@@royobannon4128 pas de soucis, les nanars n’ont pas la prétention de changer la phase du monde mais vu l’époque Bernard Blier joue super bien ce côté étranger qui peut tout se permettre et illustre bien aussi notre perception des puissants d’un point de vue France.
Sans le moindre doute. Mais il a aussi tourné dans des bouses immondes, et celle-là n'est pas la moindre ! Un moment d'égarement sans doute... ou alors par besoin de pognon, justement
@@laurentdevaux5617 C'est probable et dommage; ces gens ont parfois des vies "compliquées". Michel Galabru, que j'ai vu aussi au théâtre, déjà âgé, était un grand acteur, mais disait lui-même avoir accepté des films archinuls et en grand nombre, en expliquant être toujours à cours d'argent (notamment pour des pensions alimentaires). Il est notoire que beaucoup préfèrent le théatre, mais font du cinéma alimentaire.
@@desjoursentiersa bon , j aurais parie que le but d un comédien c était justement de faire du cinéma un jour , après oui parce que ça paye aussi bien mieux évidemment . Et pour finir sa carrière retourner au théâtre là ou tout a débuté . Mais pour moi le cinéma reste mieux aujourd’hui comme hier que le théâtre, c est beaucoup plus grandiose , après la comédie c est pas pareil ça ne se joue pas pareil , les émotions ne sont pas les mêmes à donner on ne vit pas les personnages de la même manière , peut être que la comédie c est plus intime au final . Après il faut quand même avoir à la base plus ou moins les mêmes qualités au début pour commencer , sinon ce seras pas facile et il va falloir beaucoup travailler .
Il y en a certainement quelque part en France des personnages aussi charismatiques seulement les directeurs/trices de casting bossent beaucoup moins bien d'où la misère sur nos écrans.
@@jungbolosse3034 C'est surtout que les ricains n'ont jamais eu de S63....D'où ma remarque. Le mien était gris et un autre crème. Et le telex est un telex français lui aussi !
@@LaurentValette1234 Oui oui j'ai bien compris. Je me suis fait avoir en regardant la vidéo parceque les ricains avaient aussi un téléphone similaire mais sans l'écouteur à l'arrière. En lisant votre commentaire j'ai revisionné et là j'ai vu le fameux écouteur.
Et ceux de 2024 sont des tuche porcins...tu as malheureusement et tristement raison..mais il nous reste ce genre de souvenirs de la belle france d'avant
@@tontonblindlemon Au contraire de vous je le trouve d'une incroyable dignité. D'abord il protège les droits fondamentaux des travailleurs au risque de déplaire à un client important ensuite il accepte les circonstances et respecte la hiérarchie sans faire de "crise d'égo". C'est plutôt exceptionnel à mon sens.
@@philippe-lebel Je travaill(ais) dans l’hôtellerie-restaurantion, et je plussoîe ^_^ tu verrais quand 17 israéliens (croient avoir) privatisé tout le 5ème étage, (ma directrice : ”aaah, ils font chi.er, ces gens, avec leurs religions : plus ils sont religieux, plus ils sont hypocrites”) Ou, quand les employés (russes) des milliardaires russes débarquent (et se défoulent sur nous en imitant leurs patrons (alors qu’ils ne sont pas plus riche que nous, voir moins...) ou quand mon premier client Qatari m’a jeté mon pourboire par terre (5 franc suisses) il avait vraisemblablement pas fait expres, mais il ne s’est ni excusé ni ramassé (il a grimacé, et fermé la porte au plus vite, cependant) : ben la, j’ai pensé : ” Ouah, c’est comme dans les films.. c’etait pas des gags de comedies, c’était réel, en fait ! ” Bref, merci pour ton commentaires, moi, cette scène du directeur m'avais touché, à 16 ans, et j’avais demandé a mon père si c’était vraiment probable, une telle réaction, fin des années 70, du directeur... ? (si tu as connu (ou ”étudié ”) le travail et la hiérarchie, dans le 20eme siècle, je veux bien ton avis... (ca n’est pas mon cas))
