On m'éjecte comme un château d'cartes, m'écrase comme un château d'sable, j'entend que ça jacte il me méprise veulent que ca pète, m'écarte comme la peste mettre des claques je m'en maîtrise, je fume un p'tit pour m'apaiser anesthésié la matière grise ça canalise mais ça soigne pas les cicatrices faire des choix parfois on prend des risques pour oublier qu'nos vies sont tristes, paraître ou naturel noyé dans l'virtuel on joues tous les acteurs et les actrices égarés dans la matrice au milles et une vice la fin des temps est mince j'en aperçois les premiers prémices, en cure de chances faisant tous pour être distinct, prenant le mauvais chemin, les concurrents ont pris la distance, je regarde loin vers le ciel, me posant un tas de questions existentielles, mesdames j'ai pas de mailles mais je peux vous offrir a toutes une étoile, l'état c'est rien pour vous et tous pour moi, du légal a l'illégal y'a qu'un pas, de la vie a la mort c'est la même, bfm attise la haine sème les problèmes repasse des extraits en excès messieurs dames je relate les faits, en effet la marge entre eux et nous est extrême qui de nous deux le plus vif dégaine, beaucoup perde la boussole les ti-peu passe leur temps sur la console, addict c'que l'on consomme nous fait perdre du temps nos vies se consument seul le temps nous console il faut qu'on s'en sorte avec ou sans confort
L'illusion de la liberté En société Ne fais que prouver l'avidité Des dirigeants c'est entêtant Mais en ces temps Il nous faut réfléchir Prendre à part le plaisir, Pour penser à offrir Et essuyer d'une mains levée Nos péchés tout délavés Sans tomber dans la cupidité Sans plomber notre humilité Habilement manipulée Structure désarcticulée Partout le sang immaculé Il l'a tuée j'aurais juré.
Comme d'habitude mec de la tuerie. Je te suis depuis l'indonesie aujourd'hui et fait ecouter tes prod aux gens d'ici. Les indos kiff ton taff. Respect mec.