Bonello qui parle de Lynch, c'est bon il a tout résumé, moi je me refuse de parler de Twin Peaks, il y a jamais rien de plus fort que cette série. Il a des vrais goûts
Pour celles/ceux qui veulent les films mentionnés :)) Inferno, Dario Argento, 1980 Le Territoire des morts, George A. Romero, 2005 Assaut, John Carpenter, 1976 The Strangers, Na Hong-Jin, 2016 Alien, Ridley Scott, 1981 The Crazies, Breck Eisner, 2010 Massacre à la Tronçonneuse, Tobe Hopper, 1974 Mindhunter, David Fincher/ Joe Penhall (série), 2017 The Social Network, David Fincher, 2010 Carrie au bal du diable, 1976 Christine, John Carpenter, 1983 Shining, Stanley Kubrick, 1980 Twin Peaks, David Lynch, (série), 1990-1991, 2017 Inland Empire, David Lynch, 2006 Incassable, M. Night Shyamalan, 2000 Chromosome 3, David Cronenberg, 1979 Le village des damnés, Wolf Rilla, 1960 Le jour sans fin, Harold Ramis, 1993 Lost Highway, David Lynch, 1997 Les yeux sans visage, George Franju, 1960 Climax, Gaspar Noé, 2018 Enter the void, Gaspar Noé, 2009 Grave, Julia Ducournau, 2016
Ces vidéos semblent agréables à faire , et même si elles ne font pas leurs vues car certains des invités sont moins connu du grand public , il est important que KONBINI continue dans cette voie là, au moins pour certains formats. C'est d'utilité publique
The Strangers est fantastique j'attendais a ce que quelqu'un en parle vraiment
3 года назад
A l'entendre parler de Lynch, je me dis qu'un Vidéo Club où quelqu'un parle de Lynch pendant 20 minutes serait une certaine définition de la perfection ^^
Absolument ! D'ailleurs ça doit etre le 3ème qui passe dans l'émission et qui s'arrete devant le coffret de la saison 3 de Twin Peaks pour en dire du bien, et c'est toujours agréable à entendre
Le DVD d'un film doit être systématiquement proposé par l'équipe qui réalise. Je pense qu'il doit y avoir une sorte de quota de films français pour ce type d'exercice, histoire de montrer que l'on a quand même un minimum d'intérêt pour les productions nationales. Il s'agit quand-même ici d'un cinéaste, Bonello, qui sans le CNC (organisme qui subventionne le cinéma français et non pas celui des US) ne serait pas allé bien loin dans sa carrière cinématographique. Ils doivent donc rééquilibrer un peu les choses dans les choix de DVD sinon c'est à 99% amerloque, surtout avec le cinéma de genre et à force ce décalage pourrait un peu les gêner eux ou d'autres... Je me suis également fait la remarque en voyant d'autres vidéos VideoClub .
Rarement vu un film avec une ampleur cinématographique autant dense que The Strangers. Thriller, Comedie Noire, Burlesque, Horreur, Fantastique, Drame. Tout y est. Un truc assez inné car ça tient plus que la route, c'est une nouvelle référence !!
Toujours le meilleur concept de Konbini, je me rends compte qu'un des vrais kiffes avec le cinéma finalement c'est aussi simplement d'en parler et de partager sur le sujet. Bonello a une vue très intéressante sur le cinéma de genre, les idées de "motifs" et de "créer des images indélébiles" qu'il répète souvent sont en effet les marques d'un cinéma qui reposent beaucoup sur les obsessions des cinéastes et l'attention qu'ils prêtent à la plastique de leur film
Passionnant. En effet toutes les références citées par Bertrand Bonello sont des classiques y compris le moins connu "the strangers" qui est une immense claque, un chef d'oeuvre.
1998 : Quelque chose d'organique 2001 : Le Pornographe 2003 : Tiresia 2008 : De la guerre 2011 : L'Apollonide : Souvenirs de la maison close 2012 : Ingrid Caven, musique et voix 2014 : Saint Laurent 2016 : Nocturama 2019 : Zombi Child
C’est un très bon cinéaste ! L’apollonide est excellent, saint Laurent aussi. Je n’ai pas vu son dernier qui pourrait s’apparenter à un film de genre je pense
1998 : Quelque chose d'organique 2001 : Le Pornographe 2003 : Tiresia 2008 : De la guerre 2011 : L'Apollonide : Souvenirs de la maison close 2012 : Ingrid Caven, musique et voix 2014 : Saint Laurent 2016 : Nocturama 2019 : Zombi Child
Konbini ne lâchez pas ce concept ! C'est ultra interessant d'autant plus avec des invités aussi interessants. Je serais curieux de voir le Vidéo Club de Cassel, Duris ou encore Ducournau ( si ça peut vous donner des idées ) !
