoi ce chef d'oeuvre musical et d'interprétation traite... Merci beaucoup.
bravo à marthe ,sublime comme à son habitude ! ses musicaux sont tous à la hauteur ,il faut le souligner moi qui d habitude n aime pas que l on brade notre culture !! je dois m incliner !
I have no idea what she is singing about but when listening to music like this it has a language of its own which moves the soul. I find it difficult to listen to this without getting tears in my eyes. Magnifique. Marthe Vassallo, where have you been all my life?
Is this true? said the trees on the side of the road Is it true that you chose to stay there? Is this true? said the trees on the side of the road Is it true that your decision is made? Go where you want, said the leaves of the trees Go where you want, girl Go where you want, said the leaves of the trees When you come back, we'll be there We do not prevent, said the flowers of the embankment We do not prevent the desire to run the world We do not prevent, said the flowers of the embankment When you're tired of running, you'll come back...
Do you remember this day just like the others Otherwise things were clear in your mind Do you remember your illness and your cure? It's so easy to "abandon your relatives and friends" Easier than in songs It's easy to ignore the deepest roots Like a sailor who would see the shore approaching And would make his boat turn around No one will have sorrow, enough sorrow to command you. No life will be changed but yours
Do you remember this day just like the others Do you remember the rotten weather it was like Do you remember the voice of the embankment and the smell of the river? It was open, and all the lights on No "why", no "how" The door was open at your friends' house The most precious of pains, that unknown point in your heart Be as free to leave as to stay When you entered, you intended to make your last visit And you were at home for the first time.
AN DISTRO Textes de chansons (An Distro - Paroles Marthe Vassallo, musique Gilles Le Bigot) Ha gwir e 'h eo? ’me ar gwez war vord an hent Gwir eo 'mañ graet da choaz chom du-hont? Ha gwir e 'h eo? ’me ar gwez war vord an hent Gwir eo 'mañ graet ganit da soñj? Lec'h a gari, eme delioù ar gwez Lec'h a gari, plac'hig, a c'hallez mont Lec'h a gari eme delioù ar gwez Pa vi distro, amañ 'vefomp N'eus ket a harz, eme boked ar c'hleuz N'eus ket a harz d'ar c'hoant foetañ bro N'eus ket a harz, eme boked ar c'hleuz Pa vi skuizh o foetañ e teui en dro ************ Ha soñj ho peus deus un devezh re bar d'ar re all ’Met e oa sklaer en ho spered Soñj ho peus deus ho kleñved ha deus ho remed Ken aezet eo dilezel kerent ha mignoned Aesoc'h evit ’barzh ar sonioù Aezet eo ober fae deus an donañ gwrizioù ’Vel ur martolod o welet an aod o kreskiñ dirakañ A refe un hanter-dro d'e vatimant Den n'en do glac'har, glac'har a-walc'h da zont d'ho komandiñ Ne cheñcho buhez ’bet ’met hoc'h hini ******* Ha soñj ho peus deus un devezh re bar d'ar re all Soñj ’peus e oa lous an amzer Soñj ho peus deus mouezh ar c'hleuz ha c'hwezh ar rinier Digor e oa, hag ar goleier tout war enaou Na "penaos" na "perak" ebet Digor 'oa an nor e ti ho kamaraded Priziusañ poan, ar pistig dizanav en ho kalon Pa oac'h ken libr da vont evel da chom Antreet e oac'h en sell d'o'r ho kweladenn diwezhañ Ha c'hwi er gêr evit ar wech kentañ. ******* LE RETOUR Est-ce vrai ? disaient les arbres sur le bord de la route Est-ce vrai que tu as choisi de rester là-bas ? Est-ce vrai ? disaient les arbres sur le bord de la route Est-ce vrai que ta décision est prise ? Va où tu veux, disaient les feuilles des arbres Va où tu veux, fillette Va où tu veux, disaient les feuilles des arbres Quand tu reviendras, nous serons là On n'empêche pas, disaient les fleurs du talus On n'empêche pas l'envie de courir le monde On n'empêche pas, disaient les fleurs du talus Quand tu sera lasse de courir, tu reviendras… ******* Vous souvenez-vous de ce jour tout semblable aux autres Sinon que les choses étaient claires en votre esprit Vous souvenez-vous de votre maladie et de votre remède ? C'est si facile d'"abandonner ses parents et amis" Plus facile que dans les chansons C'est facile de faire fi des plus profondes racines Comme un matelot qui verrait le rivage s'approcher Et ferait faire demi-tour à son bateau Personne n'en aura de chagrin, assez de chagrin pour vous commander Aucune vie n'en sera changée que la vôtre ********** Vous souvenez-vous de ce jour tout semblable aux autres Vous souvenez-vous du temps pourri qu'il faisait Vous souvenez-vous de la voix du talus et de l'odeur de la rivière ? C'était ouvert, et toutes les lumières allumées Pas de "pourquoi", pas de "comment" La porte était ouverte chez vos amis La plus précieuse des douleurs, ce point inconnu dans votre cœur Etre aussi libre de partir que de rester Vous comptiez, en entrant, rendre votre dernière visite Et vous étiez chez vous pour la première fois. 27 mars 2020 à 12:32
Superbe !!! Marthe Vassallo et Nolùen le Buhé nous avaient régalé aussi en octobre 2019 à Cap Découverte près de Carmaux, avec la Talvera qui les avaient invitées pour les rencontres et le concert bal sur le thème des femmes en musique. Merci beaucoup ! ❤️
A l'heure où les Jeunes Bretons n'écoutent plus que du RAP, qu'ils se trouvent intéressants à parler comme en banlieue parisienne. A un moment où le racisme et le communautarisme font des émules Il serait important de leur faire écouter une chanson universelle comme celle-ci. Iran, Mongolie, Bretagne quelle belle réponse à travers la vraie musique qui est, elle, universelle.
Marthe, you are all grown up and what a beautiful voice! (I am a friend of your mom and she sent me this link. We have met, but you may not remember me. I stayed with your family in Trégastel for about a week in 1988 (or maybe it was ‘89?).) -Stephen 🦴