J'fais pleurer mon stylo, des larmes d'encre sur ma page Dans une bouffée de tristesse, qui me suis depuis mon plus jeune age d'ailleurs j'nage entre regret éternel et l'espoir que les choses changent depuis la maternelle, on nous dit qu'avec le temps tout s'arrange, mais qu'elle affreux mensonge, prononcé par des incultes tout s'empire et s'assombri dès le passage à l'age adulte la violence des mots, des pensées,des actes, des coups nos échanges sont insensées, en sécurité derrière nos vérous
j'ai jeté une bouteille à la mer, mais on ne m'a jamais répondu, et malgré toutes mes prières, je crois que personne ne m'as entendu J'ai toujours ce gout amère, quand l'amour est attendu c'est tendu, combien d'impatients se sont déjà pendu J'ai lancé un SOS dans l'espace comme Balavoine j'suis vénére, j'désespere, j'ai pas les vertus d'un moines Ecoute un Terrien en détresse appel à l'aide, pour que quelqu'un me déstresse, que j'puisse enfin sortir de la merde. J'ai perdu beaucoup, j'ai tendance à vivre dans le passé Lourd est le poids regrets, quand sans cesse tu ne fait que ressassé.
N ieme rodeo Je rode sur les eaux Et monte sur mon navire de guerre Histoire a ma maniere De jeter mon encre Sur ce papier Dans ce 6teme ou jai pas pied Non jai pas pied dans locean Et pour monter sur le piedestale oui on se ment On se met a la conquete dune etoile Art Aknid tisse sa toile.. Une super prod big up a toi!
UFF! Con Este Instrumental ! Habla Mi Corazón! Pues Es Facíl Desahogarse Con Esta Buena Instrumental. Mis Respetos ! Aqui Una Firma & Agradecimiendo Para El Recuerdo! Que Quizas No Vuelva A Leer ! .
Ca démarre mal, le mal m'a marqué/ Flémard j'veux des bars pour la maille j'débarque masqué La mic est une arme, mon archétype/ Remarque mon art mon étique contre l'armée du Marketing Une marque épique, chaotique/ Une merco on largue un kick, mon équipe consome trop de narcotique J'ai fumée l'herbe les poumons goudronnés j'célèbre Ils ont la poudre au nez pas la vérité au bout des lèvres Les f'netres ouverte, 2 feuilles collées c'est pour mes alcoolo Pour décollé on aime la verte com les Écolo
--- **Verso 1** La calle me enseña, no confíes en na’ Tira pa’lante, aunque sientas que vas pa’trás Entre humo y asfalto, la vida se va Tirando porros pa’ olvidar lo que no está. Caminando solo por las sombras del barrio El corazón roto, el dolor es necesario Amores que queman, como el fuego en mis manos Prendiendo el blunt, pa' olvidar que nos odiamos. El frío de la noche me recuerda tu piel Pero ya no estás, te fuiste con él Yo sigo en la esquina, envuelto en mi papel Con mis panas, buscando otra mujer. **Estribillo** Fumo pa’ olvidar, pero el dolor no se va La calle me abraza, y no me suelta ya El desamor me mata, pero sigo a mi paso El humo se disipa, pero sigo descalzo. Fumo pa’ olvidar, pero el dolor no se va La calle me abraza, y no me suelta ya Perdido entre el humo, mi corazón roto Pero en la calle nunca, nunca me noto solo. **Verso 2** La vida enseña a golpes, la calle es mi maestra En cada esquina hay una historia, aunque molesta Amores fugaces, como el humo que se va Encendí otro porro, pa’ no pensar en más. Dijiste que me amabas, que esto era real Pero entre tanta mierda, todo se volvió casual Ahora sólo pienso en cómo voy a escapar Del barrio, del drama, de este ciclo infernal. El porro va rodando, de mano en mano Mis colegas dicen: "Hermano, todo es en vano" Pero yo siento que me muero sin tu calor Esos besos falsos me dejaron sin color. **Estribillo** Fumo pa’ olvidar, pero el dolor no se va La calle me abraza, y no me suelta ya El desamor me mata, pero sigo a mi paso El humo se disipa, pero sigo descalzo. Fumo pa’ olvidar, pero el dolor no se va La calle me abraza, y no me suelta ya Perdido entre el humo, mi corazón roto Pero en la calle nunca, nunca me noto solo. **Puente** Entre la niebla, me pierdo otra vez Las luces de la ciudad, borran tu sombra cruel Ya no queda nada, sólo el eco en mi piel Fumando pa’ olvidar, aunque el daño es fiel. **Verso 3** Ya no espero más, de ti ni de la vida La calle me lo dio todo, aunque está perdida Mis amigos fuman pa’ volar de esta movida Pero yo me quedo, aunque me duela la caída. Cada porro es un respiro, una tregua al dolor La calle es mi consuelo, mi refugio en el horror El desamor se va, pero vuelve el temor De que lo que fumo no apague todo el ardor. El humo se eleva, mi mente se despeja Pero en el fondo sé que tú eres mi queja La calle me acoge, aunque me sienta lejos Entre porros y risas, voy sanando los reflejos. **Estribillo** Fumo pa’ olvidar, pero el dolor no se va La calle me abraza, y no me suelta ya El desamor me mata, pero sigo a mi paso El humo se disipa, pero sigo descalzo. Fumo pa’ olvidar, pero el dolor no se va La calle me abraza, y no me suelta ya Perdido entre el humo, mi corazón roto Pero en la calle nunca, nunca me noto solo. ---
POTO ON A KICKER SALE SUR TA PROD PASSE ECOUTER CA SUR MA CHAINE QUAND TU AURAS 3M44 LE MORCEAU S APPEL ON DEBOULE LAISSE MOI TES IMPRESSIONS STP SE SERAIS COOL MERCI BIG UP POUR TES PROD A L ANCIENNE CA FAIT PLAISIR DE VOIR DES BEATMAKER COMME TOI C EST RARE DE NOS JOURS
Mec c'est super lourd, et justement, vu que c'est super lourd, j'te conseille pas de mettre tes textes sur you tube, t'aimerais pas entendre ça de la bouche de quelqu'un d'autres que toi. Tu mérites bien considération, mais oublie pas que les connards aux peu d'éthiques aiment bien You tube.
Se monde par en couille ses ma plume qui le dit, Si les moment sont tragique ses que dieu le prédit. Des paroles odieuse pendant que d'autre parte en l'air, Des faux-cul des bâtard puis des langues de vipère. Moi je dit s'que je pence j'me fout de tes penser, Un monde maladroit qui plonge dans le pécher. Merde que s'passe t'il dans ma tête, J'entend des enfants pleuré puis des bruits de gâchette. Ce monde et perdu dans la souffrance, On plonge tous dans l'gouffre la douleur et immense.
Merci,mais ne t'en fait pas je ne lâche que des échantillons, et puis qu'ils utilisent mes textes, ils n'auront jamais la même plume. Sinon merci d'apprécier ce que je fais.