On pourrait avoir la version longue ? J'aimerais beaucoup voir le passage entier où il parle de Mandy et on sent que ça été coupé quand il évoque Les yeux sans visage, sa lancée ne semble pas finit. C'est dommage de temps couper un réalisateur aussi important qui parle avec tant d'intelligence du cinéma de genre.
Super vidéo mais je me pose toujours cette questions en tant que puriste de David finsher je comprend pas pourquoi tous le monde dit que the social network est son meilleur film j aime beaucoup ce film mais a comparer avec un seven j ai un peu de mal à comprendre bon seven est mon film préféré alors ça joue peut être mais je sais pas pourquoi
J'ai trouvé son dernier film, "Mank", absolument génial. J'ai détesté "Fight Club" à sa sortie, au point que je ne suis pas allé voir ses films ultérieurs. Mais devant la réussite de sa production sur Netflix, je me suis penché sur les excellentes critiques de Zodiak ou The Social Network, et compte réparer mon erreur.
Sa sélection est excellente! Par contre, déçue qu’il ne parle pas de Pascal Laugier avec Martyrs ou encore Haute tension de Alexandre Aja qui était sous ses yeux
Je n'avais jamzis fait de lien entre Lynch et Shinning... Mais Lynch ne serait pas sans Dario Argento.....entre autre bien sûr. .. Mais sans un certain giallo et argento... Lynch ?.
Alors concernant Nicolas Cage c'est tout l'inverse, dès que je le vois je pars en courant ahah il n'y a que dans Volte-Face et Rock que je le supporte, parce qu'il y a Travolta dans l'un et Sean Connery dans l'autre, et puis dans Spider-Verse où il double le Spider-Man de la Dimension Noir, et puis allez Big Daddy dans Kick Ass voilà, à part ça c'est juste pas possible XD Mais sinon j'adore ce format de vidéo !
@@manticorev9461 Je suis d'accord, mais globalement c'est pas un acteur exceptionnel et je suis convaincu qu'il n'a pas eu la carrière qu'il aurait dut avoir.
@@thobiasyohan4154 Ca m'intéresse. Le fait qu'il n'y ait aucune dramaturgie, que les intentions de mise en scène soient claires en 5 minutes et que cela continue 40 de plus...C'était quoi ton kif là-dedans?
@@Endorphinooos C'est très difficile à expliquer parce que ce n'est pas du tout lié au scénario qui est très sommaire, c'est plus une ambiance, le mystère de ces photos envoyées par portable, un certain nihilisme, la beauté d'un surplace dans une surface, l'attente, la mise à mort froide de ces idéalistes, la beauté de certains plans comme ce jeune homme terroriste de gauche engagé qui découvre son double sous la forme d'un mannequin et ainsi est lui même qu'un pantin de plus dans cette société consumériste.
@@thobiasyohan4154 Sur le propos de la partie centre commercial, oui c'était LE truc intéressant...mais cette intro est juste vide. Ensuite même dans le centre commercial ça cafouille, ça alterne trop entre l'ésotérique et le réalisme...Ca n'a plus aucune forme, c'est juste paresseux...le conclusion est looonnngue...Le film aurait été parfait en 1h10.
Seul film vu de ce réalisateur et effectivement quelle déception au visionnage, je n’ai pas du tout compris les critiques...mis bon très interessant ce konbini donc j’espère vais tenter d’autres films de lui
Le terme de cinéma de genre, c'est un terme un peu fourre tout qui désigne les films qui ne sont ni des comédies ni des drames (donc SF, western, horreur, etc), parfois en opposition avec le cinéma d'auteur, avec souvent des petits budgets et souvent méprisé par la critique "officielle". Si tu te dis en voyant un film "tiens c'est le genre de film qui ne serait pas sélectionné à Cannes alors même qu'il est excellent", il y a de bonne chance pour que ce soit un film de genre.
Le cinéma de genre n'a pas besoin qu'on le rattache à la politique pour justifier son existence et se parer d'une aura de respectabilité. Roméro qui disait faire des films "sociaux avec des zombies" c'était avant tout pour que la critique le prenne un peu plus au sérieux. Le but premier d'un film d'horreur c'est de faire peur. Les questions d'ordres politiques ou philosophiques ça ressort en sous texte mais c'est clairement pas ce qui pousse ces réalisateurs à faire ces films. Sinon pour le reste je suis plutôt d'accord avec lui.
Ce n’est pas ce qu’il dit je pense. Il en a bien conscience, et quand il parle de mise en scène primordiale par rapport au scénario dans ces films ça va dans ce sens. Trouver un sens « politique » à Christine par exemple c’est faisable mais ce n’est pas du tout l’intérêt du film c’est clair.
@@Kenshinan Je pense plutôt qu'il se formalise au format de l'émission. Il sait très bien qui la regarde. Qui avant lui y est passé. L'argument "politique" c'est pour se faire apprécier d'une partie du publique qui snobe le genre. Par contre, je pense qu'il connait assez bien le cinéma de genre, ses origines, ce qu'il véhicule etc...