@@johnjohnny4594 qu'a répondu ton père pour les années 1970 ? Je suis né fin 1970 mais je suis persuadé d'avoir rencontré de tels hommes qu'au fond j'admire (pas le fait de refuser de faire l'omelette soit même mais cela n'a pas changé, ne pas faire ce qui n'est pas dans son poste est toujours très actuel). Mais refuser de ne pas respecter la vie privée de l'exécutant (pas obligatoirement employé) me semblait encore exister à la mi 1980. J'étais très admiratif de ce courage et surtout de ce respect envers le travail et les travailleurs, et la vie des autres. En effet cette apologie du gentil artisto étranger qui permet à l'idiot du village de renverser le "système français" où il est dominé ( qui n'est à mes yeux que le vivre ensemble, le respect minimum) est systémique de la gauche des années 1980, 1990. Ils ont réussi à abattre ce "système" à ma grande tristesse, au point que peu de gens savent qu'il a jamais existé aujourd'hui. Trahir ses concitoyens avec l'appui financier de personnes qui n'appartiennent pas au système français est la base depuis un moment. C'est un mode de fonctionnement. Mais je ne condamne pas les artistos étrangers qui se font plaisir grâce à ces planches pourries. On ferait tous pareil, l'occasion fait le larron. Je condamne les français qui haïssent les valeurs de leurs propres concitoyens qui les ont nourris et éduqués depuis la naissance. Et je ne condamne même pas le fait d'utiliser des fonds étrangers pour parvenir à ses fins. Je ne sais pas si cette vidéo est représentative (j'ai peut être sublimé le monde de mon enfance). Mais elle est une preuve de l'intention de l'époque et de ce qu'ils jugeaient comme le bien et le mal. Et clairement le respect de l'autre que je crois représentatif des français de cette époque est honni. Alors oui cela implique une rigidité, on n'avait pas ce que l'on voulait quand on voulait. Pas de kebab le dimanche à 2h du matin... Cela paraît con mais c'était inimaginable dans les années 1980 à part dans trois rues de Paris et encore peut être pas tous les jours. C'est un point de non retour, et que cela ne choque personne aujourd'hui est encore plus révélateur. Il n'y a aucun respect ni règles pour le travailleur. Il est "libre".
@@prahalb en attendant ma reponse, la fin de ton message me fait penser à ”Le liberalisme, c’est la liberté des clochards et des milliardaires d’avoir le droit de dormir sous les ponts”
Cela montre avec beaucoup d'humour et un grand talent (excellent blier) comment l'argent meme avec de la bonne volonté pervetie tout les ultra riche s'achete des humains comme on achète des jouer a toysrus....
La tronche de Blier lorsque le gamin lui dit son prénom :-). Ça en dit long... Film plutôt sympa. En revanche, cette scène caricaturale - mais somme toute, assez réaliste dans sa connerie - , est superbe.
Tu connais pas les arabes du golf quand ils descendent dans les grands Palaces en France on est pas loin de la vérité...... Quand le personnel se met en rang et qu'ils reçoivent une enveloppe c'est véridique.
Mes parents ont tout deux travaillé dans un 5 étoiles à crans-Montana en Suisse, et bien ce que montre cette scène est au contraire une édulcoration sévère de la réalité ;)
A l'hôpital de la Tour à Meyrin, on en avait eu un comme ça, avec une petite serviette sur la tête. A son départ, il avait laissé une enveloppe pour chaque membre de l'équipe. 10000 chf chacun c'était dans les années huitante ça ferait le double à l'heure actuelle, soit environ 30000 $
Bernard Blier nettement meilleur dans le cinéma italien ,Francis Blanche aussi je l’ai vu camper des personnages de médecin psychologue avec l’accent allemand dans un film italien fallait le faire .
Après il pourra dire "me fait chier ce patron". Bien fait pour sa tête de toute façon, un hôtel pareil n'a pas a traité ces clients ainsi, surtout un aussi fortuné.
Faut dire qu'au prix de l'hôtel, ils ne vont pas flouer le client, bien que cette omelette à la grimace de l'ancien patron devait avoir une saveur particulière lol.
Cette scène est dans le film « ça n’arrive qu’à moi » avec Francis Perrin quand Blier dans sa cuisine au p’tit dej dit: Voilà le secret du fois gras truffé. 50/50. D’un côté le fois gras et la truffe de l’autre. Quel petit dej. S’en suit ensuite après avoir mangé ça: « ou qu’ c’est que ta mis mon Flamby »???!!! Magistrale.