Lorsque le Kenya interdit les mutilations génitales féminines en 2011, peu de gens s'attendent à ce que cette pratique traditionnelle migre vers des cliniques clandestines. Durant une décennie, elle diminue. Mais aujourd'hui les ONGs sont inquiètes : de plus en plus de médecins acceptent d'exciser des jeunes filles. Les humanitaires le constatent et craignent que leurs efforts ne soient réduits à néant par cette nouvelle menace.
Pour marquer la Journée internationale des droits des femmes, Le Temps s’associe à 16 médias internationaux afin de découvrir des initiatives pour l’égalité dans le monde entier. Cette vidéo réalisée par notre partenaire Arte en fait partie.
@arte @artede @SparkNewsTv #TowardsEquality
0:17 Un médecin de Nairobi témoigne
0:37 Pourquoi pratique-t-il l'excision?
0:52 15% des femmes sont excisées au Kenya, un chiffre en baisse
1:00 Patricia, victime de mutilations génitales, témoigne
1:30 L'excision médicalisée se développe
1:48 Le gouvernement kenyan s'était engager à mettre fin à cette pratique avant 2022
1:57 Une seule solution pour les organisations: accentuer la prévention
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22 окт 2024