Avant le "moi" 

Merci ! Ah mince je vais les enlever

Hello Mat, oui en effet ! J’en ai commandé un nouveau qui arrive demain 🥳 Donc prochain satsang il y aura un bon son ✨

C’est la question de l’instinct de survie, effectivement j’aimerai bcp avoir la reponse d’anthony meme si je suppose que la Conscience dans sa manifestation fait en sorte de se perpetuer pour continuer de jouer à experimenter le plus longtemps possible jusqu’à ce que réalisation se fasse. Et cet instinct de survie est manifesté par le cerveau reptilien, les pulsions et strategies reproductrices etc… Est ce bien cela? Merci

@@krisasmr oui , merci pour ta réponse. Il me semble que toutes les religions, spiritualités, philosophies, théories de toutes sortes, ont pour racine la peur de mourir et donc le désir de survivre d'une façon ou d'une autre. Que de pratiques proposées, que d'intelligence, de malice, d'ingéniosité déployées dans l'espoir de ce but ! Il existe sans doute d'autres mondes que celui que la Conscience nous oblige à percevoir à travers notre corps mental, de même que chaque espèce à son propre monde perçu. Mais l'inconnu est gigantesque, quand à l'inconnaissable.... Nous sommes tous pris dans le jeu de Maya ! Une solution pour s'en sortir semble être de reconquérir "la paix du cœur", en fait ce que les petits-enfants (non maltraités et aimés il faudrait le préciser) connaissent. Réponse un peu longue et peut-être hors-sujet 🐒 Bonne soirée !

@@clepshydre9 Oui je dirais les élans de notre coeur, qui se révèlent au coeur d’une pleine presence à ce qui se vit, dans l’accueil de tout ce qui est. Tout ca dans le but de vivre la paix inconditionelle. Je crois que le plus difficile est de s’abandonner dans une pleine confiance que tout est parfait comme c’est alors meme que notre constitution physiologique impose ses mecanismes de survie. C’est un sujet qui n’est pas assez discuté dans le « monde spirituel » cest dommage, j’espere qu’Anthony pourra nous éclairer ^^

@@krisasmr c'est comme tu dis : le plus difficile est de s'abandonner, pleinement conscients de notre insignifiance et pourtant conscients de participer à autre chose d'inconnaissable comme les ampoules électriques qui s'allument et s'éteignent sans savoir pourquoi